- Capri, c’est fini
- Le Prince Philip d’Édimbourg
- Le Prince Charles
- Contraire à la Genèse
- 1986, la rencontre d’Assise
- Katmandou 2000 et 3IG
- Travaux pratiques : décembre 2009, le sommet de Copenhague
- En France
- Denis de Rougemont
- 1976, ECOROPA
- La tentation bénédictine de Benoit XVI
- La pensée féodale de Cameron et Obama
- Conclusion
Vous avez du mal à faire passer les analyses ou les solutions programmatiques de Solidarité & Progrès auprès de vos proches, des membres de votre famille ou de vos collègues de travail ?
En tant que Français, convaincu que l’homme est avant tout un être pourvu d’une forte rationalité héritée de notre fameux Descartes national et de son non moins fameux Cogito ergo sum, vous soupirez : « Explorer Mars d’ici 50 ans, comme le propose Lyndon LaRouche, n’est pas moins fou que l’envoi de la mission Apollo vers la Lune en 1968 ! Et pourtant, moi, aujourd’hui, on me traite de dingo, alors que Kennedy, tout le monde l’admirait ! Comment les gens ont-ils pu devenir aussi irrationnels ? »
Au-delà d’une bêtise et d’une ignorance bien réelle, nous avons du mal à reconnaître que ce qui conduit bon nombre de nos contemporains, et surtout nos jeunes, à s’écarter de la philosophie du progrès et de ses fruits n’est pas la bêtise ou l’ignorance, mais le puissant reflux d’une pseudo spiritualité de nature féodale, se dissimulant sous un masque vert.
Capri, c’est fini
Je m’explique en commençant par une petite anecdote. Il y a une vingtaine d’années, l’auteur de ces lignes a pu s’entretenir à Paris avec un responsable de l’Eglise orthodoxe de l’île de Capri. Écartant d’un revers de main toute démarche politique comme vaine, ce…