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Attentats de Bruxelles : la schizophrénie de François Hollande

Le 4 mars, François Hollande décore de la Légion d’honneur le ministre de l'Intérieur d'Arabie saoudite, le prince héritier, Mohammed ben Nayef.
Le 4 mars, François Hollande décore de la Légion d’honneur le ministre de l’Intérieur d’Arabie saoudite, le prince héritier, Mohammed ben Nayef.
Crédit : Reuters

C’est avec un ton grave que François Hollande a réagi aux attentats de Bruxelles. Mais c’est le même François Hollande qui le 6 mars décernait la Légion d’honneur au prince héritier de l’Arabie saoudite, un pays dont ses propres services diplomatiques et de renseignement n’ont cessé de l’avertir depuis 2012 sur le rôle clé qu’il joue dans le financement et l’armement des courants djihadistes au Moyen-Orient et à travers le monde. Nous exigeons donc que cessent ces liaisons meurtrières.

Au moment où à Bruxelles, la terreur aveugle vient d’ensanglanter une fois de plus l’Europe, et où l’on parle d’un terrorisme désormais « professionnalisé », il est utile de revenir sur le dossier accablant publié par Marianne dans leur numéro du 11-17 mars, sur la macabre collaboration entre le gouvernement de François Hollande et les courants du wahhabisme le plus radical en Arabie Saoudite, connus pour leur financement des djihadistes.

Le magazine braque ses projecteurs notamment sur la relation privilégiée entre les autorités françaises et le prince Bandar Bin Sultan, chef, jusqu’en 2013, des services secrets saoudiens.

Tous les spécialistes savent à quel point ce prince a utilisé les fonds inépuisables mis à sa disposition par le Royaume saoudien et ses alliés occidentaux, pour déployer des djihadistes de tout poil contre tout ce qui pouvait représenter une forme de progrès au Moyen-Orient.

Le prince Bandar est aussi soupçonné, par la Commission bipartisane sur les attentats du 11 septembre, d’avoir participé activement à l’organisation de ces attentats.

NB : Si les sous-titres français ne s’affichent pas, activez-les avec le bouton en bas à droite du lecteur.

Le déshonneur français

C’est la décision de François Hollande de décerner la Légion d’honneur au prince Mohamed bin Nayef, Ministre de l’Intérieur d’Arabie Saoudite et premier dans la succession au Roi Salman, le 6 mars dernier, qui a révulsé la France toute entière. D’autant que cette haute distinction lui a été attribué en raison de « tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme. » !

Tout devait être fait d’ailleurs pour que cette cérémonie passe inaperçue, rapporte Marianne. Mais, les Saoudiens s’estimant les grands perdants de l’accord qui a mis fin aux sanctions contre l’Iran, et de la nouvelle collaboration entre les États-Unis et la Russie pour mettre fin à la guerre de Syrie, ont voulu, au contraire, se vanter de leurs bonnes relations avec la France. De nombreux ministres, le chef de leur services secrets ainsi que plus de 30 journalistes avaient fait le déplacement à Paris, pour la cérémonie de la légion d’honneur ! La population française a appris, par là même, que M. Hollande avait cru bon de déployer deux de ses ministres de plus haut rang, Ségolène Royal et Emmanuel Macron, pour aller accueillir la délégation à l’aéroport et la raccompagner à sa sortie.

Le dossier publié par Marianne est accablant car il est corroboré par des notes internes et autres documents officiels ou officieux du Quai d’Orsay, auxquels Marianne a eu accès. Ces documents permettent à Marianne de décrire le pas de deux sordide, entre la France et l’Arabie Saoudite, où chacun instrumentalise l’autre dans le mal. Les Saoudiens utilisant les Français pour les soutenir dans leur guerre contre le chiisme en Iran et en Syrie, mais aussi pour faire pression sur les États-Unis ou d’autres Occidentaux qui seraient réticents à les suivre dans leur jusqu’au-boutisme. La France de son côté, exsangue après tant d’années de crise financière et de politiques improductives, instrumentalise la rage des Saoudiens contre les Américains et autres, pour faire tomber les milliards des Saoudiens dans son escarcelle. Des milliards qui cependant... ne se sont jamais matérialisés.

Marianne révèle les rôles clés joués par l’ambassadeur français à Riyad, Bertrand Besancenot, dans l’émergence de cette alliance avec le prince Bandar bin Sultan, ainsi que les mensonges et la manipulation de la France par ce prince, qui aurait caché l’ampleur des financements accordés par le royaume saoudien aux milices djihadistes en Syrie déployées contre Bachar al-Assad.

Le piège islamiste vient du Golfe

Marianne rapporte aussi que l’ancien ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait été averti dès son arrivée au pouvoir en 2012, de l’ampleur du soutien apporté par l’Arabie saoudite et le Qatar, aux milices djihadistes, au sein de l’opposition armée contre le président syrien.

Parmi les documents cités, une note des directeurs de prospective du ministère des Affaires étrangères à Laurent Fabius, datée du 15 octobre 2012 au titre particulièrement clair :

Opposition syrienne de l’intérieur : le piège islamiste vient du Golfe, et nous risquons d’y tomber.

