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La banque HSBC, le coeur de l’Empire britannique, au centre du blanchiment de l’argent de la drogue

18 juillet 2012 (Nouvelle Solidarité) – Dès 1978, l’économiste Lyndon LaRouche avait identifié la City de Londres et la banque HSBC comme étant le centre du recyclage de l’argent de la drogue (voir encadré). L’accusation fut rapidement tournée en dérision par les grands organes de presse qui affirmaient que LaRouche accusait la Reine Elisabeth II d’être la plus grande trafiquante de drogue de la planète.

www.hsgac.senate.gov
« Les vulnérabilités des Etats-Unis face au blanchiment de l’argent de la drogue, du trafic de stupéfiants et du financement du terrorisme : le cas de HSBC »
www.hsgac.senate.gov

Cependant, ce qui vient de se passer hier ne fait plus sourire les gestionnaires de fortune de la City. Car, lors des auditions organisées hier par le Sous-comité d’enquête permanent du Sénat américain, sur le thème « Les vulnérabilités des Etats-Unis face au blanchiment de l’argent de la drogue, du trafic de stupéfiants et du financement du terrorisme : le cas de HSBC », plusieurs hauts responsables de la banque britannique HSBC furent soumis à de longs interrogatoires par les sénateurs Carl Levin (D-MI) et Tom Coburn (R-OK).

Les sénateurs s’intéressent particulièrement aux violations délibérées de la loi par la banque pour le blanchiment de plusieurs milliards de dollars (au minimum) en provenance des cartels de la drogue mexicains et d’organisations terroristes internationales. Si les accusations s’avèrent fondées, HSBC risque un milliard de dollars d’amende pour blanchiment d’argent.

Selon le rapport parlementaire de 335 pages préparé par le Sous-comité dans le cadre de cette enquête, la filiale d’HSBC aux Etats-Unis, HBUS, fit entrer physiquement (c’est-à-dire en numéraire) dans ce pays plus de 15 milliards de dollars en provenance de sa filiale mexicaine HBMX entre 2006 et 2009, tandis que cette dernière gérait 50 000 comptes bancaires dans une sous-filiale aux Iles Caïman, alors qu’elle n’y avait aucun bureau ni employé ! Selon le rapport, un ancien dirigeant d’HSBC reconnaît que la banque est impliqué dans 60 % du blanchiment de l’argent sale en provenance du Mexique vers les Etats-Unis, alors que 80 % des stupéfiants arrivant dans ce pays passe par le Mexique.

HBUS a aussi également entretenu des relations financières avec des établissements bancaires soupçonnés de liens avec des organisations terroristes présumées. Le rapport cite à cet égard la banque saoudienne Al Rajhi Bank. Le document souligne également que HSBC a aidé à écouler un montant de 290 millions de dollars en chèques de voyage émis par une banque japonaise au bénéfice de ressortissants russes qui prétendaient travailler dans les voitures d’occasion.

Confrontés à ces quelques faits et à bien d’autres du même type, les cinq hauts responsables interrogés ont présenté leurs excuses pour ce qui semblait être un manque de professionnalisme inexcusable, et affirmé que le personnel, les pratiques et la « culture » de la banque avaient totalement changé depuis. Même les 20 000 comptes bancaires encore ouverts aux Iles Caïmans vont être fermés dès que ce sera possible, ont-ils annoncé.

Le sénateur Levin a également soulevé après l’audition d’hier la question de savoir si les autorités américaines ne devaient pas abroger la licence bancaire accordé à HSBC pour détenir une filiale reconnue comme banque commerciale aux Etats-Unis, étant donné qu’elle avait fait le même type de promesses après qu’une affaire similaire fut révélée en 2003.

Le sous-secrétaire au Trésor pour le terrorisme et le renseignement financier de Barack Obama, David Cohen, a au contraire estimé que cette mesure serait excessive, si l’on considérait le fait que, de toute façon, le blanchiment d’argent sale ne serait jamais entièrement éradiqué.

Le rapport du Sous-comité fait également remarquer que l’autorité responsable de contrôler les banques au sein du département du Trésor de Tim Geithner, l’OCC, n’avait pris aucune mesure disciplinaire contre HSBC sur cette période de six ans (2003-2009) où elle était mise sous observation, et ce même si des inspecteurs avaient identifié 83 cas requérant une attention particulière, plus que toute autre banque opérant aux Etats-Unis. Une situation qui met l’administration Obama dans une situation pour le moins embarrassante.


HSBC et blanchiment des fonds de la drogue :
LaRouche avait raison !

"Came S.A., la Guerre de l’opium britannique contre les Etats-Unis" (1978)

Lyndon LaRouche et ses associés avaient lancé en 1978 une campagne à travers les Etats-Unis pour empêcher la Hongkong and Shanghai Bank (aujourd’hui connue comme HongShang ou HSBC) de s’approprier la Marine Midland Bank de Buffalo, NY. HSBC était alors et reste encore aujourd’hui le vaisseau amiral d’un empire (britannique en l’occurrence) tirant une grande partie de sa puissance du trafic international de la drogue.

Dans le cadre de cette campagne, EIR publia à l’époque le livre Dope, Inc., qui exposait le rôle historique de l’Empire britannique dans le trafic d’opium et la manière dont de grandes sections de son appareil bancaire furent créées spécialement pour blanchir les fonds provenant de ce trafic.

Nous présentons ici quelques points saillants de ce combat pour défendre les états souverains contre cet empire de la drogue et sa « banque centrale », HSBC.

