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Syrie : le chef de l’armée US s’oppose à la guerre d’Obama

Plus le risque d’escalade vers un conflit mondial s’accroît, plus le chef d’état-major interarmées américain contredit les plans des va-t-en guerre d’Obama. Dans une lettre adressée au sénateur Carl Levin, président de la Commission des armées, et que nous évoquions fin juillet, le plus haut gradé américain démontre que toutes les options militaires en Syrie sont une impasse périlleuse. Extraits.

Mener des frappes à distance limitées. (…) requerrait notamment des centaines d’aéronefs, de navires, de sous-marins et autres moyens. (…) Le risque existe que le régime puisse résister à ces frappes limitées en dispersant ses équipements. Des attaques en représailles sont également possibles et il y a une probabilité de dommages collatéraux sur des civils et des ressortissants étrangers dans le pays.

Etablir une zone d’exclusion aérienne. (…) requerrait des centaines d’aéronefs basés au sol et en mer, un soutien en matière de renseignement et de guerre électronique, et des moyens de ravitaillement et de communication. Les coûts estimés sont au départ de 500 millions de dollars, et aux alentours d’un milliard par mois sur une période d’un an. (…) Les risques comprennent la perte d’aéronefs américains (…) L’on pourrait aussi échouer à réduire la violence ou à inverser le rapport de forces dans la mesure où le régime se repose majoritairement sur ses armes au sol que sont les mortiers, l’artillerie et les missiles.

Etablir des zones tampons. (…) La force militaire serait nécessaire pour défendre ces zones contre des attaques aériennes, de missiles ou terrestres. Cela requerrait d’établir une zone d’exclusion aérienne limitée, avec les équipements nécessaires pour sa mise en œuvre. Des troupes au sol par milliers seraient nécessaires (…) Les risques sont similaires à ceux d’une zone d’exclusion aérienne, auxquels s’ajoute le problème du recours par le régime à des attaques terrestres contre ces zones, tuant plus de réfugiés à cause de leur concentration. Les zones pourraient aussi devenir des bases opérationnelles pour les extrémistes.

Maîtriser les armes chimiques. (…) Au minimum, cette option impliquerait d’établir une zone d’exclusion aérienne ainsi qu’à des frappes aériennes et à distance engageant des centaines d’aéronefs, de navires, de sous-marins et autres moyens. Des milliers de forces spéciales et d’intervention au sol seraient nécessaires pour prendre d’assaut et sécuriser les sites clés. Les coûts seraient bien supérieurs à un milliard de dollars par mois. (…) Notre incapacité à contrôler totalement les systèmes de dépôt et d’acheminement syriens pourrait permettre aux extrémistes d’y gagner un meilleur accès. Les risques sont similaires à ceux d’une zone d’exclusion aérienne, augmentés du risque que constitue la présence de soldats américains sur le sol syrien.

Ces options sont trop souvent considérées de façon isolée. Ce serait mieux si elles étaient évaluées et discutées dans le contexte d’une stratégie d’ensemble (…) A cette fin, j’ai soutenu une approche régionale visant à circonscrire le conflit pour éviter une déstabilisation régionale et une prolifération des armes. Dans le même temps, nous devrions aider au développement d’une opposition modérée – y compris leurs capacités militaires – tout en maintenant la pression sur le régime Assad.

Toutes ces options permettraient probablement d’avancer nos objectifs militaires immédiats, d’aider l’opposition et d’exercer plus de pression sur le régime. Néanmoins, nous avons appris au cours des dix dernières années qu’il ne suffit pas simplement de modifier l’équilibre de la puissance militaire pour préserver un Etat fonctionnel. Nous devons anticiper et nous préparer aux conséquences inattendues de notre action. Si les institutions du régime devaient s’effondrer en l’absence d’une opposition viable, nous pourrions sans le vouloir mettre des extrémistes au pouvoir et déclencher l’usage de ces armes chimiques que nous souhaitions contrôler.

Je sais que la décision d’utiliser la force est une option qu’aucun de nous ne prendrait à la légère. Ce n’est rien de moins qu’une déclaration de guerre. Au moment où nous évaluons nos possibilités, nous devrions pouvoir conclure avec certitude que le recours à la force nous amènera vers l’objectif voulu. Nous devons également comprendre les risques – non seulement à l’égard de nos propres forces mais aussi de nos autres responsabilités globales. Ceci est particulièrement critique alors que nous perdons nos capacités à réagir en raison de coupes budgétaires et des aléas fiscaux. Certaines options peuvent ne pas être faisables dans les temps et les coûts impartis, sans compromettre notre sécurité par ailleurs. Une fois l’action lancée, nous devrions être prêts pour la suite. Une implication plus profonde est difficile à éviter. Nous devrions agir en accord avec la loi, et dans la mesure du possible, de concert avec nos alliés et partenaires afin de répartir l’effort et de garantir le résultat.

