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Les chiffres qui tuent : des milliards pour les bonus, rien pour la faim dans le monde

4 août 2009 (Nouvelle Solidarité) - Mme Helga Zepp-LaRouche, candidate aux élections allemandes du 26 septembre et présidente du parti politique Bürgerrechtsbewegung Solidarität (Büso), a présenté quelques chiffres qui révèlent « la moralité du système actuel » :

« Les neuf banques les plus importantes des Etats-Unis ont bénéficiées de 175 milliards de dollars provenant des plans de sauvetage bancaire lancés par l’Etat américain. De ce montant, rien que 34 milliards de dollars ont été payés en bonus au management ! En clair, les contribuables américains ont déboursé 34 milliards de dollars, ce qui n’est pas rien, pour honorer les salaires des dirigeants de ces banques.

Maintenant, comparons ce chiffre avec celui publié par le programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies. L’agence souligne que le nombre de personnes souffrant de faim chronique sur terre dépassera largement le milliard cette année. Pourtant, l’ensemble de la "communauté internationale" n’a promis que 3,7 milliards de dollars d’aide — et cela n’est qu’une promesse — pour parer aux besoins les plus urgents d’un sixième de l’humanité en danger de mort. Et sur les 3,7 milliards de dollars de promis, seulement 1,8 milliards ont été décaissés à ce jour !

Rien que ces chiffres démontrent à quel point le système actuel est moralement en faillite. Ainsi, toute personne qui le défend peut être qualifié de crétin ou pire encore. Défendre ce système vous range rapidement du coté du fascisme. Ceux qui ont le courage de faire face devraient se lever et nous rejoindre dans la bataille. Battons-nous ensemble comme si notre vie en dépendait, car elle en dépend ! »

Article :
—Nourriture pour la paix : doublons la production alimentaire mondiale

—De Henry Wallace à la "révolution verte" : la science de nourrir la planète

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  • Philippe • 06/08/2009 - 16:13

    Vous omettez de dire que les sommes allouées dans les "plans de sauvetage bancaire" sont des prêts et non des dons.
    De sorte que ces 34 milliards de bonus ne sont aucunement un cadeau fait par l’Etat américain qui détient contre les banques emprunteuses une créance intacte de ces 175 milliards valorisée des intérêts d’emprunt.

    • Benoit • 06/08/2009 - 20:54

      Et comment les banques vont-elles rembourser ?
      Avec les profits faits en speculant sur les plateformes alternatives et les dark pool ?
      En anticipant l’hyperinflation pour faire un max de benef ?
      En pompant encore plus le travail humain, a l’image des LBO ?
      En faisant jouer leurs contacts dans le gouvernement pour pouvoir negocier des baisses de salaires ou de prestations sociales qui "pesent sur l’activite" et donc sur la rentabilite ?

      Des fois il est bon de se poser des questions. Quand on emet de la dette sans creer de conditions de production physique nouvelles (les banques ne fournissent plus suffisament de credit a l’economie depuis longtemps), oü va-t-on chercher la richesse pour rembourser ?

      Le plan du gouvernement est un attrape nigauds ! Aucune competence derriere tout ca. Aucune notion d’economie physique. Rien. Du vent. C’est du travail de margoulin et il faut le dire.

    • picpus • 06/08/2009 - 21:48

      Si je comprend bien, les bonus sont des salaires que l’on doit distinguer des prêts. Rien ne peut justifier de tels émoluments. Par contre ces banques à qui l’on a prêté ne sont pas prêteuses quand il s’agit d’économie réelle.
      De plus en ayant l’exclusivité de la vente des bons du trésor américains, les banques ne prennent aucun risque. Il faut aussi lire les articles consacrés aux dirigeants des banques islandaises qui se sont attribués des prêts colossaux à titre personnel 10 jours avant la mise en faillite de leur banque....Manifestement ce corps de métier n’a aucun respect pour le commun des mortels.

    • nico • 07/08/2009 - 16:15

      Effectivement ce sont des prêts, mais a quel taux ??? et a quel taux ces banques repretent-elles par la suite ???

      Les gouvernements leur fournissent les moyens de nous arnaquer encore et toujours. et en plus au passage les mecs se prennent des bonus avec notre argent !!! Si les médias n’étaient pas détenus par ces fraudeurs, cette situation ne durerait que quelques heures et partirait rapidement en révolution !

      Le pire c’est que tout cet argent ne leur sert a rien. A quoi bon avoir des milliards et des milliards, personnes sur terre ne dépense ces sommes en une vie !!! ce sont des toxicos, les mecs sont multimilliardaires et ils en veulent encore, c’est vraiment du domaine de l’addiction.

      A quand la grosse cure de désintox ??

      La colère monte... des têtes seront coupés !

    Répondre à ce message

  • Fifth Era • 06/08/2009 - 20:23

    Que ce soit des prêts ou non, c’est quand même de l’argent que l’Etat sort de sa poche et que les banques recommencent à verser sous forme de bonus, et à des taux préférentiels... donc ce sont quand même des cadeaux et pour les bonnes oeuvres, il ne leur restera bientôt plus que leurs yeux pour pleurer aux pays les plus pauvres... Tout cela n’a que trop duré, cela doit finir, et ça finira nécessairement par la colère !

    Répondre à ce message

  • yann • 06/08/2009 - 17:11

    la morale de nos dirigeants ont fondu comme beurre au soleil depuis longtemps. Nos banquiers n’ont jamais eu de morale.
    et nos banquiers ont toujours financé ou soudoyé nos dirigeants.
    La faim dans le monde est une bonne pub pour qu’ils se donnent une étiquette de "bonne" morale mais aujourd’hui nous savons de quoi il en retourne.
    Il est grand temps de reprendre nos droits, redonner une leçon de morale à ces vampires qui se nourrissent de notre sueur, de notre travail, de notre vie.

    Répondre à ce message

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Réparation, Reconstruction, Refondation
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Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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