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- Carte publié par la FAO. 8000 km, ce n’est qu’un début ! En réalité il faudrait prolonger la muraille verte jusqu’à Beijing ! Dakar-Beijing, cela fait 16000 km par la route.
La grande muraille verte (GMV), initiative lancée en 2007 par onze pays africains, vise à mettre en place une immense ceinture de reforestation afin de lutter contre la désertification.
Aujourd’hui, le projet risque de rester dans l’impasse à cause d’un écologisme dévoyé qualifié parfois, non sans raison, d’« impérialisme vert ».
Le 11 janvier, sous l’égide du président français Emmanuel Macron, avec le soutien de l’ONU et de la Banque mondiale, s’est tenue la dernière édition, en visioconférence, du One Planet Summit sur la biodiversité.
Parmi les participants, le Prince de Galles, comme toujours en croisade pour réduire la population mondiale sous prétexte de lutte contre le dérèglement climatique.
Il a été rejoint par la « finance verte » la plus cupide de Wall Street et de la City, qui espère pour sa part sauver le système financier en faillite, en déménageant les profits vers la nouvelle bulle financière, thème réel de l’agenda de la « grande réinitialisation » (Great Reset) promu aussi bien par le Forum économique mondial de Davos que par le Conseil pour le capitalisme inclusif du Pape François.
Lors du sommet du 11 janvier 2021, à la demande de la France, du Royaume-Uni et du Costa Rica, plus de 50 pays (dont la Chine) ont fini par endosser un plan mondial visant à créer des zones protégées couvrant 30 % des terres et des océans de la planète. Macron annonça fièrement que cet objectif serait atteint d’ici 2022 en France. Pas trop lourd comme effort, puisque près…