Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

29 mars - Contre l’écologisme — Pour une croissance au service de l’environnement Lire 28 mars - Cheminade : l’avenir du monde se construit avec la Chine Lire 24 mars - Appel à voter Sébastien Périmony Lire
AccueilActualités

France-Russie : Alexeï Pouchkov en visite à Paris

Alexei Pouchkov, président de la commission des affaires étrangères de la Douma d'Etat a été l'invité du Dialogue Franco-Russe le 15 avril.
Alexei Pouchkov, président de la commission des affaires étrangères de la Douma d’Etat a été l’invité du Dialogue Franco-Russe le 15 avril.
Crédit : DFR

La France « est le dernier repaire de pensée relativement libre en Europe », a dit Alexeï Pouchkov d’entrée de jeu à une salle bien pleine réunie au Dialogue Franco-russe le 15 avril à l’occasion du déplacement du président de la Commission des Affaires étrangères de la Douma à Paris.

Le matin M. Pouchkov avait participe à un petit-déjeuner a l’Assemblée nationale ou il put échanger avec des élus de tout le spectre politique, allant du souverainiste Jacques Myard au Front de Gauche, Jean Luc Mélenchon. Au Sénat, il a été également reçu par son homologue, l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.

Le 9 et le 10 avril, 17 élus français [1] avaient fait le voyage a Moscou à l’invitation de Serguei Narychkine, le président de la Douma, bravant l’interdit de Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale.

La délégation était conduite par Thierry Mariani, membre de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale et co-président du Dialogue Franco-russe. Outre leur rencontre avec M. Narychkine, les élus français ont dialogué avec leurs contreparties russes lors d’un colloque sur l’« Avenir de l’Europe : réalités et perspectives », avant de se rendre au Conseil de la Fédération et de rencontrer les milieux d’affaires. Fin février, c’est le président du Sénat Gérard Larcher qui s’est rendu à Moscou pour des rencontres avec des députés et des sénateurs ainsi qu’avec Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères et Vladimir Poutine.

Au Dialogue Franco-russe, dans un français impeccable M. Pouchkov a souligné à quel point les relations franco-russes ont changé pour le mieux depuis les rencontres entre François Hollande et Vladimir Poutine d’abord à Vnoukovo, puis au Kazakhstan. Il évoqua un véritable « renouveau » des relations entre Paris et Moscou.

M Pouchkov nota à quel point les médias des pays comme le Royaume-Uni ou l’Allemagne sont hostiles à la Russie. En France, elles ne le sont pas moins, a-t-il reconnu, mais cela n’affecte pas la classe politique qui est, au contraire, « prête à écouter » et « essaie de comprendre ». « Il existe un lien profond entre les deux pays », a-t-il souligné : la France est un pays qui non seulement ne veut pas « aggraver » la crise, mais qui « veut trouver des solutions ».

L’Europe est divisée, a-t-il souligné, notant qu’un groupe de pays qui inclut notamment le Royaume-Unie, la Suède, les pays baltes et d’autres sont « très alignés sur les États-Unis » alors que ceux qui se trouvent au cœur des décisions, comme la France ou l’Allemagne, pensent différemment.

Au cours de ses remarques principales et lors de la discussion qui a suivie, M. Pouchkov a passé en revue toutes les questions sensibles : l’Ukraine, la levée de l’embargo sur la livraison des missiles S-300 a l’Iran, l’élargissement de l’Otan à l’Est de l’Europe, la Grèce, les relations entre la Russie et l’Europe et l’Asie.

Paris et Berlin doivent faire pression sur Kiev

Concernant l’Ukraine, M. Pouchkov a exprimé sa crainte que Kiev rejette les accords de Minsk. Pas de façon « démonstrative » mais en choisissant une autre voie : celle de l’affrontement ou celle de l’envoi des casques bleus en Ukraine orientale. Il a qualifie cette dernière « d’assez dangereuse ». Car elle créerait « l’illusion » qu’une telle stratégie pourrait marcher alors qu’elle présuppose que les deux parties sont déjà d’accord pour départager les territoires. Or tel n’est pas le cas. Kiev veut d’abord rétablir son contrôle sur tout le pays.

Au Dialogue Franco-russe et ailleurs, il expliqua que Kiev a déjà violé les accords de Minsk, en votant une loi qui a renversé la séquence des événements établis par cet accord : d’abord l’octroi d’un statut spécial aux régions de l’est de l’Ukraine, puis un dialogue avec les militants de ces deux entités dites Républiques de l’est du pays, les élections, puis un statut final de ces Républiques. La loi votée par la Rada exige d’abord le rétablissement du contrôle par Kiev de l’ensemble du territoire, puis les élections et enfin, l’octroi d’un statut spécial pour les régions de l’est.

A une question de la salle demandant si le projet des casques bleus n’aurait pas l’avantage d’obliger les États-Unis, qui alimentent le parti de la guerre a Kiev, de rentrer dans un processus de négociation a l’ONU, M. Pouchkov expliqua que les États-Unis n’iront pas dans ce sens, car leur stratégie consiste a isoler la Russie et pour cela ils ont besoin de faire durer la crise. Il dénonça le parti de la guerre aux États-Unis qui veut armer Kiev : John McCain, Susan Rice, John Kerry.

