Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

25 mai - Réunion sur ce qu’on nous cache à propos du Cannabis Lire 22 mai - L’Intelligence Artificielle, arme de paix ou de guerre ? Lire 17 mai - La France face au cauchemar Lire
AccueilActualités

La perfide Albion entraîne ses alliés dans la guerre

Une fois de plus, la propagande sur les armes chimiques qu’aurait utilisées le régime de Bachar al-Assad contre les rebelles prouve, sans l’ombre d’un doute, le rôle de l’Empire britannique en tant qu’instigateur des guerres qui détruisent tous ceux qui tombent dans son jeu.

Le 8 mai dernier, face à la très réelle menace que la guerre contre la Syrie ne soit le détonateur d’une troisième guerre mondiale, Etats-Unis et Russie décidaient, au cours d’une réunion à Moscou, d’organiser une conférence de paix (Genève II).
Du côté américain, la volonté de mettre fin à la guerre reflète une forte bataille de factions en son sein, dont le chef d’état-major Martin Dempsey est le principal porte-voix. Dans un contexte de crise économique aiguë et face à un régime syrien qui non seulement ne faiblit pas mais s’impose de plus en plus, le parti du réalisme a réussi à faire pencher la balance en faveur de la paix.

Maledizione

C’était sans compter avec la maledizione britannique, secondée par son allié français. Deux semaines plus tard, Français et Britanniques brandissaient les « preuves » de l’utilisation d’armes chimiques par le régime de Bachar al-Assad. Et John Kerry se révélait pour ce qu’il était, en jouant un rôle trouble servant les projets de l’Empire britannique.

John Kerry a demandé aux Britanniques : Aidez-moi à vous aider à convaincre Obama de lancer la guerre !
John Kerry a demandé aux Britanniques : "Aidez-moi à vous aider" à convaincre Obama de lancer la guerre !

La suite serait presque comique, tellement le film de la guerre d’Irak semble se répéter, si elle n’était de nature à nous conduire à une conflagration générale.
C’est la visite rendue par William Hague, secrétaire à la Défense britannique, à John Kerry aux Etats-Unis, le 14 juin, qui aurait convaincu un Obama hésitant à partir en guerre, de la véracité des « preuves » franco-britanniques sur l’emploi par Assad d’armes chimiques.

Mais il est plus utile, à ce stade, de citer des extraits de l’article de Simon Walters, du Mail Online, pour que vous compreniez enfin comment opère l’Empire britannique :

David Cameron et le Secrétaire d’Etat américain John Kerry ont préparé en secret une embuscade contre Barack Obama pour le persuader d’apporter son soutien à la politique britannique visant à armer les rebelles syriens. (...) Le revirement à 180 degrés d’Obama a eu lieu 24 heures après que le Secrétaire du Foreign Office William Hague, s’est faufilé dans Washington, presque inaperçu, pour y rencontrer Kerry. Dans les semaines récentes, bien que soutenant publiquement M. Obama, M. Kerry a dit à M. Hague, en privé, qu’il soutient fortement la position britannique consistant à parler "fort" à Assad.

La même source cite un responsable à White Hall, ancien Palais royal et coeur du gouvernement à Londres :

Kerry ne pouvait pas prendre le risque de contredire ouvertement le Président ; aussi nous a-t-il incité discrètement à maintenir la pression sur Obama. (...) Il a dit à Hague : "Aidez-moi à vous aider" (...) Et çà a marché. (...) L’avion du Secrétaire du Foreign Office avait à peine atterri, de retour en Grande-Bretagne, que le Président Obama annonçait qu’il avait décidé qu’Assad, avec ses attaques terrifiantes au gaz sarin, avait franchi la "ligne rouge".

Le Canard Enchaîné du 29 mai révélait que Kerry se livrait au même jeu à Paris, avec Laurent Fabius, et nous savons par ailleurs que ce sont les Britanniques qui poussent la France à faire pression pour mettre le Hezbollah sur la liste européenne du terrorisme.

L’accusation de Roland Dumas

Autre voix à s’être élevée récemment en défense de cette thèse, celle de l’ancien ministre des Affaires étrangères de Mitterrand, Roland Dumas. Au cours d’une intervention dans l’émission Ça vous regarde, sur la chaîne LCP, le 10 juin, dans un débat qui portait sur la Syrie, M. Dumas a affirmé avoir été approché par des responsables britanniques, au sujet d’un projet d’invasion de la Syrie par des rebelles djihadistes, il y a environ deux ans, avant même que les hostilités ne commencent en Syrie. « C’était en Grande-Bretagne, pas en Amérique », insista Dumas, qui souligna par ailleurs à quel point cette opération venait de très loin. « Elle avait été préparée, conçue et organisée par eux »...

Le serpent Tony Blair

Venons-en enfin au rôle de Tony Blair. En 2002-2003, c’est lui qui avait décroché la déclaration de guerre contre l’Irak, en fournissant à Colin Powell, secrétaire à la Défense des Etats-Unis, les preuves frauduleuses que ce dernier présenta à l’ONU pour obtenir l’accord pour lancer la guerre.

Les « preuves » de l’utilisation d’armes chimiques par le régime Assad, présentées par les Occidentaux aujourd’hui, sont tout aussi ridicules. Quelle crédibilité peuvent avoir des échantillons de sang, d’urine et de cheveux des victimes, non réfrigérés pendant les quatre semaines qu’a duré leur transfert vers la France ?