La lettre dans son intégralité est disponible ici.

Plus récemment encore, dans une lettre du 19 août à un député – le démocrate Eliot Engel – favorable à une intervention militaire à grande échelle contre la Syrie, Dempsey a souligné clairement que des frappes limitées mèneraient au même résultat :

Une intervention militaire de quelque nature que ce soit, même limitée, engagerait les Etats-Unis encore plus profondément dans le conflit syrien et aiderait des groupes d’opposition qui ne soutiennent pas les intérêts des Etats-Unis dans la région.

Cela conduirait à l’escalade et amènerait possiblement les Etats-Unis à s’impliquer davantage dans le conflit. L’usage de la force militaire américaine peut changer l’équilibre militaire de plusieurs manières, mais il ne peut résoudre les problèmes ethniques, religieux et tribaux historiques qui alimentent le conflit. (…)

La question en Syrie aujourd’hui n’est pas de choisir entre deux camps, mais plutôt de choisir un camp parmi plusieurs factions. Je crois que le camp que l’on choisira doit être prêt à promouvoir ses intérêts et les nôtres lorsque l’équilibre basculera en sa faveur.

Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. La crise en Syrie est tragique et complexe. Elle a des racines profondes car il s’agit de conflits à long terme entre des factions multiples et des luttes violentes pour le pouvoir, qui se poursuivront après la chute d’al Assad. Nous devons évaluer l’efficacité d’options militaires limitées dans ce contexte.

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  • gdfontaines • 04/09/2013 - 18:02

    Jeu d’Echec - Au dernier développement, Poutine est prêt à intervenir si les preuves sont faites.. en langage Russe, ceci veut dire que légitimement, si la preuve est apportée que c’est bien l’occident qui a permis l’utilisation des gaz toxiques via ses réseaux qatari and C° ben alors la Russie peut intervenir et attaquer ou le Qatar ou l’Arabie Saoudite, non ? Le problème c’est que là c’est un PAT et la fierté des hommes n’aime pas en rester là.. Il est donc primordial de regarder vers les politiques de développements comme le fait S&P plutôt que focaliser sur le conflit pour montrer qu’il y a bien autre chose de possible. Appelons alors, Hollande au développement mutuel plutôt qu’au conflit perpétuel !

    Répondre à ce message

  • Eric • 04/09/2013 - 10:13

    "Dans le même temps, nous devrions aider au développement d’une opposition modérée – y compris leurs capacités militaires – tout en maintenant la pression sur le régime Assad."
    Cette opposition modérée existe déjà en Syrie, elle n’est pas opprimée et dialogue avec le régime depuis près de deux ans. Dempsey le sait pertinemment mais fait l’ignorant pour ne pas trop irriter ses maîtres sionistes. Ce militaire, comme tous les ennemis de Bachar al-Assad, fait semblant d’ignorer que le régime syrien a changé de nature 26 février 2012 lorsque la Constitution a été modifiée. Le multipartisme a été entériné et cette nouvelle Constitution approuvée par 89,4 % des votants (57,4 % du corps électoral, ce qui est énorme si l’on tient compte des menaces proférées par les terroristes islamiques). Dempsey ne précise pas non plus que les Etats-Unis foulent aux pieds le droit international qui stipule que la souveraineté des Etats doit être respecté.

    • Elie • 04/09/2013 - 11:21

      Il est vrai que les Etats Unis devrait prendre exemple sur la famille Assad, qui, depuis des années, respecte la souveraineté de son voisin le Liban en y perpétrant un nombre incalculable d’attentats contre tous les démocrates de ce pays qui, justement, demandaient que la souveraineté du Liban soit respectée par la Syrie.
      Peur être ne savez vous même pas où se trouve le Liban.

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  • Vincent • 03/09/2013 - 20:53

    Pour les anglophones, Dempsey, Kerry et Hagel témoignent en direct sur l’opportunité d’une action militaire en Syrie, devant le Comité des Affaires Etrangères du Sénat américain :
    http://www.politico.com/livestream/

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  • petite souris • 04/09/2013 - 10:09

    Voilà un homme de bon sens
    mais il ne prend pas en compte la volonté des malthusiens banksters...
    Voilà pourquoi les gens de bon sens ne sont pas ceux d’en haut !

    Répondre à ce message

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La City et Wall-Street fomentent la guerre pour éviter la refonte des institutions financières. Il nous faut changer la donne afin d’empêcher que la situation dégénère en catastrophe nucléaire.

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Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Jacques Cheminade
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