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Scénario de guerre entre la Suisse et une France démembrée ? Pas si fou...

Après « Stabilo Due » en 2012, qui envisageait des déstabilisations suite aux politiques d’austérité imposées en Europe, l’armée suisse a procédé les 26, 27 et 28 août aux manœuvres « Duplex-Barbara » mettant en scène l’éclatement de la France :

Suite à une longue crise économique, politique et sociétale, l’architecture politique et sécuritaire européenne s’effondre. Une majeure partie du continent fait face à une grande dépression, qui se caractérise par une montée des tensions internes et de la violence.

Dans ce contexte, qui voit l’émergence de l’Etat indépendant de « Saônia » (recouvrant le Jura français), les Brigades libres de Dijon menacent de s’attaquer à la Suisse.

Les commentaires que suscitent en France ces exercices oscillent entre rigolade un peu gênée aux entournures et irritation quelque peu condescendante.

Du coup, on en vient à se poser quelques questions. Tout d’abord, est-il vraiment si étonnant que l’état-major d’une armée étudie les conséquences les plus extrêmes de développements qui se passent à ses frontières ? Ignore-t-on qu’il y a un chômage de masse en France, une jeunesse sacrifiée, une paupérisation accélérée le tout doublé d’une crise politique due à l’incapacité flagrante d’un gouvernement à agir au niveau requis ?

Il y a, pour les Suisses, un reflet concret de cette situation avec les travailleurs frontaliers, soit 264 000 personnes dont la moitié de Français, qui en 2012 faisaient l’aller et retour chaque jour pour gagner leur vie.

Un tel phénomène garantit certes une certaine prospérité à l’économie de l’arc jurassien mais cela signifie de facto que celle-ci est au moins en partie indirectement subventionnée par la Suisse au travers des salaires (bien supérieurs à ceux pratiqués en France) perçus par les frontaliers. En d’autres termes, l’incapacité de l’économie française à offrir un travail et un salaire décent à ses ressortissants transforme la Suisse en une terre d’immigration de jour, pour ne pas dire « hospitalisation économique » de jour.

Côté suisse, il semble que la cote d’alerte soit désormais atteinte comme l’atteste le résultat de l’élection, dimanche 6 octobre, pour le renouvellement du Grand Conseil genevois (le Parlement de l’Etat de Genève). Les extrêmes sortent renforcés de ce vote avec, en particulier, le Mouvement des citoyens genevois (MCG) qui gagne plusieurs sièges, le plaçant ainsi à vingt députés sur cent au Conseil. Principal thème du MCG ? Le trop grand nombre de travailleurs frontaliers (dans l’immense majorité des Français) accusés de concourir au dumping salarial et de prendre des emplois à Genève, le canton suisse le plus affecté par le chômage (5,4 % en août contre 3% à l’échelle nationale).

Aussi, entre ce que révèle cette immigration économique de jour, le spectacle atterrant de gouvernements successifs abandonnant des pans entiers de la souveraineté nationale, leur complicité dans la casse de la fabrique sociale et culturelle de la France et la désagrégation des institutions – justice de classe, représentation nationale servant ses intérêts et ses clientèles, armée qui n’est plus que l’ombre d’elle-même – on peut aisément imaginer que l’état de la France inspire quelques inquiétudes hors de nos frontières.

A ceci s’ajoutent les efforts incessants de l’Union européenne pour faire éclater les Etats-nations et les transformer en une Europe des régions où celles-ci se neutraliseront par leur mise en concurrence mutuelle, efforts qui ne rencontrent institutionnellement aucune opposition, bien au contraire.

Le référendum organisé en Alsace le 7 avril dernier est un exemple parmi d’autres de cette dynamique encouragée en toute discrétion. Celui-ci, dont l’immense majorité des Français n’a découvert l’existence que le lendemain du vote, visait ni plus ni moins à changer l’organisation territoriale du pays. Sous le prétexte éculé de simplifier le mille-feuille administratif français, on proposait aux électeurs des départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin de les fusionner en une région unique qu’il serait alors très facile de détacher progressivement de la France sous couvert de convergence culturelle et économique « naturelle » avec les régions voisines allemandes et suisses. Le projet a échoué mais fait suite à une première tentative, là aussi retoquée par les électeurs, qui avait déjà eu lieu en Corse. Vous doutez ? Interrogez-vous sur l’empressement de l’Union européenne à financer tout ce qui est langues régionales alors qu’elle ne trouvera pas de fonds pour les agriculteurs ou des projets d’infrastructures pourtant nécessaires. Ce que promeut l’Union européenne est en réalité le projet fasciste de l’Europe des régions imaginé par Leopold Kohr et relayé en France, à sa façon, par un Jacques Delors.