Et en tant que conseiller spécial d’Obama et chef du Quartet chargé des pourparlers entre Palestiniens et Israéliens, Blair continue à sévir dans la région. Selon le New Scotsman, lors de la récente Conférence présidentielle annuelle de Jérusalem, Blair s’en est pris à ceux qui en Occident tentent d’éviter la guerre :

Sans aucun doute, (...) l’émotion prédominante en Occident aujourd’hui est de rester hors de Syrie. (...) Mais comme le montre chaque jour qui passe, le prix que nous aurons à payer pour être restés hors de la région peut s’avérer bien plus élevé plus tard.

Ayant ainsi convaincu tous les acteurs de la situation, Américains, Français, Israéliens et Turcs, que cette politique permet à chacun de tirer son épingle du jeu, l’Empire entraîne inexorablement ses « amis » vers un conflit mondial qui signera leur propre perte.

Obama dans le parti de la paix ou celui de la guerre ?

Quel rôle tient Obama dans le poker menteur que jouent les Américains vis-à-vis de la Conférence de paix prévue pour la Syrie ? Certains veulent voir en lui le rempart contre les néo-conservateurs républicains. La nomination par Obama, le 5 juin dernier, de Susan Rice comme conseillère à la Sécurité nationale et celle de Samantha Power comme représentante à l’ONU, deux postes éminemment sensibles au moment même où se prépare cette conférence de Genève II pour mettre fin au conflit en Syrie, illustrent parfaitement qui est ce personnage.

La Russie ne s’y est pas trompée, faisant savoir aux Etats-Unis qu’elle prendrait mal ces nominations. Toutes deux sont connues comme anti-Russes, toutes deux ont soutenu la guerre contre la Libye et soutiennent l’agression en cours contre la Syrie, toutes deux enfin ont apporté leur soutien total à la doctrine d’« ingérence humanitaire » de Tony Blair, la R2P (Responsability To Protect), nouveau nom du colonialisme.

Interrogé sur ce sujet, le directeur adjoint de l’Institut USA-Canada de Moscou, Victor Kremenyouk, a souligné que cette nomination allait compliquer le dialogue entre la Russie et les Etats-Unis : « L’attitude de Susan Rice envers la Russie est plus dure que celle de tout autre membre de l’Administration. Elle n’aime pas Moscou et pense qu’on doit parler "fort" avec la Russie. »

Eric Draitser a pour sa part fait remarquer, dans une chronique de Russia Today, que Rice est connue comme « la personnification de "l’impérialisme libéral", comme force motrice derrière la doctrine R2P ayant permis de justifier la guerre en Libye, et comme favorable à "la déstabilisation et la subversion permanentes de la Syrie" ».

The Economist de Londres a reconnu, au contraire, apprécier ces « deux femmes d’action », « deux interventionnistes libérales ». Pour The Economist, l’arrivée de Rice au Conseil de sécurité nationale a permis de se défaire de la « voix de la prudence » que représentait son prédécesseur Thomas Donilon.

Quant à ceux qui croyaient que c’était en raison de leurs penchants progressistes que certains républicains sont hostiles à ces femmes, qu’ils se détrompent : des sénateurs va-t-en guerre comme John McCain et Joe Lieberman, et même le juriste ultra Alan Dershowitz, ont exprimé leur satisfaction, en particulier pour le rôle positif que Samantha Power pourra jouer sur la question syrienne à l’ONU.

Notons que Susan Rice a été travaillée au corps par l’Empire britannique. Elle est une Rhodes Scholar, ayant bénéficié d’une bourse d’un fonds établi en 1902 par le très impérial Cecile Rhodes, pour faire des études à Oxford. Elle est diplômée du New College d’Oxford et a reçu aussi le plus grand honneur accordé par la Chatham-House/British International Studies Association. Chatham House, le Royal Institute for International Affairs (RIIA), est une annexe du Foreign Office. C’est là que Henry Kissinger déclarait, le 10 mai 1982, avoir tenu le gouvernement britannique mieux informé sur ses politiques que celui des Etats-Unis lorsqu’il était Secrétaire d’Etat.

Quant à Samantha Powers, pendant la guerre des Balkans, elle était jeune journaliste à The Economist où elle devint amie d’un autre jeune journaliste, devenu entre temps Lord Malloch Brown. Ancien ministre de sa Majesté, il fut aussi vice-président du Quantum Fund et de l’Open Society Trust de George Soros. Ce dernier, Malloch Brown et Samantha Power ont joué un rôle important dans la « Révolution des roses » qui amena Mikehl Saakachvili au pouvoir en Géorgie.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

  • petite souris • 25/06/2013 - 23:27

    La ficelle est grossière mais fonctionne !
    La perfide Albion n’ayant qu’un seul but depuis la nuit des temps utilise toujours le même scénario : diviser pour régner et tous les moyens sont bons mensonges et guerres
    Pas très créatifs les englishs ! ils s’ennuient tellement que cela leur permet d’avoir le temps de savourer leur cup of tea
    .................
    "L’Angleterre : j’en ai touché le fond. L’Angleterre est d’instinct contre la France."
    de Gaulle

    Répondre à ce message

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation
Empire Brit.
20 juin 2013
Actualités
Syrie : Obama sous influence de Blair mais désavoué par Dempsey
guerre
19 juin 2013
Actualités
Syrie : Poutine seul face au parti de la guerre au sommet du G8
guerre
22 juin 2013
Actualités
Etats-Unis : une proposition de loi contre l’armement des rebelles syriens
guerre
26 avril 2013
Actualités
Armes chimiques en Syrie : Obama emboite le pas aux Britanniques

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard