Comme Lyndon LaRouche le répète obstinément, la survie de l’espèce humaine dépend exclusivement de la capacité des individus qui la composent de découvrir et développer de nouvelles technologies à partir de la découverte de nouveaux principes physiques universels. Par conséquent, toute civilisation qui, par aveuglement comptable, financier, politique, religieux ou politique, bannit cette pratique, creuse sa propre tombe.
De grandes civilisations ont disparu. Les Mayas, civilisation amérindienne relativement développée, se sont effondrés à la fin du IXe siècle. Or, les anthropologues constatent qu’ils n’utilisaient ni animaux de trait, ni la roue pour le transport des biens. Cependant, les archéologues ont trouvé sur les sites historiques des jouets d’enfants, plus précisément de petits chariots, équipés de roues, bien que la roue fût considérée par la civilisation maya comme « trop sacrée » pour servir un but aussi bassement terrestre que le transport ! Rappelons également que la civilisation romaine refusa l’emploi du cheval en agriculture. Elle n’élevait les chevaux que pour les courses et les paris, bien que la productivité du cheval par rapport au bœuf s’avère quasiment le double !
Aujourd’hui, plusieurs nations situées dans l’espace transatlantique ont choisi le même destin que ces civilisations disparues, d’une part en arrêtant de développer l’énergie nucléaire, d’autre part en s’opposant à l’introduction d’une technologie relativement récente : les moteurs électriques à induction linéaire (Linear Induction Motor ou LIM). Ce qui a de quoi inquiéter, c’est qu’à l’instar des Mayas, on utilise cette technologie pour le petit monorail d’Euro Disney,…