21 février 2008 (Nouvelle Solidarité) - Dans son allocution du dimanche 10 février, Nicolas Sarkozy a expliqué que « nos partenaires » ont exigé que la France ne procède pas à un Referendum, faute de quoi « aucun accord n’aurait été possible ». (Voir la vidéo ici)
Alors que plus de 73 % des français se sont déclarés favorable à un referendum, Nicolas Sarkozy a avoué en novembre, lors d’une réunion à huis clos, que « La France n’était qu’en avance sur les autres pays dans son vote pour le NON ». « La même chose arriverait dans tous les Etats membres si un référendum y était organisé », a-t-il ajouté. « Un référendum aujourd’hui mettrait l’Europe en danger. Il n’y aura pas de traité si un référendum a lieu en France », ou dans d’autres pays.
Et c’est en Irlande que se tiendra le seul referendum, même si des procédures sont lancées dans d’autres pays pour y parvenir. On se souvient que dans l’histoire, patriotes et républicains français et irlandais se sont donnés la main pour déjouer les plans impériaux de William Pitt et de l’oligarchie britannique visant à détruire tout Etat-nation.