Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

25 mai - Réunion sur ce qu’on nous cache à propos du Cannabis Lire 22 mai - L’Intelligence Artificielle, arme de paix ou de guerre ? Lire 17 mai - La France face au cauchemar Lire
AccueilActualités

Le TTIP/TAFTA incorporera l’UE dans un Empire transatlantique

Réunion sur le TTIP lors du G8 en 2013. Quel peuple a élu Barroso et Van Rompuy ?
Réunion sur le TTIP lors du G8 en 2013. Quel peuple a élu Barroso et Van Rompuy ?

En cette période électorale, la Commission européenne est d’une discrétion extrême autour des négociations de l’accord commercial transatlantique (Transatlantic Trade and Investment Partnership ou TTIP, aussi nommé TAFTA, (Trans-Atlantic Free Trade Agreement) ainsi que sur le sort du libéral Karel De Gucht, commissaire européen, candidat aux élections et négociateur chevronné du partenariat transatlantique.

Pourtant, l’autorité fiscale belge a annoncé le 24 avril qu’elle allait introduire un pourvoi en cassation dans un dossier visant De Gucht pour fraude fiscale.
Tout comme l’étaient les négociations multilatérales de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), ces négociations sont par définition une fraude.

Car sans une remise à plat du système financier et monétaire actuel à partir d’une séparation stricte des banques, tout accord sur les échanges de biens et de services restera otage du monde financier. A cela, j’ajouterai qu’en donnant délégation à la Commission européenne pour négocier dans le plus grand secret avec les États-Unis, nos gouvernements (et ceux qui les ont élus…) reçoivent comme un boomerang les conséquences de la fameuse « construction » européenne pour laquelle ils ont œuvré avec ardeur depuis des décennies.

Si jusqu’ici le droit des États et de l’UE visait à protéger le citoyen, le TTIP vise explicitement à protéger « les investisseurs ». Étant donné que les tarifs douaniers sont déjà très faibles, le TTIP prétend pouvoir intensifier le commerce mondial en s’en prenant aux normes et protections. Quant au calendrier officiel originel qui optait pour une présentation de l’accord courant 2015, certains tablent désormais sur la conclusion d’un accord dès octobre 2014.

Rien que la façon dont le TTIP se négocie a de quoi inquiéter. Le mandat de négociation (46 articles répartis en 18 sections) accepté par les États n’existe officiellement qu’en langue anglaise et sa diffusion est restreinte. Bien que le refus de transparence soit une constante de la Commission européenne, les craintes des États-Unis de voir leurs positions fuiter dans la presse, les ont conduits à refuser que la Commission européenne permette l’accès aux documents de la négociation.

Mieux, le gouvernement américain a proposé un accès limité à travers une salle de lecture sécurisée à Bruxelles. En pratique, les fonctionnaires des États membres seraient autorisés à afficher les documents dans une salle de lecture spéciale, supervisée par un garde de sécurité. Les fonctionnaires ne seraient cependant pas autorisés à copier lesdits extraits… La procédure n’est pas sans rappeler les conditions accordées par Obama aux parlementaires américains désireux de consulter le rapport de la CIA sur la torture...

Permis de chasse pour les fonds vautour

Un rapport de l’Observatoire de l’Europe industrielle et du Transnational Institute du 10 mars révèle l’existence, avant même la conclusion du TTIP, d’une « vague croissante » de poursuites juridiques lancées contre les États membres en difficulté, venant d’investisseurs spéculatifs touchés par la crise économique européenne. Les fonds spéculatifs, aussi nommés fonds vautours, à la recherche de retour sur investissement rapide, réclament « plus de 1,7 milliards d’euros de compensation à la Grèce, l’Espagne et Chypre » en utilisant les procédures d’arbitrage privés dans le cadre d’accords commerciaux sur les investissements. Le nombre de cas d’arbitrages répertoriés est monté en flèche passant de 38 en 1996 à 450 en 2011, selon Centre international de règlement des différends liés à l’investissement (CIRDI), avec un coût moyen de 8 millions de dollars (5,8 millions d’euros) par litige.

En cause, le système d’arbitrage privé investisseur-État (Investor-State Dispute Settlement, ISDS) un cadre juridique spécifique qui permet aux entreprises multinationales d’attaquer, via des traités sur le commerce et l’investissement, un pays qui aurait pris ou qui souhaiterait prendre des mesures pour protéger sa population. Cette procédure de règlement des différends investisseurs-États a été créée en 1994 et mise en œuvre dans le cadre de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), servira de modèle pour le TTIP.

Les investisseurs spéculatifs utilisent ces accords d’investissement pour piller les Trésors publics à court de liquidités des États européens en crise. Ce serait une folie politique d’accorder aux sociétés ces droits excessifs dans le cadre d’un accord commercial de grande envergure entre les États-Unis et l’Union européenne,

s’insurge Pia Eberhardt, de l’Observatoire de l’Europe industrielle, coauteure du rapport.

