Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

24 mars - Appel à voter Sébastien Périmony Lire 23 mars - Enquête Nord Stream, le mensonge de Nathalie Loiseau Lire 23 mars - Jacques Cheminade pour un référendum sur la participation citoyenne Lire
AccueilActualités
Brèves

Emprunts toxiques : les acteurs publics comptent muscler la résistance face aux banquiers-voyous

Paris, 8 mars 2011 (Nouvelle Solidarité) – Alors que chez nous, chacun se plaît parfois à se retrancher dans son « camp », des élus d’horizons politiques divergents viennent de lancer le mardi 8 mars, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale et à l’initiative de Claude Bartolone, une nouvelle association : « Acteurs publics contre les emprunts toxiques ».

Il s’agit, affirme Bartolone dans les colonnes de Libération , non seulement « de muscler la résistance aux banquiers-voyous » , mais de porter plainte, avec d’autres collectivités locales, contre les banques. Ces dernières, qui ont piégé, souvent à leur insu, les collectivités locales avec des « emprunts toxiques », sont accusées d’utiliser « la tactique du salami : elles découpent le front des collectivités en tranches pour nous avaler ensuite les unes après les autres. Cette association est un moyen pour faire bloc. Avec cet outil nous allons permettre à tous les acteurs publics de participer à ce qui sera demain, je l’espère, une class action à la française. Ces emprunts toxiques sont une dérive du capitalisme financier de la même nature que les subprimes ».

A la conférence de presse, des témoignages édifiants d’une dizaine d’élus, autant en charge de grandes villes que de petites communes, mettent en lumière chacun à leur façon les mécanismes pervers de ces « emprunts structurés ».

Maires vs Emprunts toxiques
1h15

D’abord Claude Bartolone, président PS du Conseil général de la Seine-Saint-Denis (93), et Maurice Vincent, maire de Saint-Etienne (42), deux collectivités locales dont les emprunts toxiques ont été les premiers à être médiatisés dès 2008. Très remonté devant « l’arrogance des banques » et l’immobilisme du gouvernement, Bartolone s’offusque devant la « provocation » de la banque belgo-française Dexia qui lui a proposé de payer une pénalité de 33 millions d’euros pour renégocier un prêt de 55 millions !

En vérité, a avoué Bartolone lors de la période des questions, Dexia se retrouve dans l’impossibilité de renégocier les conditions des prêts car elle ne possède même plus la dette du 93 ! Celle-ci, comme les subprimes et tant d’autres flux financiers de toute sorte, a été « titrisée » et revendue dans le monde entier via la banque d’affaires new-yorkaise JP Morgan !

Même piège pour Saint-Maur-des-Fossés (94), une ville de 75 000 habitants avec 250 millions d’euros de dette et plombée à 85% par des emprunts structurés dont la moitié hautement toxique. Tout comme la Commission américaine sur la crise financière, son député-maire UMP Henri Plagnol constate l’absence flagrante de consultation indispensable des assemblées délibérantes et surtout des contrôles inopérants de la part des autorités en charge de la vérification et de la régulation, notamment les préfectures.

Pour sa part, Christophe Faverjon, maire PC d’Unieux, une petite ville de 8600 habitants dans l’orbite de Saint-Etienne dont 40 % de la dette est composée d’emprunts toxiques, se prépare au pire. En effet, sur un emprunt de 4 millions d’euros, l’intérêt passera dès septembre de cette année de 3,5% à 12% car ajusté sur le rapport entre l’euro et le franc suisse, ce qui résultera en un surcoût de 350 000 euros pour la ville. La banque belgo-française Dexia, pour racheter ce crédit toxique de 5 millions d’euros et le transformer en crédit à taux fixe, exige une pénalité de près de 7 millions ! Ironie de l’histoire, Dexia appelait son produit… « Tofix ». « Signe d’une mauvaise foi évidente » estime l’élu.

Même constat de la part du conseiller régional PS Sébastien Pietrasanta, maire d’Asnières-sur-Seine (92), 83 000 habitants et 91% d’emprunts toxiques, qui ironise que sa mairie « n’a pas de salle des marchés dans les sous-sols » . Là aussi, le nom de Dexia tombe. La banque, après avoir sécurisé 10% de la dette toxique, « demandait 63 millions d’euros pour sécuriser les 81% restants, soit l’équivalent de deux ans et demi d’investissement ! » s’insurge-t-il. Il souligne ensuite le caractère « exotique » d’un des produits structurés détenus par sa ville, un emprunt dont le taux repose sur « la bonne santé de la banque des collectivités locales… américaines ! » Et la liste continue.

Pour combattre ces abus, porter l’action devant les tribunaux n’est que le premier étage de la fusée. Pour y voir clair et mettre fin à ces pratiques délictuelles de la finance folle, l’idée d’une Commission d’enquête parlementaire est dans tous les esprits.

Sans chercher à minimiser la responsabilité des élus ayant contractés de tels emprunts, les élus fondateurs d’Acteurs publics contre les emprunts toxiques estiment que les maires ont été victime « d’abus de faiblesse ».

