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Helga Zepp-LaRouche : à l’âge atomique, la guerre n’est plus une option

Le Topol-M, un missile russe à têtes nucléaires multiples, est capable de franchir le bouclier anti-missile de l’OTAN.
Le Topol-M, un missile russe à têtes nucléaires multiples, est capable de franchir le bouclier anti-missile de l’OTAN.
Crédit : Wikipedia

Le 30 mai dernier, jour où les États-Unis rendent hommage à tous leurs soldats morts au combat, nos amis du Comité d’action politique de l’homme politique américain Lyndon LaRouche (LPAC) et de l’Institut Schiller ont organisé une conférence à Manhattan pour lancer un appel poignant à la raison des hommes, afin d’empêcher que n’éclate un conflit mondial dont l’humanité ne pourrait plus se relever.

En guise d’introduction à l’intervention d’Helga Zepp-LaRouche, fondatrice et présidente de l’Institut Schiller, son représentant à Manhattan, Dennis Speed, est revenu sur la portée plus riche que les organisateurs voulaient donner à ce genre d’évènement, celle d’une « commémoration vivante ». Honorer, commémorer, c’est bien ; reprendre le combat pour la paix de ceux qui sont tombés est encore mieux.

C’est cette conception active qui anime les défilés du « Régiment immortel », organisés en Russie ces dernières années, le jour de la victoire sur le nazisme, et qui rassemblent des millions de gens, tous portant des fleurs et des portraits de leurs ancêtres morts au combat. Beaucoup d’Américains ignorent, a reconnu Dennis Speed, que le nombre de morts durant la Seconde Guerre mondiale a atteint 50 millions en Chine et 27 millions en Russie !

Mais c’est encore un autre sens que les LaRouche veulent donner à ce combat : celui de créer les conditions pour une paix durable dans le monde grâce au développement mutuel entre les peuples.

Alors que nous sommes rassemblés ici pour rendre hommage à ces soldats tombés au combat, a déclaré Helga Zepp-LaRouche, je veux affirmer qu’à l’époque des armes nucléaires, la guerre ne peut plus être une option pour résoudre un conflit.

Elle s’en est prise en particulier à ceux qui promeuvent l’idée que l’on puisse mener une guerre nucléaire limitée.

Ce serait au contraire l’extinction de l’humanité. Au plus fort de la guerre froide, on comprenait très bien ce concept. La doctrine de la destruction mutuelle assurée (MAD) était en vigueur et l’on savait que soit on survivrait ensemble, soit on sombrerait ensemble. Mais depuis un certain temps, cette doctrine s’est trouvée minée par l’idée qu’une guerre nucléaire puisse être menée et même gagnée grâce à des têtes nucléaires plus petites, plus précises, plus intelligentes, et à des missiles plus performants. Cela fait des années que nous dénonçons cette idée, mais nous prêchions dans le désert. Ce qui est nouveau est que soudain, de nombreuses voix se sont mises à dénoncer ce concept.

Parmi les principales mises en garde citées par Mme LaRouche, celle de Michael Stürmer, pourtant atlantiste invétéré, parue le 24 mai dans les pages du quotidien allemand Die Welt. Dans son article intitulé « Aucun protocole ne nous sauvera de la guerre nucléaire », il affirme, à propos de la modernisation des armes nucléaires en cours, que la diminution de leur nombre et de leur puissance n’est aucunement une raison de se réjouir, car en rendant ces armes moins puissantes, on a fait baisser le seuil à partir duquel elles peuvent être utilisées sur le champ de bataille. Les dirigeants militaires et politiques de l’époque de la guerre froide savaient que cela pouvait conduire à une guerre générale, dit Stürmer. Mais ceux de la nouvelle génération n’y font même plus attention. Tous les incidents « presque fatals » intervenus entre Russes et Américains ces derniers mois, dans la Baltique, la mer Noire ou la mer de Chine méridionale, auraient déclenché jadis tous les signaux d’alarmes, les anciens étant mieux en mesure de reconnaître à quel point un « petit » incident de ce type peut conduire à une guerre générale.

Notons aussi que lors d’une audition au sénat américain le 16 mars dernier, la sénatrice Dianne Feinstein a déclaré qu’elle n’était pas convaincue de la nécessité de développer un nouveau missile de croisière de longue portée à tête modernisée (LSRO), car « les prétendues améliorations de cette arme semblent destinées à la rendre plus utilisable, et à nous aider à mener et à gagner une guerre nucléaire limitée ». Un concept qu’elle trouve « choquant ».

Au bord de l’irréparable

Helga Zepp-LaRouche évoqua l’actuelle accumulation de crises à travers le monde, aux frontières entre la Russie et les pays d’Europe de l’est, au Moyen-Orient, autour des deux Corées et en mer de Chine méridionale. « Chacun de ces conflits peut devenir le déclencheur d’une nouvelle guerre mondiale. »

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Le prochain sommet de l’OTAN, les 8 et 9 juillet à Varsovie, conçu comme un bras de fer avec Moscou, est source de toutes les inquiétudes, a-t-elle souligné. Car des décisions aux conséquences irréparables pourraient y être prises. Il s’agit d’assurer une présence permanente renforcée de l’OTAN aux frontières russes, via la modernisation des équipements, le déploiement permanent, par rotations, de régiments multinationaux dans les pays baltes, en Pologne, Roumanie et Bulgarie, opérant des manœuvres en continu.

