7 juin 2013 (Nouvelle Solidarité) – « N’est-il pas exagéré d’affubler la lèvre supérieure d’Obama d’une moustache d’Hitler comme le fait votre mentor américain Lyndon LaRouche !? » Combien de fois n’a-t-on pas entendu poser cette question au candidat présidentiel Jacques Cheminade ?
Or, depuis que le New York Times et le livre Kill or Capture de Daniel Klaidman démontrent, preuves à l’appui, que le gentil Obama, tel un Dieu au-dessus des lois, s’avère animé de pulsions meurtrières inquiétantes, notamment en sélectionnant personnellement les « militants » et leurs familles qui seront éliminés par drone prédateur, ce qui se dit tout haut aux États-Unis peut désormais se chuchoter et même se dire et s’écrire à Paris.
Après l’article de Stéphane Trano dans Marianne2 « Comment Obama a appris à tuer », c’est au tour de Jean-Christophe Martin ce matin sur France Info (écouter l’émission ICI) de se payer Obama.
Avec d’abord le portrait d’un redoutable tueur en série...
Il n’a qu’une obsession : liquider. En presque quatre ans, il a déjà des dizaines de morts sur la conscience, sans doute plus. C’est un tueur redoutablement intelligent et organisé : avant de choisir une cible, il l’étudie soigneusement, et même dit-on avec un soin maniaque.
Ce psychopathe suit toujours le même rituel macabre : sur son bureau, il étale un jeu de cartes, on les appelle "les cartes de baseball". Sur chacune de ces cartes qui sont en fait des fiches, une biographie plus ou moins détaillée, une photo. Le bureau sur lequel sont posées ces fiches mortelles n’est pas n’importe quel bureau, il est sans doute ovale, le tueur s’appelle Barack Obama.
Ce portrait inattendu du président américain, il est dressé dans un livre qui vient de sortir aux Etats-Unis où il est en train de créer une onde de choc écrit Stéphane Trano sur marianne2.fr. Un livre titré "Tuer ou capturer", signé de Daniel Klaidman, journaliste d’investigation réputé qui est aussi l’un des meilleurs spécialistes américains du terrorisme.
Un livre où on trouve une foule de révélations sur les détails de la lutte anti-terroriste...
Il révèle comment le président en personne choisit une par une les cibles des attaques des drones américains en Afghanistan. C’est détaillé aussi dans un article du New York Times, repris dans Courrier International, on découvre le processus mis en place par Barack Obama : chaque semaine ou presque, une visioconférence top-secrète réunit une centaine de responsables des services de sécurité. Le New York Times parle d’un macabre "club de discussion" qui étudie une par une les cibles potentielles.
A la fin du processus, avec son jeu de "cartes de baseball", c’est Barack Obama qui a le dernier mot et qui désigne ceux qui entrent sur la "kill-list", la liste des cibles, ceux qui doivent mourir. A ce moment-là, des drones décollent à l’autre bout du monde, en Afghanistan, au Yémen ou en Somalie. Le dernier vol mortel d’un drone, au début de la semaine, a fait une quinzaine de morts, dont le numéro deux d’Al-Qaïda.
La revue Foreign Policy, citée dans Courrier International, consacre aussi son dernier numéro aux guerres secrètes d’Obama. Il souligne que le Barack Obama d’il y a quatre ans qui s’opposait à la torture et promettait d’en finir avec les méthodes sauvages, le Barack Obama Prix Nobel de la Paix, est maintenant le président américain qui a approuvé le plus de frappes ciblées de toute l’histoire des Etats-Unis.
Et marianne2.fr ajoute en évoquant la face cachée de Barack Obama que jamais un président américain n’est allé aussi loin dans la pratique occulte du pouvoir dans la plus parfaite indifférence de l’opinion de son pays et des autres pays occidentaux.
"Barack Obama, le seigneur des drones" : c’est le surnom donné par un chroniqueur conservateur qui donne par ailleurs dans le Washington Post une lecture politique de toutes ces révélations qui se succèdent dans la presse américaine : il dénonce une opération de communication orchestrée par la Maison Blanche pour redonner une image de dur à un président affaibli sur le plan intérieur.
"Barack Obama, le seigneur des drones", c’est le surnom trouvé par le chroniqueur conservateur Charles Krauthammer qui donne par ailleurs dans le Washington Post une lecture politique de toutes ces révélations qui se succèdent dans la presse américaine.
Soulignant le délire d’Obama, il dénonce une opération de communication orchestrée par la Maison Blanche elle-même, visant à redonner une image de dur à un président affaibli sur le plan intérieur.
Ceux qui nous ont lu ici depuis des années le reconnaîtrons volontiers : Lyndon LaRouche et Jacques Cheminade, contre vents et marées et sans craindre de choquer les bonnes consciences, nous avaient prévenus d’un Obama néronien prêt aux pires excès pour faire prévaloir son pouvoir personnel.
# petite souris
• 07/06/2012 - 10:58
Plus encore aujourd’hui qu’hier, on a toujours tord d’avoir raison trop tôt .....
Il n’est pas de tyran au monde qui aime la vérité ; la vérité n’obéit pas. Alain
Une vérité entière est souvent l’alliée de la vertu ; une demi-vérité est toujous l’alliée du vice.
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