Avant de vous présenter ci-dessous un texte de Larry Hecht, rédacteur de la revue scientifique américaine 21st Science & Technology, sur la portée des découvertes de Luc Montagnier sur les émissions électromagnétiques du vivant et les modifications dans la structure de l’eau, nous présentons d’abord une version légèrement adaptée de l’introduction de la vidéo A non-particle view of life, réalisée le 21 mars par les jeunes chercheurs du Comité d’action politique de Lyndon LaRouche (LPAC).
La philosophie qui règne en science aujourd’hui, connue sous le nom du réductionnisme, présuppose que la vie est le résultat de molécules non vivantes. Composez un mélange adéquat d’acides aminés et d’autres ingrédients, placez-le dans des conditions propices, et spontanément des formes de vie primitive jailliront à partir desquelles des formes de vie plus développé pourront évoluer…
Une telle hypothèse ne s’est jamais démontrée et toutes les expériences visant à la prouver ont échoué. Ce qu’on présente comme la « création » d’une forme de vie primitive, ou des préfigurations de la vie tel que l’ADN ou un virus, nécessite toujours à l’origine une autre forme de vie. Jusqu’ici, et peut-être heureusement, personne n’a pu métamorphoser des molécules mortes en matière vivante.
A l’opposé de cette vision réductionniste, s’est affirmé le vitalisme, une théorie qui affirme que les organismes vivants possèdent une force vitale, un principe de vie, séparé de la matière qui les compose. La vie serait une combinaison de molécules organiques dotées de cette force vitale. Cependant, aucune expérience n’a pu identifier cette force vitale ou démontrer sa présence dans le vivant, ou son absence dans la matière non-vivante. Ainsi, le mystère de la vie demeure presque entier.
Les expériences récentes que nous allons décrire ici, viennent de…