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Brexit, innovation et éolien au menu des Assises de l’économie de la mer à Brest

Après Le Havre en 2017, la XIVe édition des Assises de l’économie de la mer (AEM), organisée par l’hebdomadaire Le Marin avec le soutien du Cluster maritime français (CMF), a réuni les 27 et 28 novembre plus de 1500 personnes à Brest pour y discuter de l’avenir du maritime et de l’innovation.

Marine nationale, Campus mondial de la Mer, Ifremer, Institut universitaire européen de la Mer, Station biologique de Roscoff, grandes écoles, établissements publics nationaux… Avec 30 000 emplois liés à la mer et près de 730 chercheurs et enseignants-chercheurs, la pointe bretonne se hisse à la première place européenne et concentre la moitié du potentiel français de chercheurs et d’ingénieurs dans le domaine océanique.

Contrairement à 2017 au Havre, où le Premier ministre Edouard Philippe et Nicolas Hulot avaient tous deux fait le déplacement, cette année, vu la contestation des Gilets jaunes, seul le nouveau ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy, est venu y défendre les politiques du gouvernement.

Faisant écho aux affirmations du CMF, mais sans proposer les moyens pour y arriver, ce dernier a réaffirmé que la France devait doubler le nombre d’emplois dans la filière maritime d’ici 2030, un secteur de pointe où notre pays figure souvent au premier rang.

Il a également tenté de préciser les contours « du nouveau modèle économique et de la nouvelle stratégie nationale portuaire », un des sujets qui fut au centre de la réunion du Comité interministériel de la mer (CIMER) qui s’était réuni à Dunkerque deux semaines auparavant (le 15 novembre) sous la présidence du Premier ministre et en présence d’une dizaine de membres du gouvernement.

Le Brexit menace la pêche française

Reconnaissons d’emblée que le Brexit actuel est radicalement aux antipodes de la « sortie concertée » que nous souhaitons pour refonder d’urgence, non pas l’UE actuel, mais une Europe qui doit redevenir au service des Etats, des patries et des projets.

En attendant, faute de clarté sur l’avenir, le monde maritime se prépare à un Brexit « dur ». Or, cette perspective pose un défi sans précédent pour la pêche française et européenne.

Car, comme le précise Le Monde :

A cinq mois de la date butoir, Londres affirme fermement sa volonté de reprendre, à cette date, le contrôle de ses eaux, les plus vastes de l’Union et parmi les plus poissonneuses. Ce divorce annoncé inquiète la filière de pêche maritime européenne, et notamment la filière française, l’une des plus exposées, avec celle du Danemark. Certaines régions – les Hauts-de-France, la Bretagne et la Normandie – sont particulièrement tributaires de l’accès aux eaux britanniques. Au total, 30 % des captures des pêcheurs français en dépendent, un taux qui monte à 50 % pour la Bretagne, première région de pêche française, à 75 % pour les Hauts-de-France, selon le Comité national des pêches maritimes et des élevages marins (CNPMEM).

A cela s’ajoute qu’au Royaume-Uni, 92 % des pêcheurs ont voté pour le Brexit en 2016. La raison en est leur paupérisation scandaleuse. Rappelons que face à une Islande qui a repoussé sa zone de pêche exclusive de 3 milles à 200 milles de ses côtes, l’Angleterre a perdu en 1976, après des années d’escarmouches, « la guerre de la morue ».

Aujourd’hui, en sortant leur pays de l’UE, les pêcheurs britanniques espèrent récupérer leurs eaux de pêche. Débarrassés du système de quotas qu’impose l’UE et qu’ils considèrent à tort être à l’origine de leur misère, ils espèrent se refaire une santé en puisant dans la mer qu’ils prennent pour une corne d’abondance.

Or, sans un accord de coopération équitable —que Bruxelles prend soin de leur refuser— toute sortie brutale de l’Union douanière européenne obligera non seulement les pêcheurs, mais tous les producteurs anglais, à payer des taxes d’importation pour vendre leurs productions sur le marché européen, ce qui risque de les rendre du jour au lendemain non-concurrentiels. A cela s’ajoute que l’Irlande, qui reste dans l’UE, ne fera plus transiter ses exportations vers l’UE par le Royaume-Uni mais les fera transiter par des ports bretons parfois inadaptés pour traiter les volumes. Pour les marchandises anglaises, Bruxelles compte les faire passer par Anvers et Rotterdam, deux ports européens disposant de grandes capacités et de services douaniers à la hauteur du défi.

A Brest, De Rugy a affirmé que le gouvernement allait livrer bataille « pour que nos ports soient inclus en cas de Brexit dur ».

Moderniser nos ports

La bonne nouvelle apportée par le CIMER, c’est qu’une forte volonté se manifeste pour coordonner davantage les différents systèmes de communication portuaires et fluviaux, dans la perspective d’une « automatisation » et d’une interopérabilité entre l’ensemble des ports français. Le gouvernement a également prévu une harmonisation plus grande des régimes fiscaux et comptables des ports.

