Par Nancy Spannaus
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, toutes les consciences furent horrifiées en découvrant l’ampleur du génocide perpétré par Adolf Hitler. Sa tentative d’exterminer la population juive en tuant six millions d’entre eux est devenue le symbole de sa politique d’extermination. « Plus jamais ça ! » devint le cri de ralliement de l’après-guerre. « Plus jamais » nous ne permettrons une politique d’extermination organisée à l’encontre d’une population.
Ce sont pourtant plus de six milliards de Terriens qui sont aujourd’hui menacés par une politique d’extermination délibérée, et la question de savoir si les patriotes des différentes nations vont s’allier pour l’empêcher à temps reste en suspens.
Adolf Hitler n’était pas un pur produit de la nation allemande. C’était avant tout une marionnette des cercles dirigeants de l’Empire britannique – du pouvoir financier combiné de la City de Londres et de Wall Street – qui fournirent les ressources pour son accession au pouvoir. Hitler fut défait par une coalition dépendant largement des États-Unis de Franklin Roosevelt et des forces patriotiques russes, mais les cercles britanniques impériaux, agglutinés à la monarchie, leur ont survécu.
Aujourd’hui, alors que l’Empire britannique se trouve à nouveau menacé par la banqueroute et la désintégration, elle se déchaîne contre Donald Trump, quoi qu’on puisse penser du personnage, c’est-à-dire une présidence américaine échappant potentiellement à son contrôle.
Dans une…