Nous vivons un siècle dangereux, celui du « grand soupçon » :
- ingérence russe supposée dans les élections américaines, voire européennes ;
- accusation d’empoisonnement par Poutine de l’ex-espion russe Skripal, passé au service de l’Occident en Angleterre ;
- « attaque chimique » supposée du gouvernement syrien contre son peuple, justifiant des frappes occidentales ;
- combattants iraniens en Syrie, au service d’un régime accusé de vouloir construire la bombe atomique, justifiant des frappes israéliennes…
Cette orgie de désinformation a de quoi inquiéter l’homme de la rue. Incapable de vérifier ces faits, la majorité des Français sent néanmoins que nos économies sont en panne et qu’une nouvelle guerre se prépare.
Pourtant, depuis peu, la possibilité que les « quatre grandes puissances » de la planète nous tirent de cette situation est à portée de main. Identifier ce potentiel changera votre façon de « lire » l’actualité et vous obligera à sortir de votre tanière.
Un peu d’histoire
Le 8 mai 1945, jour de la capitulation de l’Allemagne nazie, marquait la fin de la Seconde Guerre mondiale. 73 ans plus tard, sommes-nous capables de réveiller nos gouvernements, les Merkel, les Macron, les May et les Trump, qui, pour l’instant, frappés de somnambulisme, semblent nous conduire vers l’abîme ?
Or, ce qui avait permis de mettre fin à l’empire nazi à l’époque était la stratégie du président Franklin Roosevelt et d’Harry Hopkins, son conseiller en relations internationales : bâtir une alliance entre les Etats-Unis de FDR, la Russie de Staline, la Chine de Tchang Kaï-chek et le Commonwealth de Churchill, avec lesquels ils comptaient régler leurs comptes…