Les auteurs de ce texte y avertissent que :

La visibilité croissante des islamistes dans l’opposition armée [à Bachar al-Assad] est un phénomène marquant depuis quelques semaines ; (…) une direction politique de l’insurrection ... n’apparaît pas clairement (…) des milieux de l’opposition de l’intérieur, proches des coordinations civiles, font de plus en plus grief à leurs soutiens extérieurs, y compris occidentaux, de privilégier quasi systématiquement le financement, et donc l’armement, aux brigades islamistes.

Les groupes islamistes, disent-ils, deviennent :

Les vecteurs d’influence des services de renseignements des États d’origine (Arabie, Qatar) », alors que « les groupes armés non islamistes, ‘laïques’, pluriconfessionnels, chrétiens, alaouites ou druzes (...) extérieurs à ces circuits, ne bénéficient pas des retombées de cette coopération et se retrouvent chaque jour plus marginalisés.

Plusieurs pistes auraient été proposées pour contrer cette dynamique d’islamisation : une meilleure coordination avec nos partenaires occidentaux ; « traiter de front ce sujet dans notre dialogue politique avec les puissances régionales concernées (Arabie, Qatar notamment) » ou « aider en priorité les coordination politiques civiles »... Aucune de ces pistes n’aura été suivie.

L’intox du prince Bandar faite aux Français

Le Prince Charles avec le Prince Bandar d'Arabie Saoudite
Le Prince Charles avec le Prince Bandar d’Arabie Saoudite

Marianne révèle aussi l’essentiel d’une rencontre qui eut lieu le 2 Février 2013, en Arabie saoudite, entre une délégation française dont faisaient partie Emmanuel Bonne, conseiller à la présidence sur l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient, et l’ONU ; Eric Chevalier, ambassadeur français en Syrie, et le colonel Jean Claude Piccirillo, membre de l’état-major particulier du président de la République, et le prince Bandar ben Sultan, en présence de son frère Salman ben Sultan, chargé du soutien à l’opposition armée en Syrie. Ce « faucon » qui avait été ambassadeur du Royaume saoudien aux États-Unis entre 1983 et 2005, rapporte Marianne, avait noué « de ce fait des relations très fortes avec les services de renseignements américains (CIA en tête) et avec les néoconservateurs de l’administration américaine, en particulier les Bush père et fils, mais aussi Dick Cheney ».

Dans cette réunion qui a duré quatre heures, Bandar a décliné les trois objectifs que le roi Abdallah lui avait assigné : « provoquer la chute de Bachar al-Assad, contenir l’Iran et marginaliser le Hezbollah libanais ». Il a rassuré les Français sur le fait « que la chute du régime syrien pouvait être très rapide (…) Bachar, par stupidité, tombe dans la surenchère et la violence ; (...) il n’a pas l’expérience de son père, rompu aux expériences révolutionnaires et aux coups d’état (...) et ses moyens sont beaucoup plus limités que sur le papier. Rappelez-vous comme nous avons surestimé les moyens militaires de Saddam ».

Bandar apprend ensuite aux Français que l’Arabie saoudite approvisionne l’opposition en armement à un rythme croissant. « Nous avons livré 1 500 t au jour d’aujourd’hui. Avec un objectif à court terme de 2 000 t. » Il fait pression pour que les Occidentaux livrent des armes sophistiquées : « ce sont surtout les armes anti-aériennes qui font défaut. [Si les Américains ou les Français l’autorisent à livrer ce type d’armes] ce sera une vraie rupture sur le terrain et la clé de la victoire pour la bataille de Damas. » Il critique l’allié américain, essayant de mettre la France de son côté : « J’ai parlé avec eux des armes antiaériennes et de la nécessité d’en doter les combattants. Que n’avais je pas dit ! Cris d’orfraie à Washington ! Il y a néanmoins de vifs débats internes au sein de l’administration à ce sujet. Petraeus (le patron de la CIA) m’a dit qu’il avait un plan avec Clinton pour livrer des armes, mais que la Maison-Blanche l’avait rejeté. »

Tout le long de cet entretien cependant, « Bandar assurera ne pas livrer d’armes à des mouvements affiliés aux Frères musulmans (...) mais ne parlera à aucun moment des groupes hérités d’al-Qaïda ». Il se fait aussi rassurant : « Je vous donne la garantie qu’une fois à Damas nos gars ne se rendront pas coupables de choses affreuses contre les populations civiles » !

A la suite de cet entretien, l’ambassadeur Bertrand Besancenot « se félicite de la détermination saoudienne de faire tomber Bachar », rapporte Marianne. Mais même lui met en garde les autorités françaises : « Tout à la mise en œuvre du mandat qui a reçu du roi, le prince Bandar est davantage préoccupé de damer le pion aux Iraniens que de créer les conditions d’une négociation politique favorable à l’opposition. Il reste vague sur la sécurité des communautés syriennes et les contours de la nouvelle Syrie. »

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projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

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