Trop c’est trop

Le TTIP devenant le symbole du cauchemar européen, l’ancien ministre des finances et très européiste Jean Arthuis (Modem), qu’on aurait bien du mal à accuser de dérive gauchiste, estime dans Le Figaro que l’Europe doit se montrer moins lâche : « C’est une chose de vouloir abaisser les barrières tarifaires et faire converger les réglementations, pour accroître le commerce et les investissements de part et d’autre de l’Atlantique. C’en est une autre de laisser Washington piétiner les intérêts européens sans avoir le courage de les défendre avec fermeté. C’est pourquoi, bien qu’issu d’une famille politique traditionnellement favorable au libre-échange et à l’alliance atlantique, je suis contre l’Accord transatlantique de libre-échange actuellement négocié par les Etats-Unis et les autorités européennes. »

À cela, sept raisons précises et concrètes :

Premièrement, je m’oppose à l’arbitrage privé des litiges entre États et entreprises. Demain, suivant la proposition des Etats-Unis, une entreprise s’estimant lésée par la décision politique d’un gouvernement pourrait y recourir. Une telle procédure est rigoureusement contraire à l’idée que je me fais de la souveraineté des Etats.

Deuxièmement, je m’oppose à toute remise en cause du système européen des appellations d’origine. Demain, suivant la proposition des États-Unis, il n’y aurait plus qu’un registre non contraignant, et uniquement pour les vins et spiritueux. Une telle réforme tuerait nombre de productions locales européennes dont la valeur repose sur leur origine certifiée.

Troisièmement, je m’oppose à la signature d’un accord avec une puissance qui espionne massivement et systématiquement mes concitoyens européens, ainsi que les entreprises européennes. Les révélations d’Edward Snowden sont à cet égard édifiantes. Aussi longtemps que l’accord ne protège pas les données personnelles des citoyens européens et américains, il ne saurait être signé.

Quatrièmement, les Etats-Unis proposent un espace financier commun transatlantique, mais ils refusent catégoriquement une régulation commune de la finance, de même qu’ils refusent d’abolir les discriminations systématiques faites par les places financières américaines à l’encontre des services financiers européens. C’est vouloir le beurre et l’argent du beurre : je m’oppose à cette idée d’un espace commun sans règles communes et qui maintiendrait les discriminations commerciales.

Cinquièmement, je m’oppose à la remise en cause de la protection sanitaire européenne. Washington doit comprendre une fois pour toutes que nonobstant son insistance, nous ne voulons dans nos assiettes ni des animaux traités aux hormones de croissance, ni de produits issus d’OGM, ni de la décontamination chimique des viandes, ni de semences génétiquement modifiées, ni d’antibiotiques non thérapeutiques dans l’alimentation animale.

(…) Septièmement, au-delà du seul secteur audiovisuel, étendard de l’actuel gouvernement qui sert de cache-sexe à sa lâcheté sur tous les autres intérêts européens dans la négociation, je veux que toute l’exception culturelle soit défendue. Notamment, il est inacceptable de laisser les services numériques naissants d’Europe se faire balayer par les géants américains tels que Google, Amazon ou Netflix. Géants, maîtres absolus en optimisation fiscale, qui font de l’Europe une ‘colonie numérique’.

Les collectivités entrent en résistance

Craignant un accord qui engagera « tous les niveaux de gouvernement », les collectivités territoriales ont commencé à réagir. Alors qu’Hollande a annoncé lors de sa conférence de presse avec Obama qu’il souhaite un accord au plus vite, Manuel Valls a annoncé la suppression de la « clause de compétence universelle » qui laisse précisément une certaine capacité aux élus locaux de pouvoir s’y opposer.

Depuis février, plusieurs collectivités se sont jointes à l’initiative symbolique de l’Ile-de-France en multipliant les vœux et délibérations pour se déclarer « zone hors TTIP ».

Trois régions (Bourgogne, Bretagne, Rhône-Alpes) ont voté un vœu demandant un moratoire ou un débat autour des négociations. Le conseil régional de Bourgogne demande à l’Association des régions de France (ARF), organisme représentatif des collectivités régionales, l’ouverture d’un débat national avec la participation des collectivités territoriales, des parlementaires, des organisations syndicales et associatives. En Rhône-Alpes, le vœu déposé par le Front de gauche et EELV déclarant la région hors grand marché transatlantique a été rejeté par le PS, le PRG et le FN, et a été remplacé par une version demandant un moratoire sur les négociations.

De même, le conseil régional de Bretagne a rejeté un vœu déclarant la Bretagne zone hors TTIP pour le remplacer par un autre plus consensuel. Deux départements (Seine-Saint-Denis et Tarn) et sept communes (Besançon, Briançon, Crévoux, Grande-Synthe, Niort, Saint-Denis et Sevran) se sont déclarés zone hors TTIP.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

La City et Wall-Street fomentent la guerre pour éviter la refonte des institutions financières. Il nous faut changer la donne afin d’empêcher que la situation dégénère en catastrophe nucléaire.

En savoir plus
superUE
20 mai 2013
Actualités
La France doit mettre son veto sur le grand marché transatlantique
LaRouche
20 février 2008
Déclarations de Lyndon LaRouche
Traité de Lisbonne et candidature Bloomberg : un coup d’état transatlantique
 Décryptage : ce qui se cache derrière le « Grand marché transatlantique » TAFTA/TTIP/CETA
29 mars 2013
Analyses
Décryptage : ce qui se cache derrière le « Grand marché transatlantique » TAFTA/TTIP/CETA

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard