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Le Prince Charles derrière la deuxième guerre du Haut-Karabakh ?

Richard Moore, le nouveau patron du MI-6, un ami du Prince Charles.
Richard Moore, le nouveau patron du MI-6, un ami du Prince Charles.

Tous les écologistes l’adorent. Le Prince Charles, héritier du trône britannique, n’est-il pas le champion toutes catégories de la révolution verte, le pourfendeur des gaz à effet de serre, l’éternel défenseur de la petite fleur des champs et des océans menacés par le plastique ?

Dans ce rôle, son altesse a multiplié ses apparitions, à la COP21 en 2015, en recevant la petite Greta Thunberg ou encore en annonçant, lors d’une visioconférence en juin 2020 The Great Reset (la grande réinitialisation) de l’économie mondiale imaginée par le Forum Économique Mondial de Davos.

D’ailleurs, Mary Jane Malleret, qui préside son cabinet privé, n’est autre que l’épouse de Thierry Malleret, co-auteur avec Klaus Schwab du livre Covid-19, The Great Reset (Juillet 2020), thème qui sera à l’honneur du prochain forum de Davos en janvier 2021.

L’engagement sans réserve de Charles pour l’environnement est supposé nous convaincre de son amour infini pour l’humanité. La réalité est ailleurs. Comme le révèle cet article paru le 17 novembre 2020 dans le Courrier International, le Prince Charles, avec l’appui de son ami Richard Moore, nouveau patron du MI-6 depuis juillet 2020 (voir photo), est au cœur des déstabilisations du Sud-Caucase. Sauver la nature ? Non, chasser la Russie de la zone dans la pure tradition géopolitique du Great Game de l’Empire britannique d’antan !

Selon la presse russe et arménienne, le Royaume-Uni serait en train de relancer le Grand Jeu – cette rivalité coloniale avec la Russie en Eurasie qui a marqué le XIXe siècle.

« La Grande-Bretagne recommence le Grand Jeu », titre le site russe d’analyse stratégique Fond Strateguitcheskoï Koultoury (FSK). Dans la presse russe et arménienne, un nom est évoqué de plus en plus souvent : celui de Richard Moore, 57 ans, patron du MI6 (Military Intelligence section 6, le service des renseignements extérieurs britanniques) depuis juillet 2020. Diplômé d’Oxford, diplomate chevronné, ancien ambassadeur de la reine en Turquie (2014-2017), ami de trente ans du président turc Recep Tayyip Erdogan, polyglotte parlant couramment le turc, et antirusse comme il se doit, Moore est « un personnage tout ce qu’il y a de plus sérieux », écrit FSK.

Et il pourrait bien être le véritable artisan et le principal bénéficiaire potentiel de l’élan expansionniste turc, à en croire les analyses.

« Des signes sinistres de panturquisme renaissent dans la politique de la ‘nouvelle’ Turquie d’Erdogan, dont les ambitions géopolitiques semblent soutenues par les adeptes et les héritiers du colonialisme britannique », confirme le journal arménien Noev Kovcheg. Et de rappeler que, dès la nomination de Moore à la tête de MI6, de nombreux experts russes « auguraient une déstabilisation sur le pourtour des frontières » de la Russie.

Londres a voté contre la résolution sur le cessez-le-feu à l’ONU

Le journal arménien Zham insiste sur la nécessité de révéler au grand jour « le sens réel de l’activité de toutes ces organisations financées par Londres en Arménie ». Le titre rappelle que le Royaume-Uni a été le seul pays du Conseil de sécurité des Nations unies à bloquer, le 5 novembre, une résolution sur le cessez-le-feu dans le Haut-Karabakh.

Le Royaume-Uni est « parmi les instigateurs de la deuxième guerre dans le Karabakh », estime, quant à elle, l’orientaliste russe Karina Guévorguian dans les pages du journal arménien Novostink. D’ailleurs, alors que les hostilités entre l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabakh ont été déclenchées le 27 septembre par Bakou, le Parlement britannique adoptait en octobre une résolution condamnant « l’acte d’agression de l’Arménie », se réjouissait alors le site azerbaïdjanais Media.

Le Karabakh, prorusse depuis deux siècles, brouille depuis lors les cartes des Britanniques : c’est à partir de la libération du Karabakh du joug perse (la région était alors un khanat perse, royaume dirigé par un khan) et sa prise dans le giron impérial russe en 1805 que « la Russie a pu étendre son pouvoir sur tout le Caucase, puis sur le Turkestan [ancien nom de l’Asie centrale actuelle] », entravant ainsi l’expansion coloniale britannique en Asie, rappelle l’experte. « La Turquie néo-osmanienne et néopanturquiste pourrait bien être considérée par Londres comme une plateforme pour déstabiliser le Caucase du Sud et évincer la Russie », renchérit l’analyste.

La Turquie, un « bélier » de Londres pour avancer ses pions

« Il paraîtrait que Londres a fait de la Turquie un ‘bélier’ pour avancer ses pions, et Erdogan est tout à fait satisfait que la Grande-Bretagne soutienne son projet », explique FSK.

L’ancien Premier ministre arménien Grant Bagratian, interrogé par FSK, ne mâche pas ses mots :

Ce qui se passe autour du Haut-Karabakh est une opération des services spéciaux britanniques et de Richard Moore, ami personnel du prince Charles.

Mais le prince Charles a un autre bon ami : le président de l’Arménie, Armen Sarkissian, citoyen britannique. Bien que son rôle soit honorifique (l’Arménie est une république parlementaire depuis 2018), Sarkissian, investi en avril 2018, « a été le premier signe annonciateur de la révolution [‘de couleur’, financée par les structures du milliardaire américain George Soros] ».

Lire la suite de l’article sur le site du Courrier International.

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  • chauvois • 09/09/2022 - 23:53

    Une petite blague gentille, par forcément drôle, faut comprendre un peu.C’est du gallo Breton.
    https://www.youtube.com/watch?v=_Bp_I_Dk4dY

    Répondre à ce message

  • chauvois • 09/09/2022 - 23:26

    Mr karel, la mort de la Reine d’Angleterre, ou ce qu’il en reste, c’est 10 jours de bfm TV, on en a rien à foutre de cette folie médiatique délirante. Elle était solide, mais à quel prix. Une femme courageuse, tout le temps, et objectivement, ça a du être dur, partie douce et belle jeune femme, jusqu’à 96 ans, malgré tout, notamment l’incurie de la city.
    Une vieille dame, qu’on la laisse partir. Dignement, ou pas.

    Répondre à ce message

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Refonder l’Europe

L’Europe n’est pas l’Union européenne (UE) ! L’UE est devenue la caricature destructrice de ce que devrait être une Europe progressant dans l’intérêt mutuel des peuples et des nations qui la composent. C’est pourquoi il faut la dissoudre.

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

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Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

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Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

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Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
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Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
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