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Le Büso avait raison : le système financier au bord du précipice !

Par Helga Zepp-LaRouche,
présidente du Büso (Mouvement des droits civiques-Solidarité)

Si la CDU/CSU et le FDP ont remporté les dernières élections législatives en Allemagne (avec 33,8 et 14, 6% des voix), ce succès s’avérera d’ici peu une victoire à la Pyrrhus. Car au prochain scrutin, ces partis risquent de se retrouver dans la même position que le SPD, qui a enregistré le pire score de son histoire (25%) et qui semble vouloir accélérer son autodestruction par un virage « vert ». En octobre, une crise financière et économique sans précédent viendra mettre en pièces toutes les belles déclarations électorales.

Faute de s’engager au plus vite dans une procédure de mise en faillite ordonnée de tout le système financier et d’y substituer un système de crédit productif public, l’Allemagne et le monde se précipitent vers une explosion hyperinflationniste à la Weimar. Dans ces conditions, l’effondrement en chaîne des conditions d’existence matérielle de nos sociétés n’épargnera aucune économie de la planète.

Le sommet des pays du G-20 à Pittsburgh ne serait qu’une mauvaise blague si les conséquences n’en étaient pas aussi tragiques. A part quelques mesures cosmétiques, les dirigeants n’ont traité aucun problème de fond. Si les chefs d’Etat parlent d’un franc succès, en réalité ce n’est qu’un village Potemkine. En effet, la Réserve fédérale américaine ne fait rien d’autre que ce que fit la Reichsbank allemande en 1923 : faire tourner la planche à billets.

Depuis le début de l’année, la Fed admet avoir injecté pour 11800 milliards de dollars de liquidités et de garanties bancaires, et la somme réelle est probablement plus proche de 15 ou 18000 milliards. Elle a acheté près de la moitié des bons du Trésor émis cette année, et en détient désormais plus que le Japon et la Chine. Ses agrégats monétaires ont augmenté de 21%, sans que les banques ne prêtent à leur tour ces fonds à l’industrie. Autrement dit, si l’économie monétaire est « sauvée », l’économie réelle est sacrifiée et une explosion hyper-inflationniste menace.

La Fed imprime d’immenses quantités d’argent, tout en refusant de dire à qui et dans quelles conditions elle accorde ces liquidités. Ainsi, Bloomberg News a déposé une plainte en justice et le représentant républicain Ron Paul a introduit à la Chambre une proposition de loi, appuyée par 295 de ses collègues, qui autoriserait le Congrès à faire, une fois par an, un audit de la Réserve fédérale, ce qui ne plaît guère à Wall Street et à ses comparses au sein du Congrès.

Peu avant le sommet de Pittsburgh, la chancelière Merkel a fait une déclaration remarquable à Kassel, accusant les banques d’avoir fait chanter les Etats pour les sauver. (Chantage vis-à-vis des politiques ? Il s’agit d’un délit, n’est-ce-pas ? La population a le droit d’en savoir plus !) Elle a dit qu’elle défendrait au G-20 des régulations qui empêcheraient de telles dérives à l’avenir. Tout cela sonne très bien, évidemment, surtout en pleine campagne électorale !

Or le chantage n’est pas le seul fait des banques privées, mais aussi des banques centrales dites « indépendantes » (bien qu’elles soient en réalité contrôlées par les mêmes banques privées). Les dirigeants des banques centrales disent aux chefs d’Etat : il n’y pas d’alternative à la planche à billets, l’économie repartira à un moment ou un autre, et on n’a pas à craindre l’hyperinflation car le moment venu, on pourra retirer du système les excès de liquidités.

Voilà l’erreur. L’économie réelle est en chute libre et, pas plus que dans l’Allemagne de Weimar entre le printemps et l’automne 1923, il ne sera possible de « retirer » des liquidités du système. Aujourd’hui, en Allemagne, 54,5% des grandes entreprises et 43,2% des PMI pâtissent du manque de crédit et la Bundesbank a même mis en garde contre le danger imminent d’un resserrement général du crédit.

Les élections passées, les mauvaises nouvelles pleuvent : le chômage technique se transforme en chômage tout court, le nombre de faillites d’entreprise explose, les communes enregistrent une chute vertigineuse de leurs recettes fiscales. « Le gouvernement fédéral va devoir commettre des actes cruels », déclara après l’élection l’économiste Wolfgang Franz, tout en prévoyant des coupes draconiennes dans les régimes sociaux.

Contrairement à une propagande persistante, la Chine n’est pas la locomotive capable de tirer l’économie mondiale de l’abîme. Accusant elle aussi des pertes massives, elle a réduit ses importations d’Allemagne. Par conséquent, la lutte pour des marchés en contraction va fatalement se durcir. Un autre problème se pose avec la dette publique des dix pays les plus riches du monde, qui dépasse les 35000 milliards de dollars, soit 50000 dollars par personne, d’après The Economist..

Tous unis pour un système de crédit public

Les résultats de l’élection au Bundestag ne s’expliquent donc que dans la géométrie du chantage exercé par les banques centrales, agissant en gendarmes de la mondialisation monétariste. Sinon, comment expliquer la forte augmentation des voix pour le FDP (parti libéral), le représentant le plus fanatique de ce paradigme néolibéral qui est à l’origine de la pire crise financière de tous les temps. Les électeurs du FDP sont-ils assez naïfs pour croire qu’ils auront moins d’impôts à payer, ou que leurs titres financiers perdront, par miracle, leur caractère toxique, alors que l’économie réelle est en chute libre ? Toute baisse des impôts, en pareilles circonstances, ne peut être financée que par des mesures d’austérité brutales.

