Une semaine après le webcast de LaRouche à Washington, les congressistes démocrates Donald Payne du New Jersey et Tammy Baldwin du Wisconsin ont ajouté leurs noms à la liste des signataires de la résolution H.R. 333 pour la destitution
2 août 2007 (LPAC) - Une semaine après le webcast de LaRouche à Washington, les congressistes démocrates Donald Payne du New Jersey et Tammy Baldwin du Wisconsin ont ajouté leurs noms à la liste des signataires de la résolution H.R. 333 pour la destitution de Cheney. Souvenez vous que le 25 juillet, Lyndon LaRouche a appelé le Congrès à faire son travail en virant Cheney immédiatement, sans quoi les élus devraient démissionner pour ne pas être des obstacles à la destitution. Le même jour, le démocrate Robert Brady, représentant au Congrès de la Pennsylvanie, avait signé la résolution.
Le week-end précédant le webcast, le président de la Commission judiciaire de la Chambre, John Conyers avait annoncé qu’avec trois signataires supplémentaires, il lancerait les auditions pour la destitution de Cheney. Le LYM s’est immédiatement mis au défi de réunir les signataires avant que les vacances parlementaires ne commencent le 6 août, afin que le vice président Cheney ne passe pas les vacances seul à la Maison Blanche sans surveillance ni contre pouvoir. Le LYM a donc réussi son premier défi et 5 nouveaux signataires sont attendus prochainement.
Maintenant, Conyers a l’occasion de provoquer un tremblement de terre autour de Cheney pouvant empêcher le vice président de déchaîner ses « canons d’août » sur l’Iran. Cette offensive contre Cheney redonnerait sa liberté au Congrès pour mener à bien les politiques les plus urgentes face au crash financier actuel, c’est-à-dire un plan de reprise économique à la Roosevelt. Souvenez-vous de ce que LaRouche a dit lors de son Webcast à Washington :
« La majeure partie des créances financières, des actifs financiers et des obligations du monde entier n’ont aucune valeur. Il n’y a sur les marchés financiers que de l’argent pour jouer, le marché boursier est contrefait. Le Département du Trésor ment. La plupart des gouvernements mentent, et le gouvernement britannique est le pire d’entre tous. Le gouvernement britannique et le système britannique dans son ensemble est le pire des systèmes criminels auquel nous ayons eu à faire sur cette planète. Ils ont organisé cette guerre, ils sont derrière la plupart des maux du monde aujourd’hui. Ils n’auront donc aucun droit de veto en la matière. Mais les grandes puissances vont dire : nous allons revenir à un système de taux de change fixe. Nous allons le faire immédiatement par des traités, en signant des accords entre pays. Nous allons geler beaucoup de créances financières et nous allons nous assurer que ce qui doit être payé, ce qui doit pouvoir fonctionner, fonctionne. Que la production ne s’interrompe pas, que l’agriculture continue, que la nourriture soit produite, que les infrastructures soient construites et ainsi de suite. Et nous devrons nous sortir du guêpier actuel par étape en commençant avec ces mesures là. Et la mise en place de ces mesures ne peut se faire qu’avec la volonté d’un groupe puissant de nations, pas seulement les 4 grandes puissances que sont la Russie, la Chine et l’Inde, mais un groupe de nations qui se mettent d’accord sur la nécessité de le faire, sachant qu’il s’agit d’éviter l’enfer sur terre. C’est la seule façon d’y arriver.
« Pour faire cela nous devons virer Cheney. Toute personne dans les institutions n’étant pas prête à virer Cheney devrait quitter son poste sur le champ ! Et il faudrait leur dire de le faire, ou alors les destituer, les chasser de leur bureau, tout faire pour qu’ils sortent de là. Ils sont un obstacle ! Car nous allons retourner ce gouvernement, pour le rendre à son peuple. Regardez la condescendance que les dirigeants du Congrès ont montré envers le peuple, envers la majeure partie des représentants élus au Congrès, envers la majorité des gens qui sont leurs constituants ! Quel droit ont-ils de dire qu’ils représentent le peuple, alors qu’ils vont contre le peuple ? Le peuple veut que nous arrêtions l’aventurisme militaire en Asie du Sud Ouest, et toute personne qui n’est pas prête à faire cela ne trouvera pas beaucoup d’oreilles complaisantes parmi le peuple américain. Plus des ¾ des démocrates et la moitié des républicains y tiennent. Et de nombreux autres rejoindront le mouvement s’ils pensent qu’il y a une chance que ça marche. C’est ce que les gens veulent. »
Brève contenue dans : Cheney, destitution ou démission ?