1978 : publication de Dope, Inc., la guerre de l’opium de l’Empire britannique contre les Etats-Unis, documentant en détail comment l’Empire dirige le trafic international de la drogue à travers une combinaison d’ordres maçonniques, d’entreprises commerciales et de banques pour former ce conglomérat appelé Dope, Inc. L’histoire de la colonie britannique de Hong Kong, ainsi que de sa banque dominante, HSBC, « fondée en 1864 pour financer le trafic de drogue », fut exposée avec une attention toute particulière.

1979 : La revue EIR fit courageusement campagne contre les tentatives de rachat, par la HSBC, de la Marine Midland Bank, décrivant cette action comme faisant partie d’une stratégie à moyen terme de « prise de contrôle par la City de l’ensemble du système monétaire international ».

1985 : EIR rapportait que le trafic mondial de la drogue avait doublé en dollars depuis 1978, et s’apprêtait à publier la deuxième édition de Dope, Inc., contenant de nouvelles révélations sur les connections de la firme Kissinger Associates avec les institutions associées au blanchiment de l’argent sale.

1986 et 1992 : éditions mises à jour sur la résurgence du trafic de drogue international comme problème majeur pour nos sociétés et comme élément central du système bancaire mondial.

1999 : publication d’un article sur le séjour en Colombie de Richard Grasso, PDG de la Bourse de New York, et sa visite au dirigeant de l’organisation narco-terroriste FARC Raul Reyes. Grasso avait déclaré que Raul Reyes était « un homme avec qui on pouvait faire des affaires », démontrant que Wall Street était devenue largement dépendante de l’argent de la drogue.

2009 : publication d’un rapport sur George Soros, identifiant ce méga-spéculateur comme principal agent de l’Empire britannique dans sa campagne mondiale pour la légalisation de la drogue. EIR soulignait qu’au-delà des questions d’argent sale, l’Empire britannique cherchait également à utiliser les stupéfiants comme instrument de « menticide » contre les populations, afin de les abêtir, comme il l’avait fait au XIXe siècle avec la population chinoise lors des deux guerres de l’opium.

2012 : Au moment des nouvelles révélations sur le rôle de HSBC dans le blanchiment de l’argent de la drogue, EIR écrivait : « Mis au courant du cas HSBC, LaRouche posa cette question cruciale : Combien d’argent sale a été utilisé pour le financement de la campagne présidentielle d’Obama en 2008 ? LaRouche mentionna le rôle central de l’agent britannique et ardent défenseur de la légalisation de la drogue George Soros, dans la promotion et le financement de la campagne présidentielle d’Obama, notant que la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique était inondée, de l’Arizona jusqu’au Texas, d’argent de la drogue entrant aux Etats-Unis dans la période en question. »

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  • Naullay • 18/07/2012 - 22:34

    Barclays, HSBC...on dirait que les banques de la City sont exposées pour leurs crimes financiers. On peut rajouter la Banque du Vatican aussi pour "blanchiment".
    La suite logique serait que les banques de Wall Street soient aussi impliquées dans le blanchiment, d’autant que le scandale Fast and Furious implique l’administration Obama.
    Mais c’est en définitive l’ensemble du système financier avec ses "paradis fiscaux" et ses transactions informatiques sans frontières qui est intrinsèquement criminel.
    La question qui se pose est alors : sommes nous à l’époque des "Révélations" de ce qui était "caché" (bien que secret de polichinelle) par une soudaine prise de conscience morale ? j’en doute parce que les administrations et les politiciens n’ont pas changé. Comme l’a dit Einstein :
    "Vous ne pouvez résoudre un problème avec le même type de pensée qui a créé le problème.”

    Mais compte tenu des objectifs de Nouvel Ordre Mondial, l’objectif pourrait être l’effondrement global afin de créer le "choc planétaire" qui permettra, sous prétexte de "moraliser le capitalisme" de mettre en œuvre la "monnaie mondiale" et la "gouvernance mondiale" qui assurera la victoire définitive des Elites, en particulier banksters.

    • plusieurs • 21/07/2012 - 12:47

      « Mais compte tenu des objectifs de Nouvel Ordre Mondial, l’objectif pourrait être l’effondrement global afin de créer le "choc planétaire" qui permettra, sous prétexte de "moraliser le capitalisme" de mettre en œuvre la "monnaie mondiale" et la "gouvernance mondiale" qui assurera la victoire définitive des Elites, en particulier banksters. »

      Ca ne peut pas marcher non plus car, comme tu l’ as cité :
      - "Vous ne pouvez résoudre un problème avec le même type de pensée qui a créé le problème.”

      Autrement dit, et selon ta propre logique : GAME OVER.

    Répondre à ce message

  • petite souris • 21/07/2012 - 15:42

    un ancien dirigeant d’HSBC reconnaît que la banque est impliqué dans 60 % du blanchiment de l’argent sale en provenance du Mexique vers les Etats-Unis, alors que 80 % des stupéfiants arrivant dans ce pays passe par le Mexique.

    Nozélites médiaticopolitiques ont osé se moquer du seul candidat qui dit la vérité parcequ’il regarde les faits, les analyse, les explique, et trouve de ce fait des solutions ....

    Puisse ce rapport aujourd’hui connu contribuer à "blanchir" l’honneur bafoué de Jacques Cheminade mais surtout puisse pousser ces mêmezélites à changer leur politique et agir pour le bien commun !!!

    La réalité et la vérité finissent toujours par triompher

    Répondre à ce message

  • michel49 • 19/07/2012 - 09:29

    Et en France Tracfin est utilisé par les banques pour dissuader les deposants de retrer leur argent !

    Répondre à ce message

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Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
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Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

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La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

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Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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