C’est en cela que le scénario d’une France démembrée devient plausible. Et, ô surprise, lorsque certains comme Thierry Portes dans Le Figaro (du 1er octobre pour l’édition papier) font allusion à la région fictive de « Saônia » inventée par l’état-major suisse, c’est pour s’interroger si elle ne serait pas une résurgence de la Bourgogne de Charles le Téméraire ! Sans vouloir procéder à des rapprochements hâtifs, on reste néanmoins dubitatif lorsqu’on se rappelle qu’un Himmler avait affirmé dans ses confidences que Hitler souhaitait le démantèlement de la France et l’émergence d’une grande Bourgogne constituée de la Suisse Romande, la Franche-Comté, la Bourgogne actuelle, la Champagne, la Picardie, le Hainaut et la Wallonie, c’est-à-dire peu ou prou la Bourgogne de Charles le Téméraire. Ajoutons que cet état fantoche aurait été dirigé par le fasciste belge Léon Degrelle.

Évidemment, les esprits cartésiens savent bien que tout cela est rigoureusement impossible. La Constitution ne stipule-t-elle pas que la République est une et indivisible ? On aimerait bien sûr y croire si ce n’est le peu de cas que fait de la Constitution notre propre gouvernement et il ne se trouve pas chez nous comme au Portugal une Cour constitutionnelle ayant le courage de rejeter des lois antisociales contrevenant à celle-ci. Quant aux cartels financiers, les Constitutions ne sont pas seulement pour eux des chiffons de papier, elles sont des obstacles à éliminer. Ainsi, la branche londonienne de la banque anglo-américaine JP Morgan a sorti fin mai 2013 une étude incriminant les constitutions anti-fascistes de l’après-guerre dans les pays du Sud de l’Europe comme gênant une relance de l’économie (sic) car trop protectrices des populations. Plus récemment, le Wall Street Journal déplorait que les constitutions soient incompatibles avec une intégration plus poussée dans la zone euro … Or, on ne dira jamais assez que ces dernières furent rédigées juste à la fin de la deuxième Guerre mondiale avec l’intention de graver dans le marbre les principes garantissant l’élimination définitive de ce qui avait engendré le fascisme et le nazisme !

Ces éléments doivent nous faire réfléchir sur la dynamique qui a été lancée et dans quel but. Dans un article du 26 juin 2012 publié dans le Guardian , le journaliste Greg Palast révélait comment Robert Mundell, l’un des créateurs de l’euro, l’avait conçu comme moyen de casser les nations, leurs gouvernements, leurs lois et, in fine, leurs peuples.

Au moment où le monde vacille au bord du gouffre, il est en définitive plutôt rassurant de constater qu’il existe des états-majors en Europe qui ne soient pas en déni de réalité et soient capables de faire l’hypothèse du pire pour n’avoir pas à le combattre.

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  • gdfontaines • 08/10/2013 - 23:32

    La paix menacée ?
    Que l’armée Suisse manœuvre sur des scenarii géopolitiques, à la limite, c’est son rôle. Le risque c’est que ça soit prémonitoire puisqu’on voit en même temps, les sécessionnistes européens entrer en scène de toute part. Et là, la réalité dépasse la fiction.
    N’a-t-on pas une Catalogne qui envisage son indépendance ? Et Perpignan et sa région qui finiraient par l’y rejoindre pour former un Etat "riche" n’ayant pas à se préoccuper de l’austérité qui règne chez les autres, et en particulier dans le sud de l’Espagne.
    Pareil pour les basques, n’ont-ils pas soudain, déposé les armes ? Seule route vers l’autonomie via la fusion des départements commencée côté français malgré les réticences du royaume espagnol.
    Et quid de la mise à mort de la Belgique ?
    Si on voulait pousser les peuples les uns contre les autres, on ne s’y prendrait pas autrement. De même que si l’on voulait démanteler des pays européens. On parle ici de diviser pour mieux régner, d’un scénario digne de Machiavel dont les craintes suisses révèlent le danger.
    Celui de voir s’ériger des « Bantoustan » européens plus ou moins avides de puissance ou complètement exsangues de tout mais tous affamés de fait, de possessions.
    Mais qui a donc intérêt à construire cette désunion européenne ?

    Répondre à ce message

  • petite souris • 07/10/2013 - 21:52

    ........c’est donc le moment de lancer un mouvement pour le rattachement de la Franche Comté à l’Empire Austro-Hongrois ......qui doit renaître de ses cendres !

    Répondre à ce message

  • Eric • 07/10/2013 - 20:44

    "... représentation nationale servant ses intérêts et ses clientèles,..."
    Cette situation n’est pas propre à notre époque, mais au régime républicain qui est oligarchique par essence. A bas la République ! Vive la Démocratie !

    Répondre à ce message

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
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Refonder l’Europe

L’Europe n’est pas l’Union européenne (UE) ! L’UE est devenue la caricature destructrice de ce que devrait être une Europe progressant dans l’intérêt mutuel des peuples et des nations qui la composent. C’est pourquoi il faut la dissoudre.

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Jacques Cheminade
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