« Bien sûr, il y a une responsabilité politique, affirme Henri Plagnol, mais le discours des banques sur le thème “vous avez signé ” est insupportable ! » Il évoque la nécessité d’une commission parlementaire, « non pas pour régler des comptes mais pour que cela ne puisse pas recommencer ». Elle se chargera en premier lieu d’évaluer le montant exact des encours de produits structurés dans les bilans des banques et dans les dettes des acteurs publics, c’est-à-dire les collectivités locales mais également les sociétés d’HLM, Services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), hôpitaux, Sociétés d’économie mixte (SEM), également frappés de plein fouet.

Si les élus des collectivités territoriales, en première ligne sur le front de la défense de l’intérêt général finissent enfin par constater, dans la douleur, les dégâts des emprunts toxiques, nous rappelons ici ce qu’affirme Jacques Cheminade dans son « Appel à la création d’une commission d’enquête sur les emprunts toxiques » : ces emprunts toxiques ne font que refléter la vraie nature de tout un système devenu toxique.

Nos élus ont été aveugles. Pas seulement devant les emprunts toxiques, mais devant la transformation d’un système de crédit encadré en une économie de casino aux mains de banquiers-voyous. Qui s’était rendu compte que Dexia, héritière du Crédit local jadis sous la tutelle de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), s’était muée de banque de dépôt classique en banque d’affaires prédatrice dont on continue à cacher la faillite ? Qui a protesté contre le démantèlement systématique d’un pôle de financement public incarné par le rôle central de la CDC ?

Pour enfin bénéficier d’emprunts non-toxiques, c’est de système qu’il faut changer. Utopique me diriez-vous ? Moins que vous ne le croyez. Un simple rétablissement de la séparation stricte entre banques de dépôt et banques d’affaires, véritable « Glass-Steagall global », fera immédiatement des merveilles.

Le temps presse et les choix se réduisent : soit les représentants légitimes des peuples, au nom d’une mission au service du bien public et d’un avenir meilleur, réorganisent le système financier mondial actuel grâce à une procédure de banqueroute parfaitement ordonnée ; soit la « finance folle » nous condamnera à la faillite parfaitement désordonnée… A vous, à nous de choisir.

Karel Vereycken

Cheminade2012 : Appel à la création d’une commission d’enquête sur les emprunts toxiques


Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

  • Gevaert • 10/03/2011 - 11:18

    Bonjour, Monsieur Cheminade,
    Vous êtes bien gentil de dénoncer ces emprunts toxiques, mais maintenant il faudrait songer à AGIR !
    Cordialement.

    Répondre à ce message

  • petite souris • 09/03/2011 - 20:15

    Certains de nos élus ont été aveugles, ou n’ont pas tout compris, ou ont été conseillés par leurs partis politiques, par leur banquier local qui appliquait les ordres etc...Certains autres, très au fait, ont montré l’exemple.

    Tour cela est très compliqué et implique de nombreuses catégories de personnes et de responsabilités donc ... il ne se passera rien ! Tous ces gens là s’accrocheront à ce système financier pourri tout simplement pour se prouver qu’ils ne se sont pas trompés et pour garder leur position sociale !!!

    Donc les populations vont trinquer et se révolter pour les dégager tous.
    Mais il faut tenir et résister et se battre.

    à poil tous les beaux parleurs !
    "On ne récolte que ce qu’on a semé"

    Répondre à ce message

  • TERNON Max • 09/03/2011 - 17:58

    Et nous particulier ?j’hesite à attaquer ma banque (et mon notaire...) pour défaut de conseils, tout les contacts que j’ai pu avoir à ce sujet ont été plus que frileux...
    Pour faire court, perte d’emploi (45 ans....), refus de rétaler la dette, vente habitation avec prêt relais refinancant le tout avec achat bien plus modeste juste avant la crise immobilière ; bilan des courses, vente forcée à perte. Là où la dette devait être soldée elle a doublé ! les banques n’ont rien perdues, nous tout !

    Répondre à ce message

  • edith • 09/03/2011 - 15:33

    En fait la france c’est bientôt l’afrique,plus de piscine,stade,gymnase,centre culturel puisque les politiques ne veulent pas changer le systeme monétaire et financier.l’irresponsabilité des elus est,malgré les petites actions entamées qui peuvent durer des années,le bonnet d’âne des mauvais eleves de la classe.et encore les ânes sont des animaux plus intelligent que ces logiciels sur patte qui sont censés gérer notre quotidien décidémenttous des neuneus ces idéologues de la pensée unique au royaume des aveugles les borgnes sont rois,ils ont tous favorisés les oligarches la république est morte à cause de vous DEGAGEZ TOUS !!!! IL Y A DEJA PLEIN D’ASSOCIATION CELA CHANGE T’IL NOTRE VIE TOUT EST POLITIQUE VENEZ A S ET P.

    Répondre à ce message

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

Les taux des emprunts "toxiques" explosent pour de très nombreuses collectivités territoriales. Nous réclamons la justice et un nouveau mode de financement.

En savoir plus

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard