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Le plan ukrainien (et d’Obama) pour entraîner la Russie dans la guerre

Répondant tant à la pression des milices néonazies que celle de l’administration Obama et autres capitales occidentales, le régime de Kiev prépare une offensive visant à encercler la ville de Donestk, dans l’est de l’Ukraine. Ceci ferait non seulement voler en éclats les accords de Minsk II, mais ouvrirait la voie à un affrontement généralisé, incluant le recours à l’arme nucléaire, entre l’Occident et la Russie.

Le plan de guerre de Kiev a été communiqué à la presse le 20 août par le Porte-parole militaire de la République de Donestk, Edouard Bassourine, après qu’il a été transmis par une source travaillant au sein de l’état-major ukrainien. « Les informations que contient ce plan concernant les mouvements à venir de l’armée ukrainienne ont été reçues d’une source dans l’état-major ukrainien, et aussi étrange que cela puisse paraître, il y a encore des vrais officiers qui ne veulent pas se battre contre leur propre peuple », rapporte l’agence Tass.

Selon Bassourine, le plan de Kiev prévoit deux offensives, l’une en direction de Marioupol sur la mer d’Azov, au sud de Donetsk, et l’autre vers Debaltseve, située à mi-chemin entre Donetsk et Louhansk. Les unités armées pro-kiev dans l’est du pays comptent maintenant 90 000 hommes et officiers, 450 chars, 203 unités d’artillerie et 5 lance-missiles Tochka-U. Elles sont concentrées sur quatre secteurs, Marioupol, Donetsk, Debaltsevo et Louhansk, sans parler des forces de réserves se tenant en retrait.

L’entêtement de Kiev à vouloir s’emparer par un « blitzkrieg » des deux républiques de l’est de l’Ukraine, et ce malgré l’échec lamentable, à deux reprises, d’un plan similaire en août 2014 et janvier 2015, indique que le seul but de l’opération est d’entraîner la Russie dans le conflit et de déclencher un affrontement généralisé avec l’Occident. Comme l’a rappelé Bassourine, « il serait utile de rappeler à l’état-major ukrainien que des tentatives visant à appliquer de tels ’’plans à la Napoléon’’ ont été faites auparavant, mais que tout cela s’est terminé avec l’encerclement des troupes ukrainiennes près de Izvarino et Ilovaïsk, où un grand nombre de soldats ukrainiens ont péri.

Il est évident que le régime de Kiev n’arrivera jamais à soumettre le Donbass et à pacifier une population russophone dont les droits et la sécurité ont été massivement bafoués. Le professeur Stephen F. Cohen, un spécialiste de la Russie à l’Université de New York, a expliqué lors d’une émission radio américaine le 18 août que l’armée ukrainienne, même si elle est à moitié entraînée par les Etats-Unis et d’autres pays alliés, sera massivement défaite par les forces des deux républiques, « qui défendent leur terre natale » et ne « peuvent par conséquent être vaincues ».

La volonté de Kiev peut s’expliquer de trois manières, poursuit Cohen : la première est que le régime est désespéré sur le plan politique et pense avoir besoin d’une guerre pour rallier la population derrière lui. La deuxième est qu’il souhaite se débarrasser de l’accord de Minsk II. Et la troisième, qui n’exclut pas les deux premières, « est que Kiev est poussé par des forces en Occident à lancer cette offensive », de manière à « entraîner la Russie dans le conflit ». Un élément de preuve à cet effet, selon Cohen, est « qu’il semble de plus en plus évident que les Etats-Unis, le Canada, l’Australie et l’Angleterre font parvenir des entraîneurs en Ukraine non plus pour entraîner les bataillons de la soi-disant Garde nationale, mais l’armée régulière ».

La réponse russe

Cette situation a conduit plusieurs responsables russes à multiplier les mises en garde. Le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolaï Patrouchev a ainsi prévenu le 21 août :

L’Ukraine et les forces gouvernant actuellement le pays de l’extérieur doivent toutes deux réaliser que la reprise des hostilités conduira à un déclin aggravé de l’économie ukrainienne, à un plus grand nombre d’hostilités, à la destruction de l’infrastructure, et aura un impact négatif sur la situation régionale et internationale. Il faut fournir les conditions nécessaires à l’application des accords de Minsk visant à une résolution du conflit, étape par étape.

