11 décembre 2008 (LPAC) – Dans une tribune publiée le 4 décembre dans le New Statesman sous le titre Un dîner avec George Soros, Mark Leonard, un wonderboy de Tony Blair, actuellement à la tête du Conseil européen des affaires étrangères (ECFR), se plaint de voir lui échapper son emprise sur l’équipe du Président élu, Barack Obama.
Mark Leonard se vante que « George Soros m’a invité à dîner chez lui, dans son appartement new-yorkais, face à Central Park. (….) Soros a passé une année incroyable. Il a aidé à faire démarrer la campagne présidentielle d’Obama grâce à une donation initiale et présenté un plan pour faire face à la crise financière, que beaucoup considèrent comme ayant inspiré celui de Gordon Brown ; tout en étant très écouté sur les évènements de Géorgie (Poutine continue à accuser la fondation de Soros à Tbilissi d’avoir monté les révolutions de couleur en Géorgie et en Ukraine) (...)
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« Le lendemain matin, je me suis joint aux hordes de diplomates européens qui débarquaient à Washington… Cependant, l’équipe d’Obama refuse de jouer le jeu – il a interdit aux membres de l’équipe en charge de la transition de parler aux étrangers, ce qui fait que même quelques-unes de mes vieilles connaissances qui en font partie hésitent à me rencontrer. »
Pour conclure, Leonard note que « le camp des loyalistes d’Obama a une autre raison de s’énerver : la nomination d’Hillary Clinton comme secrétaire d’Etat. Ils pensaient pouvoir obtenir les meilleures positions et sont maintenant obligés de mordre la poussière pendant que les Clintonistas raflent les postes clefs… »
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# Senec
• 13/12/2008 - 06:51
Obama ?
Du vent, encore du vent, toujours du vent !
N’importe quoi, les présidents US !
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