- L’ère des portes tournantes et du pantouflage
- Gestion active et gestion passive
- La montée en puissance de « The Big Three »
- Comment les Big Three contrôlent
- De Blackstone à BlackRock, un peu d’histoire
- La lampe magique d’Aladdin
- Conflit d’intérêt ?
- Lobbying et politique
- Clairvoyance ?
- Verdir la finance
- Eviter les chocs
- Bruns ou verts, les profits d’abord
- La terreur verte
- Avec Biden, c’est BlackRock président !
- Le « moment Biden »
- Conclusion
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C’est il y a quatre ans que j’ai commencé à m’intéresser à l’oligopole financier newyorkais BlackRock. Le Canard Enchaîné avait révélé comment Emmanuel Macron, assisté de plusieurs ministres, avait déroulé le tapis rouge pour accueillir à l’Elysée le PDG de la firme, Larry Fink, non pas dans un petit salon, mais dans la « salle Murat », le sanctuaire où se tient le Conseil des ministres. Je me suis dit : « là, il y a un truc ! »
Mes recherches m’ont permis de comprendre pourquoi Larry Fink, un petit trader toxique de série B de la banque First Boston, qui a empoisonné la planète en nous vendant des titres pourris jusqu’à l’explosion en 2008, a été reçu comme l’aurait été le banquier de la Papauté au Moyen-Âge.
En effet, la nébuleuse dont BlackRock forme le cœur, est bien plus dangereuse que le proverbial…