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Montargis travail-études

Amitié Franco-chinoise : centenaire du programme Travail-études

Commémoration à Montargis le 4 mai 1919
Commémoration à Montargis le 4 mai 1919

Centenaire du mouvement Travail-études

par Christine Bierre

Cette année, la Chine célèbre le double centenaire de la révolte patriotique du 4 mai 1919 et du programme « Travail-études » qui amena, entre 1919 et 1920, 1400 étudiants et étudiantes chinois en France, notamment à Montargis (Loiret). Une stèle y fut inaugurée le 4 mai dernier, en présence de l’Ambassadeur de Chine, des élus locaux et départementaux, d’une centaine de jeunes diplomates déployés en ce lieu de pèlerinage, ainsi que des amis français de la Chine. (Voir image ci-dessus)

Cheval Courant Xu Beihong 1944
Cheval Courant Xu Beihong 1944

Ces deux événements sont intimement liés, car c’est pour libérer et moderniser la Chine, dépecée par les puissances occidentales profitant de la décadence de la dynastie Qing, que ces étudiants furent envoyés en France pour apprendre le meilleur de la culture occidentale. Parmi eux, Deng Xiaoping, Zhou Enlai et Chen Yi, qui ont fait partie du noyau d’hommes qui allaient faire de la Chine, cent ans plus tard, la puissance qu’elle est devenue aujourd’hui. (Voir images ci-contre) Beaucoup d’autres y ont contribué aussi, politiquement, dans les sciences et dans les arts (voir ci-contre encre de Xu Beihong).

De gauche à droite : Zhou Enlai (1898 - 1976) Fut le Premier ministre chinois depuis 1949 à sa mort ; Cai Hesen (1895 - 1931) Depuis la France, il propose à Mao Zedong, le 13 août 1920, la création du Parti communiste chinois. Mao accepta le 1er décembre ; Deng Xiaoping (1904 - 1997) Secrétaire général du PCC de 1956 à 1967 et numéro 1 de la RPC de 1978 à 1992 ; Xiang Jingyu (1895 - 1928) Elle sera ministre des femmes au Comité central du PCC.
De gauche à droite : Zhou Enlai (1898 - 1976) Fut le Premier ministre chinois depuis 1949 à sa mort ; Cai Hesen (1895 - 1931) Depuis la France, il propose à Mao Zedong, le 13 août 1920, la création du Parti communiste chinois. Mao accepta le 1er décembre ; Deng Xiaoping (1904 - 1997) Secrétaire général du PCC de 1956 à 1967 et numéro 1 de la RPC de 1978 à 1992 ; Xiang Jingyu (1895 - 1928) Elle sera ministre des femmes au Comité central du PCC.
Création en France, en 1921, de la Ligue de la Jeunesse communiste chinoise. Troisième partant de la gauche Zhou Enlai.
Création en France, en 1921, de la Ligue de la Jeunesse communiste chinoise. Troisième partant de la gauche Zhou Enlai.
Deng Xiaoping arrive en France, à l'âge de 16 ans ! Il rejoigne le PCC en 1923.
Deng Xiaoping arrive en France, à l’âge de 16 ans ! Il rejoigne le PCC en 1923.
Carte de travail de Deng Xiaoping à Renault en 1925
Carte de travail de Deng Xiaoping à Renault en 1925

Un très important colloque s’est donc tenu le 4 mai à Montargis, animé par Mme Wang Peiwen, directrice du Musée historique de l’amitié franco-chinoise de Montargis consacré à cette histoire, et par M. Alain Labat, président de la Fédération des Associations franco-chinoises en France et de l’Institut franco-chinois¹.

Traité de Versailles : la trahison occidentale

Les orateurs chinois et français ont présenté cette histoire totalement ignorée en France et pourtant si importante pour la Chine. Nous ne pouvons donner ici que les grandes lignes de ce riche colloque, également ponctué d’un appel vibrant de M. Xu Bo, président de l’Association des Amis de Wu Jianmin, à la jeunesse chinoise pour qu’elle revive ce moment afin de s’en inspirer, et aux Français pour qu’ils poursuivent cette belle histoire d’amitié.

Après l’intervention de M. Hu Zhenrong, président de l’Institut d’études d’histoire du Parti communiste chinois, sur la contribution particulière de la province du Hunan dans ce programme, l’historien Jean-Louis Rizzo expliqua le rôle déterminant qu’avait eu la conférence de paix de Paris, organisée par les vainqueurs de la Première Guerre mondiale pour négocier les traités de la fin de la guerre, dans les événements du 4 mai. Le 30 avril 1919, on apprenait la décision scandaleuse et injuste d’accorder au Japon et non à la Chine les possessions conquises par l’Allemagne en 1897 dans la province chinoise de Shandong.

Ce fut l’étincelle qui provoqua la révolte patriotique du 4 mai. Car la Chine avait rejoint le camp des alliés contre la promesse que ces territoires lui seraient restitués en cas de victoire. Le 3 mai, lorsque la décision fut connue en Chine, 3000 étudiants manifestèrent devant la Cité interdite avec ce message : « Le territoire de la Chine peut être conquis, mais il ne peut pas être donné ! Les Chinois peuvent être tués, mais ils ne peuvent pas être soumis ! Notre pays risque sa perte ! Citoyens, mobilisez-vous ! ». En quelques jours, leur action provoqua le soulèvement de tout le pays et permit d’obtenir gain de cause en 1922.

