Chronique stratégique du 4 mars 2020 (pour s’abonner c’est PAR ICI)
Le système de surveillance, mis en place à l’échelle mondiale dans les années 2000, n’a jamais servi à lutter contre le terrorisme, mais plutôt à cacher les crimes commis par une cabale logée au cœur de l’appareil d’État, au service d’un empire financier centré sur la City de Londres.
C’est ce qu’ont montré avec force William Binney et Kirk Wiebe, deux vétérans et lanceurs d’alerte de la NSA, ainsi que Mike Billington du LPAC, lors d’une conférence au Symphony Space, à New York, le 29 février. Binney, qui fut directeur technique de l’agence américaine, se bat aux côtés de nos amis américains depuis qu’il a prouvé en 2017, avec ses collègues du VIPS (un collectif de vétérans du renseignement), que les Russes n’ont pas piraté les courriels du parti démocrate en 2016, et que par conséquent l’ensemble du « Russiagate » est une fraude. A la NSA, Binney et Wiebe faisaient partie d’un petit groupe de brillants esprits qui avaient conçu, avant les attentats du 11 septembre 2001, un système de traque des terroristes qui aurait permis d’empêcher plusieurs attentats si les autorités américaines ne l’avaient pas sciemment rejeté.
Comme l’a expliqué Mike Billington, qui se bat aux côtés de Lyndon LaRouche depuis plus de quatre décennies et a…