Par David Christie [1]
Est-il concevable que des millions de jeunes, aujourd’hui accros aux communautés virtuelles comme Facebook et MySpace, soient victimes d’amnésie collective ? Pourquoi, lorsque Rupert Murdoch racheta MySpace, n’y a-t-il pas eu un boycott massif de ce site ? Peut-être que ces jeunes ont oublié que l’empire médiatique de Rupert « Goebbels » Murdoch était le principal organe de propagande pour la guerre perpétuelle de Dick Cheney et de ses subalternes. Peut-être n’ont-ils jamais lu le Wall Street Urinal, et sa propagande de banquiers parasites de Londres et de Wall Street ? Ou bien, peut-être n’ont-ils jamais regardé Fox TV, et ses rassemblements de Nuremberg quotidiens pour affalés du divan ?
Ensuite, il y a le cas de Bill Gates qui, avec son costume de « über-nerd », a dupé tant d’Américains, leur faisant oublier que son empire de l’informatique est si grand qu’on ne peut même plus le qualifier de monopole.
De plus, des millions de jeunes zombifiés continuent à être espionnés par ces voyeurs milliardaires, leur offrant à eux et à l’empire qu’ils représentent un « peep-show psychologique », dont même les « ingénieurs sociaux » les plus obsessifs n’avaient pas osé rêver.
Le but de cet article est de donner un aperçu de l’évolution de « l’ingénierie sociale », de la vieille thérapie des électrochocs à la thérapie moderne des « débilochocs ». Ces sites de réseaux sociaux sont tout simplement des relents de…