Education et révolution

Au cœur de la révolte du 4 mai, nous dit M. Rizzo, figurait le « Mouvement pour une nouvelle culture », fondé en 1915 par un jeune intellectuel, Chen Duxiu. Avec sa revue Nouvelle Jeunesse, Chen Duxiu mettait en cause le confucianisme et le poids des traditions dans l’arriération de la Chine, tout en revendiquant le rôle de la science, du progrès technique et de la démocratie. Si la révolte est, à cette époque, républicaine, en 1921, dans une phase ultérieure de radicalisation, Chen Duxiu et ses amis fonderont le Parti communiste chinois.

Pour comprendre, il faut aussi remonter au combat mené au début du siècle par des courants patriotiques et républicains, puis communistes, contre la dynastie Qing décadente (accusée d’avoir laissé le pays sombrer dans le marasme) et pour moderniser la Chine en recourant à la culture occidentale.

Au cœur de ce combat, le grand dirigeant Sun Yat-sen, devenu président de la République de Chine à la chute de la dynastie, en 1911. Le programme Travail-études fut fondé à Paris et à Beijing, par quatre hommes : Li Shizeng, Cai Yuanpei, Wu Zhihui et Zhang Rejie, tous membres de la Ligue unie de Sun Yat-sen. Tous ont eu, à Paris, leur phase « anarchiste ». Ils rêvaient, en lisant Bakounine, Elisée Reclus ou Kropotkine, qu’un jour l’humanité pourrait vivre sans autorité centralisée, en s’appuyant uniquement sur la solidarité entre les hommes. Mais comment y arriver progressivement et sans recourir à la violence ? Par l’éducation. Le mouvement Travail-études devait faire surgir ce type d’homme nouveau.

Sun Yat Sen, Premier président de la République de Chine 1911. (1866 - 1925)
Sun Yat Sen, Premier président de la République de Chine 1911. (1866 - 1925)
Cai Yuanpei, Recteur de l'Université de Beijing (1868 - 1940)
Cai Yuanpei, Recteur de l’Université de Beijing (1868 - 1940)

Cai Leiluo, petite-fille de Cai Yuanpei et présidente de l’association constituée à sa mémoire, prit ensuite la parole pour évoquer ses travaux. En 1907, son grand-père avait étudié à Berlin et à Leipzig, où il se familiarisa avec le concept d’« éducation esthétique » de Friedrich Schiller, qu’il allait ensuite adapter à la Chine. En 1911, il devint ministre de l’Education de Sun Yat-Sen, puis recteur de l’Université de Beijing. Son ouverture à tous les courants de pensée allait placer cette université au cœur de la révolte du 4 mai.

Le programme Travail-études

Duanmu Mei, de l’Académie des sciences sociales de Chine, Alain Labat, ainsi que l’historienne Nora Wang, donnèrent ensuite un aperçu détaillé du programme Travail-études.

En 1902, Li Shizeng arrive en France. Après des études d’agronomie à Montargis et de chimie à l’Institut Pasteur, il ouvre, en 1908, une usine de tofu à la Garenne-Colombes, puis, juste à côté, une école qui accueillera une trentaine d’élèves chinois. La création en 1912 de l’Association pour les études dans la frugalité en France et à Beijing, avec le soutien de Cai Yuanpei, ouvrira la voie à l’arrivée de 2000 étudiants, dont 1400 entre 1919 et 1920. Entre 3 et 4000 étudiants et étudiantes, si l’on compte entre 1919 et 1925 !

Li Shizeng, fondateur du programme Travail-Etudes (1881 - 1973)
Li Shizeng, fondateur du programme Travail-Etudes (1881 - 1973)

Malheureusement, la crise sévissant en France après la guerre ne permettra plus à ces élèves de trouver un travail pour financer leurs études. Les fondateurs du programme décident alors de changer de cap, rapporte Alain Labat. Avec le maire Edouard Herriot, ils créeront l’Institut franco-chinois de Lyon, destiné à accueillir des étudiants plus aisés et recrutés sur concours, excluant, de fait, ceux qui étaient déjà sur place. Ceux-ci lanceront des actions de protestation à Lyon contre le nouvel institut. Il faut ajouter qu’entre temps, les contestataires s’étaient rapprochés des thèses marxistes, qui n’étaient du goût ni du gouvernement français, ni des fondateurs du programme Travail-études… C’était la première rupture entre nationalistes et communistes, une situation qui perdure encore de nos jours !

Pour l’historienne Nora Wang, Montargis, qui incarne un moment privilégié dans les relations entre les deux pays, n’a pas été le fait des élites en place, mais d’un réseau internationaliste et pacifiste. Un réseau animé du côté français par des radicaux-socialistes, dont Edouard Herriot, Henri Barbusse avec sa revue Clarté et Romain Rolland, dont les œuvres sont très appréciées aujourd’hui encore en Chine.

1. Le colloque a été organisé par l’Ambassade de Chine, le Musée historique de l’amitié franco-chinoise, la Mairie de Montargis, le Conseil des affaires d’Etat de Chine, les ministères chinois de la Culture, du Tourisme et de l’Education, la province du Hunan et beaucoup d’autres.

* Les images viennent de l’Exposition organisée par le Centre culturel de Chine à Paris à l’occasion des commémorations à Paris du Centenaire du Programme travail-études, lors de la visite du Président Xi Jinping le 25-26 mars.

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