Je crois personnellement que même s’il faut modifier la loi, le président devrait respecter la promesse que le gouvernement fédéral avait faite à ces gens et les laisser garder ce qu’ils ont.
C’est la réponse qu’a faite l’ancien président Bill Clinton, et qui a été largement commentée depuis, à un journaliste du site Ozymandias, à propos des millions d’Américains qui ont vu leur ancienne police d’assurance santé annulée après l’entrée en vigueur de la réforme d’Obama.
Les Américains sont d’une humeur massacrante car, comme l’économiste américain Lyndon LaRouche avait prévenu, l’Obamacare est en train de virer au cauchemar pour des millions de citoyens ayant droit à une couverture, sans parler des 9 millions qui ne seront pas éligibles (parce que ni trop pauvres ni trop riches), ni des millions de personnes âgées qui seront privées de soins à cause des mesures d’austérité brutales qui lui sont associées.
Le magazine Forbes a pour sa part publié, documents à l’appui, que l’administration Obama savait en 2010 que 93 millions (!) d’Américains pouvaient perdre leur police d’assurance une fois que la réforme, reposant toujours sur des assurances privées (et plus chères), entrerait en vigueur.
Obama avait pourtant juré que ce ne serait pas le cas...
Dès ce vendredi, une proposition de loi présentée par le député républicain Fred Upton (HR 3350) pour renverser les millions d’annulations de police causées par la réforme doit être soumise au vote. La direction du Parti démocrate a prédit qu’il y aura des défections et que plusieurs députés démocrates entendent voter avec les Républicains, afin de tenter de calmer la colère des Américains trompés par le président, et ce à moins d’un an de l’échéance électorale de novembre 2014.
# petite souris
• 15/11/2013 - 14:44
Clinton le retour ?
intéressant !
mais qu’a-t-il été faire en Birmanie récemment ?
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