En ce qui concerne la flotte de commerce, le gouvernement a annoncé un plan d’action pour favoriser l’utilisation du GNL (gaz naturel liquéfié). « Les mesures mises en place prévoient notamment l’encadrement des opérations d’avitaillement en GNL dans la réglementation au niveau national et au besoin dans les différents règlements locaux portuaires ». Il est clair qu’étant donné que le GNL est en passe de devenir la norme (ce qui est une bonne nouvelle étant donné la pollution bien moindre engendrée par ce carburant), tout port ne pouvant pas fournir ce carburant aux navires risque le déclassement.

Au sujet du statut des ports, pénalisés par un Etat sans vision mais qui, jusqu’ici, gardait l’essentiel de leur gestion, la position du Premier ministre est de garder quelques grands ports maritimes (GPM) et inciter à la décentralisation des autres. L’État n’impose rien, il veut juste inciter les ports à mieux travailler ensemble, de manière cohérente, sans modifier le statut et sans imposer quoi que ce soit.

François de Rugy a précisé aux AEM de Brest que les ports du Nord seraient gérés à l’avenir par un « conseil de coordination inter-portuaire », ceux de l’axe Seine intégrés dans le cadre d’une fusion et qu’on réunirait ceux de Méditerranée (Marseille, Toulon, Nice, Sète, Port-Vendres, Port-la-Nouvelle) avec ceux de la Saône et du Rhône au sein d’un Groupement d’intérêt économique (GIE).

Les milieux économiques qui attendent avec impatience la fusion des infrastructures portuaires du Havre, Rouen et Paris (HAROPA) ont été douchés par l’exécutif, qui a reporté l’échéance à 2021. Pour les ports de l’Atlantique (Nantes Saint-Nazaire, La Rochelle ou Bordeaux), le ministre a demandé aux régions de « se positionner clairement ».

Conscience maritime

Pour Frédéric Moncany de Saint-Aignan, le président du Cluster maritime français (CMF), « les ambitions maritimes de la France sont réelles ». Ce groupement, sans faire partie d’un quelconque ministère, opère en quelque sorte comme un Commissariat au Plan. Sur 27 de ses propositions, 16 ont été retenues par le gouvernement.

D’autres événements permettront à la France de prendre encore plus conscience de son rôle de puissance maritime. D’abord, « la semaine de l’emploi maritime » qui se tiendra du 11 au 16 mars prochain et ensuite « La mer XXL », une grande exposition réunissant tout ce qui compte dans ce domaine, qui se déroulera à Nantes, ville de Jules Verne, du 29 juin au 10 juillet 2019.

Eolien, gare aux sirènes !

En panne de grands projets, nombreux sont ceux dans le secteur maritime qui ont avalé la couleuvre des « énergies marines renouvelables » généralement présentées, à tort, comme « la » grande innovation qui permettra, notamment à la Bretagne, de disposer d’une énergie propre et bon marché. A Brest, le ministre a souligné que la France poursuivrait sa politique de l’éolien offshore pour laquelle de nombreuses régions ont déjà investit de coquettes sommes.

Or, personne n’ignore que sans un subventionnement massif (par ces fameux contribuables qui se transforment désormais en Gilets jaunes) l’éolien terrestre et encore plus l’éolien en mer, sont une vaste escroquerie.

Rappelons qu’en gros, avec notre nucléaire, EDF produit de l’électricité à un coût allant de 30 à 60 euro le mégawatt heure (MWh), selon les facteurs pris en compte. Pour l’éolien terrestre, ce coût montait en 2017 à 90 euros le MWh, et pour l’éolien en mer (fixe et flottants) les tarifs des premiers projets français oscillaient entre 180 et 200 euros par MWh ! L’électricité produite étant achetée d’office par l’Etat et revendue aux distributeurs à un prix agréé de 82 euros le MWh, le subventionnement massif de cette filière permet aux producteurs d’énergies renouvelables, qui pleurent toute l’année sur la survie de la planète, de se faire des profits scandaleux sur le dos du contribuable.

C’est pourquoi l’Etat français, regardant là où l’on pouvait diminuer la dépense publique, avait, suivant l’exemple de la Belgique, sommé en mars 2018 les opérateurs de réduire leur prix, faute de quoi il annulerait tous les projets.

Ainsi, en juin, lors de sa visite au Cap Fréhel, Macron avait pu annoncer :

Je suis en mesure de vous confirmer la finalisation et l’accord qui a été obtenu pour ce projet, pour les six projets d’éolien offshore. La bonne nouvelle c’est tout d’abord qu’ils sont confirmés (...) puis ce que nous avons obtenu, parce que ces projets avaient été négociés il y a plusieurs années avec des conditions tarifaires et de subventions qui étaient totalement déconnectées des réalités actuelles du marché, et c’est normal et ce n’est la faute de personne. La négociation a permis de diminuer de 40 % la subvention publique et d’avoir un ajustement des tarifs (de rachat de l’électricité produite sur ces parcs, NDLR) de 30 %. Ce qui veut dire que l’on va économiser sur la période 15 milliards d’euros d’argent public pour les mêmes projets et la même ambition.

Lire notre dossier :

L’utopie suicidaire du mix énergétique 100 % renouvelable

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Don rapide

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Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
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- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

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Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

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Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

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