C’est justement cette dynamique de l’effondrement qui pousse diverses catégories socioprofessionnelles à descendre dans la rue : les producteurs de lait, dont l’existence même est en jeu, ont déversé dans les champs des millions de litres de lait ; les constructeurs d’automobiles et les équipementiers craignent des fermetures qui transformeront les villes concernées en villes fantômes, ou encore les médecins et leurs patients, qui constatent que la qualité et l’accès aux soins sont menacés, ce qui reviendra à raccourcir la durée de vie des gens, les pauvres notamment.

Mais pour l’heure, tous ces groupes se bornent malheureusement à ne défendre que leur propre cause. Ils vont protester, manifester, puis, démoralisés, souvent ils abandonneront la lutte. Il est grand temps que tous prennent conscience que dans la crise actuelle, aucune revendication catégorielle, aussi importante soit-elle, ne peut être satisfaite, isolée du reste. La seule chance, c’est que chaque groupe, à côté de ses propres revendications, exige l’instauration immédiate d’un nouvel ordre économique mondial juste et le remplacement du système monétaire en banqueroute par un nouveau système de crédit productif public.

Le BüSo, par ma candidature à la chancellerie, s’est démené pour introduire dans le débat public les dimensions historiques de cette crise sans précédent et quelles solutions y apporter. La dictature médiatique a tout fait pour nous exclure du débat et empêcher que nos analyses et propositions soient connues des électeurs. C’est pour cela que j’ai diffusé mes propres conférences par internet et que nous nous sommes concentrés sur la diffusion de nos tracts, afin de mettre les citoyens en garde contre ce qui nous attend. Je suis convaincue qu’ils savent maintenant faire la différence entre qui leur ment et qui leur dit la vérité. J’appelle désormais tout citoyen, quelle que soit sa catégorie socioprofessionnelle, et ceux qui se préoccupent de l’avenir de notre pays à se joindre au BüSo pour lutter en faveur d’un nouveau système financier et économique mondial.


Conférence internet de Helga Zepp-LaRouche du 22 septembre :
"Ce qui viendra après le krach d’octobre" (version allemande, italienne, anglaise ou française)

Vidéo : La crise financière de 2008 et l’Allemagne de 1923


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  • fabien • 06/10/2009 - 00:24

    Bonjour,

    Je ne voudrais pas jouer les troubles fête mais depuis le temps que vous parlez de l’explosion du système financier, ça fait environ 2 ou 3 ans et le système financier est toujours là.
    Alors fantasme apocalyptiquue ou trop tôt pour le dire ?

    • DESPERADOS • 06/10/2009 - 23:04

      C’est vrai.
      Il parlait d’un écroulement du système financier d’ici la mi-octobre avec la mise en faillite de tous les états américains suite aux résultats financiers annuelles américains.
      Pour l’instant, on attend toujours... Je me demande si L.Larouche n’est pas un peu trop fataliste.

    Répondre à ce message

  • Papon • 05/10/2009 - 17:46

    Ce n’est pas tout à fait exact : lors de la crise de 1929 l’URSS n’avait pas souffert, dans ces conditions particulieres les economies dirigistes presentent certains avantages...on peut penser qu’aujourd’hui, pour les mêmes raisons, la Chine sortira grand vainqueur de la crise actuelle et ce d’autant plus qu’elle reconvertit son economie vers le marché interieur ; des lors qu’elle dispose des matieres premieres, et elle s’y empoie activement grâce à son stock de dollars-comme l’URSS dans les années 30, elle distancera irremediablement les autres nations ; de l’art de scier la branche sur laquelle on est assis, n’est-ce pas M.Bernanke ?

    • Colbert_ • 05/10/2009 - 22:36

      La Chine d’aujourd’hui est même infiniment mieux administrée que l’URSS des années 30.

    • nico • 06/10/2009 - 12:59

      Il n’y a pas de consommation interieur suffisante en chine, ce pays est essentiellement exportateur, c’est d’ailleurs la causes de ses énorme reserves en devise, principalement en Dollars. et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle si les états unis chutent, la chine tombe avec.

      1 - Parce que toutes les reserves en devises chinoises ne vaudront plus rien

      2 - Parce que la clientelle de la chine va disparaitre.

      Il ne peut pas y avoir de demande interieure chinoise si les salaires ne sont pas fortement augmentés. Et étant donné que tout le système économique actuel de ce pays s’est construit grace au niveau très bas des salaires, il s’écroulera. Il faudra un autre systeme, avec des salaires plus hauts, une sécurité social, un droit du travail, etc...

      Que vous vouliez le voir ou non, USA et CHINE sont liés, l’un consomme et s’endette pendant que l’autre produit et exploite sa main d’oeuvre. Dans les 2 cas le peuples sombre doucement mais surement.

    Répondre à ce message

  • un lecteur amusé. • 05/10/2009 - 18:52

    Tout à fait d’accord avec Papon. De plus, il y a très peu de chances que le monde se dirige vers une Hyper inflation car les capacités de productions partout dans le monde, et notamment en Chine, sont considérables et largement sous-utilisées. Nous aurons certainement une inflation maitrisée de l’ordre que 5%, tout au plus.

    Répondre à ce message

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
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Refonder l’Europe

L’Europe n’est pas l’Union européenne (UE) ! L’UE est devenue la caricature destructrice de ce que devrait être une Europe progressant dans l’intérêt mutuel des peuples et des nations qui la composent. C’est pourquoi il faut la dissoudre.

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Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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