L’ambassadeur russe auprès de l’OSCE, Andreï Roudenko, a lui aussi fait part de ses préoccupations au Conseil permanent de l’organisation concernant le regroupement des forces de Kiev dans l’est de l’Ukraine :

Nous sommes gravement préoccupés par les rapports de la Mission de surveillance spéciale concernant un accroissement marqué du nombre de bombardements par les forces d’artillerie le long de la ligne de contact, ainsi que le nombre croissant de violations du régime de cessez-le-feu. On a l’impression que Kiev se prépare à une autre provocation armée à grande échelle dans le sud-est de l’Ukraine, semblable à celle d’août dernier. Les conséquences de tels actes sont imprévisibles.

Les provocations d’Obama et de l’OTAN

Le 19 août, le commandant de l’armée américaine en Europe, le général Ben Hodges, a confié à des journalistes que le programme d’entraînement des forces ukrainiennes par les Américains se poursuit, et que l’armée régulière est aujourd’hui une force de combat entièrement professionnelle. Il a oublié toutefois de mentionner que la Garde nationale est entièrement dominée par les bandéristes néonazis de Secteur droit, dont le seul objectif est de saboter les accords de Minsk II (et de renverser le gouvernement de Kiev si nécessaire), afin de déclencher une guerre avec la Russie.

Dans cette volonté d’en découdre avec la Russie, en commençant par une première frappe nucléaire dès que l’occasion/prétexte se présentera, les provocations d’Obama et de l’OTAN ne se limitent pas bien entendu à l’Ukraine. Ainsi, tandis que Hodge blâmait la Russie pour la situation de plus en tendue en Ukraine, l’OTAN a entamé ces derniers jours ses « plus grands exercices aériens depuis la fin de la Guerre froide sur le Continent européen », selon un communiqué de l’armée américaine daté du 18 août. L’opération, baptisée Swift Response-2015, implique 4500 militaires de nationalité bulgare, britannique, allemande, grecque, espagnole, italienne, néerlandaise, polonaise, portugaise, américaine et française, et doit se poursuivre jusqu’au 13 septembre, le long des frontières de la Fédération de Russie.

Des manœuvres navales, baptisée Dynamic Manta, sont aussi prévues du 11 au 22 septembre, impliquant des unités de combat anti sous-marins. Bien que l’emplacement n’ait pas été dévoilé, l’agence chinoise Xinhua explique que ce type d’exercices se tient généralement dans la mer Ionienne.

Il faut ajouter à cela la visite à Washington cette semaine de la ministre géorgienne de la Défense, qui s’agite depuis un certain temps déjà pour que son pays puisse adhérer à l’OTAN et bénéficier des garanties associées à l’article 5 (intervention militaire de l’OTAN pour défendre un de ses membres en cas d’agression, même si elle a été sciemment provoquée, bien entendu).

Les appels contre la guerre se multiplient

Face à ces provocations et aux menaces associées au conflit ukrainien, de nouvelles voix se sont ajoutées aux multiples appels à la paix et à la négociation.

La première est celle de l’ancien ministre allemand des Affaires étrangères Hans-Dietrich Genscher, qui a dénoncé la « politique d’affrontement » à l’égard de la Russie et sommé les dirigeants occidentaux, et plus particulièrement la Chancelière Angela Merkel, de reprendre le dialogue avec Moscou, car « nous vivons dans un monde mondialisé et avons besoin des ressources de tous pour résoudre les problèmes qui nous entourent ».

Genscher a été le dernier ministre des Affaires étrangères de l’Allemagne de l’Ouest, et le premier à occuper ce poste dans l’Allemagne unifiée. Il a fait remarquer que le récent accord avec l’Iran sur son programme nucléaire est une preuve de la possibilité d’une entente entre l’Ouest et l’Est, car la Russie aurait pu bloquer cet accord si elle l’avait souhaité.

Le second est l’ancien secrétaire d’État américain Henri Kissinger qui a regretté, dans un entretien dans le National Interest, que l’« objectif soit devenu de casser la Russie », alors qu’il devrait plutôt être, « sur le long terme, de l’intégrer » :

L’Ouest hésite à prendre à sa charge la reprise de l’économie grecque ; il ne va sûrement pas s’occuper de l’Ukraine en tant que projet unilatéral. Il faudrait au moins examiner la possibilité d’une quelconque coopération entre l’Ouest et la Russie dans une Ukraine non-alignée d’un point de vue militaire. La crise ukrainienne est en train de se transformer en tragédie parce que l’on confond les intérêts à long terme de l’ordre mondial avec le besoin immédiat de restaurer l’identité ukrainienne. Je préfère une Ukraine indépendante [c’est-à-dire non alignée, ndlr] dans ses frontières actuelles. C’est ce que j’ai soutenu dès le début de la période post-soviétique. Lorsque vous lisez que des unités musulmanes se battent au nom de l’Ukraine, alors le sens des proportions a été perdu.

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