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Un universitaire à Haaretz : « une attaque israélienne contre l’Iran peut dégénérer en guerre nucléaire »

21 novembre 2011 (Nouvelle Solidarité) – Dans une tribune publiée le 18 novembre par le quotidien israélien Haaretz et intitulée « Somnambule vers la catastrophe », c’est le professeur James R. Russell qui avertit contre le risque d’un conflit mondial nucléaire. Depuis la mise en garde lancée fin octobre par Lyndon LaRouche, de nombreuses voix dissonantes se font entendre pour tenter d’enrayer cette menace : le général américain et ancien commandant du CENTCOM Joseph Hoar, le chef d’Etat-major de l’armée russe Nikolaï Makarov, l’ancien chef du Mossad Meir Dagan, l’ancien chef d’Etat cubain Fidel Castro, l’ancien ambassadeur de France en Iran François Nicollaud, le professeur américain de Droit international Francis Boyle, le Président vénézuélien Hugo Chavez, le journaliste israélien Gideon Levy ou la rédaction du quotidien officiel chinois Global Times. Tout en étant court sur les solutions, James Russell, professeur à Harvard et à l’Université hébraïque de Jérusalem, fait néanmoins montre d’une réelle compréhension du problème, expliquant : « Je suis un juif d’âge moyen, qui enseigne l’Arménien, ce qui fait que je me souviens de deux holocaustes. »

Il y a des enjeux qui sont si importants que l’on se doit d’insister sur l’exercice de ses droits civiques et académiques et sur la liberté intellectuelle, même au risque de faire mal. La guerre nucléaire est l’un d’entre eux. Une guerre générale dans le Moyen-Orient déclenchée par une attaque préventive israélienne contre le programme nucléaire iranien peut dégénérer en guerre nucléaire impliquant l’arsenal pakistanais, ainsi peut-être que celui de l’Inde. Aujourd’hui, le monde, endormi, semble se diriger tout droit vers cette situation.

A moins que quelqu’un, en coulisse, travaille très dur et intelligemment pour résoudre ce problème, nous nous trouvons soumis à un compte-à-rebours vers le désastre. Et il s’agira d’un désastre inimaginable. 

Si vous êtes jeune et que vous n’avez pas vécu la Guerre froide, ou si la vie vous a éloigné de la civilisation récemment et vous a fait oublier ce qu’est une guerre nucléaire, rafraîchissez-vous la mémoire. Lisez la nouvelle écrite en 1984 par Strieber et de Kunetka, Warday , ou l’essai de Jonathan Schell Le destin de la Terre (1982). Regardez le film Le jour d’après de 1983. Ces œuvres dépeignent un futur absolument ignoble, dont les scientifiques s’accordent pour dire qu’il est très proche de la réalité. Voilà ce qui est en jeu ces jours-ci. Alors, que faire pour éviter un désastre qui, s’il était hors de contrôle, tuerait définitivement des centaines de milliers de personnes, peut-être des milliards, et détruirait peut-être la vie elle-même ?

Peut-être que l’Amérique agit déjà en coulisses, mais je n’entrevois aucun signe qui prouve son efficacité jusqu’à présent. Je suis un juif d’âge moyen qui enseigne l’Arménien et, ainsi, je me souviens de deux holocaustes. Je conçois qu’Israël doive prendre la décision finale à propos de sa sécurité. Toutefois rien, et je dis bien absolument rien, ne mérite une extinction de masse provoquée par une possible guerre nucléaire.

J’offre ces pensées pour rappeler à tout un chacun la douceur de la vie de tous les jours, y compris avec ses ennuis quotidiens, alors que nous approchons du moment d’une extinction monstrueuse et diabolique. Il reste encore du temps, mais peut-être plus beaucoup.

Dans notre combat contre la guerre, il ne faut ni se laisser submerger par des bouffées irrationnelles de peur, et encore moins par des accès de rationalisme effréné consistant à se rassurer en disant : « ils ne le feront pas car personne n’y a intérêt »... Quand on joue avec la guerre, un coup peut très vite partir, par accident, et déclencher un brasier. Notre ennemi est un tigre blessé et agonisant ; il va mourir mais est prêt à tuer. Pour faire face à de telles circonstances, il faut penser stratégie :

... et donc destituer Obama !

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  • Elie • 21/11/2011 - 16:19

    Ainsi nous sommes au bord d’un conflit nucléaire généralisé, auquel, d’après petite souris, toujours éclairée, les cousins de nos banquiers ne participeront pas... Ah bon, et pourquoi ? D’après le grand Lyndon, la reine d’Angleterre veut réduire la population mondiale de 7 à 1 milliard d’habitants. Mais bon, les petits cousins des banquiers et les petits princes, ducs et consorts seront protégés. Mais comment ? Ben je vais vous le dire comme dirait Sarko. On va mettre tous ces gens là sur une ile au milieu du pacifique, entourée de murs qui ne laisseront pas passer les nuages radioactifs. Le grand Larouche est un génie, le plus grand de l’humanité, c’est pour celà que lui même se présente à la fois, comme le meilleur économiste prévisionniste, docteur, psy, spécialiste des planètes et de l’espace, écrivain, musicologue, spécialiste des arts, fils spirituel de F.Roosevelt, DIEU en somme et peut être même au dessus.
    Mais bon, le système financier devait s’écrouler définitivement à l’automne 2008 au plus tard. Mais oui, cherchez bien en arrière (dans vos brèves). Lyndon l’annoncait en juin 2008. Préparez vous !!!c’est une question de 3 mois, peut être même seulement quelques semaines. On est en 2012, et les banquiers sont encore là et les bonus avec. LYNDON se trompe de crise les enfants, il ne sait rien, rien de rien. Nous n’avons pas a faire à une crise du système financier mais à autre chose.
    Alors maintenant, il faut bien annoncer d’autres catastrophes, puisque les autres ont fait flop, et puisque le fond de commerce doit toujours être alimenté pour exister. Quoi de mieux qu’un bonne grosse guerre nucléaire, même moi j’y aurait pensé. Moi je vous annonce une fin, celle de Lyndon, parce qu’elle arrivera un jour.

    • Bertrand Buisson • 21/11/2011 - 17:05

      Chapeau bas Thierry ! :-))

      Vous n’avez pas l’excuse de l’ignorance... Dire ça en réponse à une brève ou sont cités tant de dirigeants relayant les mêmes mises en garde contre le risque de guerre dans les mêmes 15 jours... : l’ancien chef du US Central Command, le journal international du gouvernement chinois, le chef d’Etat-major de l’armée russe, etc.

      Quant à dire que l’implosion du système ne s’est pas déclenchée en 2008... même les prix nobel d’économie ne le renient pas c’est dire.

      je m’arrête là parce que franchement... :’-))

    • Elie • 21/11/2011 - 17:51

      Bertrand, merci d’abord de faire paraître mon commentaire, et ensuite d’y répondre. Je suis conscient que sous des aspects primaires (dans le texte), vous aurez compris qu’il y a autre chose qui ressemble à de la provocation. Si je lis regulièrement vos brèves c’est que j’y trouve un intérêt. Ensuite si j’attaque Larouche en tant qu’homme, c’est que je suis persuadé que derrière l’image d’économiste qu’il nous donne, se cache autre chose mais je n’en dirait pas plus.
      Bertrand, nous n’avons pas eu à faire à un éffondrement du système financier en 2008 mais à une crise importante. Ce n’est pas la même chose. Aujourd’hui nous avons à faire à un autre type de crise qui devait obligatoirement arriver un jour. Celle de l’endettement de nos sociétés occidentales. Nos états ne pouvaient pas vivre éternellement au dessus de leurs moyens. Cette crise dévoile enfin l’incompétence, pire même, la médiocrité de nos politiques. Mais les peuples, à l’image des grecs, ont aussi leur part de responsabilité. Désolé de vous choquer.
      Pour finir, vous reprenez les discours de quelques personnalités pour étayer vos prévisions de conflit nucléaire. Soit, c’est votre droit. Avant la fin de la guerre froide, il ne se passait pas non plus une journée sans qu’on nous annonce à tort et à travers l’imminence de ce type de cataclysme. On s’est rendu compte plus tard que l’état de décrépitude de l’union soviétique n’aurait même pas permis de faire décoller un seul missile sous peine de le voir exploser sur son propre territoire. Il faut être conscient des dangers qui nous entourent, et il y en a beaucoup, mais de grace, ne tombons pas dans une forme de démagogie complètement folle. Vous y perdriez beaucoup de crédit. Très cordialement...THIERRY

    • petite souris • 21/11/2011 - 21:28

      ... certes à force de crier au loup personne ne fait plus attention ceci est parfaitement vrai.

      Dénoncer le danger ou nier l’existence du danger n’a pas les mêmes conséquences...surtout à une époque où nozélites prônent le principe de précaution en s’en lavant les mains...

      ... personne ne croyait à la folie d’Hitler y compris le gouvernement français ...

    • ID naze • 22/11/2011 - 05:31

      Il ne s’est absoluement rien passé en 2008 en effet, a part "quelques" deces de plus dans la region Rhone Alpes, je crois ?
      J’ai constaté qu’ a partir d’octobre 2008, le nombre des deces dans tous les departements de la region couvèrte par le quotidien que j’ai regardé, ont bondi du jour au lendemain du simple au triple et cela a duré ,il me semble,jusqu’ a ce que la rubrique dans le Dauphiné Libéré disparaisse pour laisser une toute autre presentation ou n’aparaissent plus ces chiffres peut etre accablants ?
      A part ça ,il ne s’est peut etre rien passé pour une majorité de gens .
      Bye.

    Répondre à ce message

  • Bertrand Buisson • 21/11/2011 - 22:21

    Selon la dernière déclaration de LaRouche de ce jour, il semble que la combinaison de toutes ces dénonciations publiques (et qui ne sont que la partie émergée de l’iceberg) a permis d’enrayer au moins provisoirement l’escalade vers la guerre :

    http://www.larouchepac.com/node/20425

    dès demain sur le site...

    Répondre à ce message

  • petite souris • 21/11/2011 - 14:32

    Quand on joue avec la guerre, un coup peut très vite partir, par accident, et déclencher un brasier. Notre ennemi est un tigre blessé et agonisant ; il va mourir mais est prêt à tuer

    Merci à James Russell et à tous ceux qui élèvent la voix pour essayer de convaincre Israël, poussé par ses alliés de l’empire financier, à renoncer à cette guerre nucléaire ...

    Cependant, je ne fais pas confiance à toutes lezélites diplomatiques qui, ne connaissant rien à la guerre savent que leur incompétence sera réglée par une guerre à laquelle ils ne participeront pas ni eux, ni leurs proches.
    Ils sont tellement dans les méandres des mots qui ne veulent rien dire, tellement loin des préoccupations matérielles, et encore plus ignorants des conséquences réelles des guerres ....

    Le pire est donc à craindre.

    Répondre à ce message

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« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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