A Varsovie, l’OTAN compte aussi annoncer la finalisation de la première phase de son bouclier anti-missile en Europe, avec des systèmes Aegis anti-missiles montés sur quatre destroyers américains basés à Rota, en Espagne, un système Aegis Ashore déployé en Roumanie, à Deveselu, un radar en Turquie et un centre de contrôle et de commandement en Allemagne.

Un tel encerclement est intolérable pour la Russie, a souligné Helga LaRouche. Au moment où elle prononçait son discours à Manhattan, Vladimir Poutine, en visite en Grèce, réitérait sa condamnation de ce système anti-missile. « Depuis les années 2000 nous répétons la même chose : nous devrons répondre [à ces systèmes] d’une manière ou d’une autre. » Le Président russe réfute l’idée qu’il s’agisse de protéger l’Europe contre l’Iran :

De quoi s’agit-il ? De rampes de lancement et de stations radar. Aujourd’hui, des missiles basés à terre d’une portée de 500 km sont en train d’être déployés ; dans quelques années, ce seront des missiles d’une portée de 1000 km. (…) Comment prétendre qu’il ne s’agisse pas d’une menace contre nous ? (…) Mais il y a pire : ces lanceurs compacts peuvent aussi s’accommoder de missiles d’assaut de 2400 km de portée. Et remplacer les missiles n’est pas un problème, tout ce qu’on doit faire c’est changer le logiciel, et personne ne verra rien, pas même les Roumains. Et ce ne serait pas une menace contre nous ?

Le piège de Thucydide

Pourtant, comme l’a expliqué longuement Helga LaRouche, ni la Russie, ni la Chine ne cherchent la guerre. Cette volonté d’en découdre vient de ce que les États-Unis rêvent d’un monde unipolaire, régi par la relation spéciale qui les unit à l’Empire britannique.

Cela n’est autre que la poursuite de la politique néoconservatrice promue par Paul Wolfowitz, Richard Perle et Robert Kagan à la fin des années 1990. En créant à l’époque le Projet pour un nouveau siècle américain, ils défendaient l’idée que depuis la chute du mur de Berlin, il n’y avait plus qu’une superpuissance – les États-Unis – s’arrogeant le droit de se déployer militairement à travers le monde et d’empêcher qu’aucune autre nation, ou groupe de nations, ne puisse les supplanter.

Aujourd’hui, le secteur transatlantique est au bord de la faillite, affirma Helga LaRouche, rappelant qu’après la réunion du G7, le groupe des nations prétendument les plus puissantes au monde, le 27 mai à Tokyo, le Bild Zeitung, un tabloïd allemand lu par 8 millions de personnes, titrait « G7 : le sommet des 7 Nains ». Seul le président japonais Shinzo Abe osa y aborder le sujet qui fâche, déclarant que « le système financier occidental est au bord d’une nouvelle crise aussi importante que celle de 2008 » !

Le danger de guerre émane de forces oligarchiques occidentales totalement déterminées à ne pas se laisser supplanter, par l’Asie ou un quelconque autre pays. A plusieurs reprises, l’ancien chef d’état-major des armées américaines, Martin Dempsey, avait mis son pays en garde de ne pas tomber dans « le piège de Thucydide ». Dans son ouvrage sur la guerre du Péloponnèse, cet auteur ancien décrit comment la montée d’Athènes, et la peur que cela provoqua à Sparte, fut le moteur de la guerre.

Un ordre de paix gagnant-gagnant

La réalité est que ce monde unipolaire n’existe plus et que l’on voit émerger les fondements d’un nouvel ordre économique mondial, souligna Helga LaRouche. La Chine est en plein essor. Elle produit déjà beaucoup plus de biens de haute technologie pour l’exportation que les États-Unis ; elle a beaucoup plus de chercheurs et d’ingénieurs. Elle est résolument orientée vers le futur, comme l’illustre son programme spatial génial, alors qu’Obama, au contraire, démantèle la NASA. D’autres pays asiatiques sont aussi en pleine ascension. En Inde la croissance est de 8%, la Malaisie s’est engagée à devenir d’ici 2020 un pays totalement moderne. « On ne peut pas empêcher le désir de développement de tous ces pays ! »

Inlassablement, Helga Zepp-LaRouche revint sur l’alternative à la géopolitique « perdant/gagnant », mise sur la table par le président Xi Jinping au Kazakhstan, en 2013, avec son projet de Nouvelles routes de la soie.

Cette politique d’échanges culturels et économiques, qui a été une grande réussite il y a deux mille ans, rassemble d’ores et déjà quelque soixante-dix pays. Rejetant l’économie de casino financier de l’Occident, ce projet s’est doté de plusieurs institutions financières – la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (BIIA), la Nouvelle banque de développement (NDB) des BRICS – pour financer les infrastructures et la coopération nécessaire au progrès économique, social et culturel de toute l’humanité.

La Chine et les BRICS se sont ainsi engagés dans une coopération économique aux antipodes de la jungle financière occidentale, une coopération gagnant/gagnant qu’ils ont aussi proposée aux pays occidentaux.

Cette fois-ci, nous avons donc tout ce qu’il faut pour empêcher que la « buveuse de sang » n’emporte, une fois de plus, l`humanité.

Merci également de signer la pétition :
À Varsovie, ils préparent la guerre. Sortons de l’OTAN !
http://sortirdelotan.fr/form/form_petition2.php

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Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
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- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

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La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

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C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

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La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

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Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

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