- Bastia – Cagliari en 40 minutes ;
- Limoges – Paris en moins de 30 minutes ;
- Paris – Marseille en 45 minutes ;
- Toulouse – Paris en 40 minutes ;
- Lyon – Saint-Etienne en 8 minutes…
Qui dit mieux ?
A coup d’opérations de communication géantes, d’annonces d’investissement de milliards de dollars, de vitesses spectaculaires et d’images futuristes, les projets (et surtout la fortune) d’Elon Musk, un jeune entrepreneur qui investit à fond dans les voitures électriques (Tesla), l’exploration spatiale (SpaceX), les avions à décollage et atterrissage verticaux avec propulsion électrique et promeut les transports terrestres à grande vitesse (Hyperloop), font rêver.
Milliardaire, Musk s’affiche philanthrope. S’il a fondé toutes ces entreprises, c’est pour sauver le monde et l’humanité. Parmi ses chevaux de bataille, combattre le réchauffement climatique par l’énergie durable et réduire le « risque d’extinction humaine » en créant une vie multi-planétaire par l’établissement d’une colonie humaine sur Mars.
A l’ère de Donald Trump, « il y a le sentiment dans les médias américains qu’une personne qui a réussi peut tout réussir, analyse Alon Levy. S’il dit qu’il peut le faire, alors il peut le faire. Comme si l’on pouvait être compétent dans tous les domaines. »
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- Hyperloop a annoncé des vitesses de voyage à 760 miles par heure, c’est-à-dire de 1223 km/h ou trois fois plus vite qu’un TGV. Une promesse de plus en plus revue à la baisse.
Ceux qui décrivent Hyperloop savent exploiter à merveille notre imaginaire collectif et historique :
L’idée se veut simple : faire circuler des capsules habitables dans un réseau de tuyaux sous vide. En…