Dans cette étude, Jeffrey Steinberg, un des collaborateurs de l’économiste américain Lyndon LaRouche qui a participé à la rédaction du rapport spécial de l’Executive Intelligence Review (EIR) sur les enjeux cachés du sommet climatique COP21 de Paris, révèle une vérité qui dérange. Car en vérité, le mouvement écologique mondial, qui promeut le catastrophisme climatique actuel, n’est pas un mouvement humaniste agissant pour le bien des générations futures, mais la énième métamorphosée d’un vieux courant oligarchique eugéniste.
A la fin de la Deuxième Guerre mondiale, alors que le monde commençait seulement à découvrir les horreurs du génocide nazi et que les tribunaux de Nuremberg débutaient à peine leur travail, la monarchie britannique entreprit de rénover ces politiques de « science des races » et de génocide qui avaient conduits à l’euthanasie des « inaptes » et aux camps de la mort.
Sir Julian Huxley, petit-fils de Thomas Huxley (surnommé « le bouledogue de Darwin ») et président de la Société eugénique britannique, utilisa sa position de premier directeur général à l’UNESCO (organisation éducationnelle, scientifique et culturelle des Nations unies) pour favoriser ce renouveau.
En 1946, lors du discours inaugurant la nouvelle agence des Nations unies, il déclare :
Bien qu’il soit parfaitement vrai que toute politique eugénique radicale sera pour…