C’est seulement l’opposition de l’Europe à ces projets de guerre qui aura un impact sur la stratégie de Washington, a-il-dit, notant que le voyage d’Angela Merkel à Washington et sa rencontre avec Obama pour exprimer son opposition au projet d’armer Kiev, avait sans doute joué un rôle dans la décision d’Obama de ne pas le faire. Pour le moment…

Enfin, M. Pouchkov dénonça la tentative de Kiev et de ses allies occidentaux, de vouloir créer une « nouvelle mythologie ukrainienne », en trouvant à l’Ukraine des origines égyptiennes et en réécrivant son histoire dans la seconde guerre mondiale, celle de l’OUN-UPA (l’Organisation des nationalistes ukrainien – Armée insurrectionnelle ukrainienne ») de Stépan Bandera, le collaborateur des nazis. M. Pouchkov faisait sans doute référence aux deux lois récemment votées par la Rada renvoyant dos à dos le nazisme et le communisme et réhabilitant cette organisation.

Au cours de son discours M Pouchkov a aussi cherché à répondre aux craintes des amis de la Russie en Europe, quand à une prétendue réorientation de la Russie entièrement vers l’Asie, lâchant l’Europe. La Russie n’oublie pas qu’elle est une puissance européenne, a-t-il dit en substance, mais comment parler d’un partenariat avec des pays européens qui ont vote les sanctions contre la Russie.

L’Iran, la Grèce…

Les questions ont aussi fusé sur la levée de l’embargo sur la livraison des missiles anti-aériens S-300 par la Russie à l’Iran. Comme lors des entretiens accordés à France24 et à Europe1, M. Pouchkov a noté qu’il s’agit là d’armes défensives, permettant a l’Iran non d’aller attaquer Israël mais de défendre son territoire. Il utilisa l’occasion pour rappeler la bonne volonté de la Russie sur cette question. C’est à la demande des États-Unis et d’autres pays occidentaux que la Russie avait accepté de sursoir à la livraison de ce contrat d’armes dans un contexte ou l’Iran était frappe par l’embargo de 2007 et pour ne pas compliquer la situation au Moyen Orient.

La Russie avait perdu 800 millions de dollars pour ce contrat déjà signe avec l’Iran, qui de plus a entrepris de procédures judiciaires pour préjudice, contre la Russie, pour 4 milliards de dollars. Et quelle a été la réponse des États-Unis à notre attitude conciliante ? Un coup d’État en Ukraine et l’éviction de la Russie du G8 ! Aujourd’hui la situation a changé : lorsque les sanctions contre l’Iran seront levées, d’ici la fin de l’année, plus rien ne s’oppose a la livraison de ce contrat.

Enfin, affirmant une fois de plus que la Russie ne tenait pas a prendre le contrôle d’une Ukraine dont les problèmes économiques sont abyssaux, il est revenu sur les relations de la Russie avec la Grèce au lendemain des visites de M. Tsipras et M. Kammenos a Moscou, en rapportant sa réponse à la question d’un députe français de droite : « Alors, vous allez nous prendre la Grèce ? » Il a répondu avec cette boutade « Non, nous ne voulons pas prendre la Grèce avec une dette de 323 milliards d’euros ! », tout en détaillant les propositions faites par la Russie a la Grèce pour participer au gazoduc qu’elle tente de mettre sur pieds avec la Turquie, la Slovaquie et d’autres pays !


[1Ont pris part à ce déplacement : Pascal ALLIZARD, Sénateur du Calvados ; Jean-Paul BACQUET, Député du Puy de Dôme ; Marie Françoise BECHTEL, Député de l’Aisne ; Jean BIZET, Sénateur de la Manche ; Valérie BOYER, Député des Bouches du Rhône ; Claude DE GANAY, Député du Loiret ; Nicolas DHUICQ, Député de l’Aube ; Claude GOASGUEN, Député de Paris ; Maurice LEROY, Député du Loir et Cher ; Thierry MARIANI, Député des Français de l’étranger ; Alain MARSAUD, Député des Français de l’étranger ; Philippe MEUNIER, Député du Rhône ; Jacques MYARD, Député des Yvelines ; Yves POZZO di BORGO, Député de Paris ; Patrice VERCHERE, Député du Rhône ; Philippe VITEL, Député du Var ; Michel VOISIN Député de l’Ain.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

La City et Wall-Street fomentent la guerre pour éviter la refonte des institutions financières. Il nous faut changer la donne afin d’empêcher que la situation dégénère en catastrophe nucléaire.

En savoir plus
NS
24 avril 2014
Nouvelle Solidarité N°9/2014
Pas de paix mondiale sans la Russie
Globe
21 avril 2014
Actualités
L’association Dialogue franco-russe appelle à l’abandon de sanctions contre la Russie
La Grèce et la Russie mettent en place un partenariat stratégique
10 avril 2015
Actualités
La Grèce et la Russie mettent en place un partenariat stratégique
Le Luxembourg compte-t-il envahir la Russie ?
12 mars 2015
Actualités
Le Luxembourg compte-t-il envahir la Russie ?
Vitrenko : arrêtons les purges et les assassinats politiques en Ukraine !
17 avril 2015
Partenaires
Vitrenko : arrêtons les purges et les assassinats politiques en Ukraine !

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard