Avec son expérience de vice-président sous l’administration Carter, de 1977 à 1981, Walter Mondale écrit dans l’édition dominicale du Washington Post que
29 juillet 2007 (LPAC) - Avec son expérience de vice-président sous l’administration Carter, de 1977 à 1981, Walter Mondale écrit dans l’édition dominicale du Washington Post que « toute autorité du vice-président émane d u président sous lequel il sert. Il n’y a aucun pouvoir inhérent à son poste (...) D’une certaine manière, non seulement Cheney bénéficie d’une grande autorité que lui a donné le président Bush, et qui inclut l’ensemble des activités de renseignement, mais en plus il applique son propre programme. »
Mondale explique qu’ « A travers sa vaste expérience gouvernementale, les amis qu’il a pu placer à des postes clés et son considérable talent politique, il [Cheney] a été de plus en plus à même d’élaborer les réponses aux questions soumises au président - parce qu’il a été capable d’élaborer ces questions »
« Il y a trente ans nous vivions sous un autre exemple douloureux d’un Maison Blanche dépassant ses prérogatives, mentant au peuple Américain, violant la loi, et enrobant tout ce qu’il fait dans le secret. Le Watergate a troublé le pays et le système constitutionnel comme jamais auparavant. Nous avons passé des années à essayer de comprendre et de digérer les leçons de ce grand débordement. Mais nous y revoilà. »
Comme tout le monde le sait, le Watergate a fini par la démission forcée du président Nixon, ce qui est exactement ce que le docteur a prescrit pour Dick Cheney.
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Cheney : destitution ou démission ?