- Nationalistes
- Les « post-nationalistes » d’Azov
- Entrée entre en politique
- Bien vu à Washington, accord avec le FBI
- Intermarium et Ligue prométhéenne
- Néocons américains et Polonais malin
- Olena Semenyaka, Paneurope et Reconquista
- Race supérieure et satanisme
- La musique Black Metal, l’autre arme de guerre d’Asov
- Reconquête
- Pologne et Vieux démons
- Marion Maréchal
Lorsque les Russes annoncent que parmi leurs objectifs en Ukraine figure la « dénazification » du pays, on répond chez nous qu’ils vivent dans la paranoïa et l’exagération.
Pourtant, tout indique que Londres et Washington, mais aussi Bruxelles, se sont fortement appuyés sur le type de nationalisme nauséabond qu’ils ne cessent de dénoncer dans le monde entier lorsqu’il ne va pas dans le sens de leurs intérêts.
Or, en Ukraine, il est clair que la mouvance Azov est soutenue par plusieurs pays d’Europe de l’Est, en particulier la Pologne mais aussi la Croatie, qui rêvent de détricoter l’UE en ressuscitant, y compris sur les décombres de l’Ukraine, le mirage d’un Empire s’étendant de la mer Baltique jusqu’à la mer Noire (Intermarium).
Enquête.
A propos de l’Ukraine, une nouvelle dimension, plus complexe, devient un sujet de discussion parmi les universitaires. Selon les spécialistes, il est temps de prendre conscience de la mutation profonde qu’a connu le « nationalisme » ukrainien depuis 2014.
Avant de présenter les nuances que voient les sociologues dans ces différentes formes de « nationalisme », pour notre part, sans vouloir jouer sur le mots, nous nous disons « patriote et citoyen du monde » et…