« La structure entière du capital, depuis les equity jusqu’aux AAA (les obligations théoriquement les plus sûres, ndlr) peut être réduite à néant ». C’est
29 juillet 2007 (LPAC) - « La structure entière du capital, depuis les equity jusqu’aux AAA (les obligations théoriquement les plus sûres, ndlr) peut être réduite à néant ». C’est ce qu’a déclaré Steve Eisman, un gestionnaire de portefeuille chez FrontPoint Partners, lors d’une réunion téléphonique que rapporte le New York Times du jour.
« C’est exactement ce qui va arriver » a répondu LaRouche, en expliquant que l’ensemble des dettes existantes dépasse de loin tous les moyens de paiement existants. Et les remparts qui ont permis aux gens de cacher cette divergence sont entrain de trembler. Et ce qui se passe, c’est que la pression massive venant du marché immobilier, qui a servi de rempart depuis que Cheney est à son poste, s’est effondrée. C’est ce qui a le plus durement frappé les banques. Et quand les banques sont touchées, alors qu’elle ont été pompées à mort comme des esclaves pour nourrir cette bulle spéculative, elles ne peuvent plus financer la dernière vague spéculative. Elles ne l’ont pas fait car elles n’en ont pas les moyens, elles ont dû couvrir les pertes du marché immobilier.
C’est comme l’histoire du cheval. Parce qu’un clou manquait, le fer du cheval a été perdu. Parce que le fer manquait, le cheval a été perdu. Parce que le cheval manquait, le cavalier a été perdu, et comme le chevalier manquait, le royaume fut perdu. Voilà ce qui arrive, c’était inévitable.