Chronique stratégique du 22 mai 2020 (pour s’abonner c’est PAR ICI)
Le monde entier se souvient du « grand mensonge » de l’administration George W. Bush, sur les armes de destruction massive en Irak. A partir d’un dossier concocté au départ par Tony Blair et Sir Richard Dearlove, le directeur du MI-6 de l’époque, une série de guerres de changement de régime particulièrement sanguinaires fut déclenchée, plongeant le Moyen-Orient dans le chaos et poussant des millions de réfugiés en Europe et ailleurs. Au cours de sa campagne, le président Donald Trump avait correctement désigné ce mensonge comme la pire erreur de l’histoire moderne des États-Unis, peut-être même de toute leur histoire. Solidarité & progrès, avec nos amis américains du Comité d’action politique de Lyndon LaRouche, avions exposé ce mensonge au moment où il s’est produit, sans avoir besoin des preuves empiriques qui se sont accumulées après l’invasion.
Le grand mensonge suivant, dont les services de renseignements britanniques sont également à l’origine, est celui du « Russiagate », qui combine la « collusion entre Trump et la Russie », avec le « piratage russe » des ordinateurs du Parti démocrate. La publication fin avril des audiences du Congrès a prouvé ce que nous avions nous-mêmes démontré dès 2017 : il n’y a eu ni collusion ni piratage russe. De nombreux responsables vont très certainement encourir des poursuites pénales pour avoir…