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L’étonnant (?) mariage de la finance folle et du fascisme vert

9 mai 2011 (Nouvelle Solidarité) — Partisan fanatique d’une éco-dictature mondiale, le Professeur Hans Joachim Schellnhuber est un des principaux conseillers scientifiques d’Angela Merkel en tant que président du Conseil Scientifique fédéral allemand sur les changements environnementaux globaux (WBGU). A ce titre, rien de plus normal que l’homme fréquente le Prince Charles d’Angleterre, adepte du culte de Gaïa et un des grands protagonistes à l’origine de l’imposture du changement climatique anthropogénique.

Par contre, sa présence au sein du Conseil consultatif sur le changement climatique (CCAB) de la plus grande banque allemande Deutsche Bank parait plus surprenant. D’emblée, l’organigramme du CCAB se lit comme un club d’anciens de l’industrie pétrolière, sans doute « repentis » de leurs crimes de pollueurs en se recyclant dans le green business , les marchés du carbone et une spéculation verte qu’ils espèrent durable.

Au CCAB on trouve avant tout l’indien Rajendra Pachauri, un ancien administrateur de l’Indian Oil Corporation, qui préside depuis 2002 le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) créé par l’ONU pour qui le changement du climat est « sans équivoque ». Pour les acteurs de la bulle verte, les rapports du GIEC sont l’équivalent des notes AAA attribuées par les agences de notation. Pachauri a dû reconnaître plusieurs « coquilles » dans les rapports du GIEC, notamment le fait que les glaciers de l’Himalaya n’allaient pas tous fondre d’ici 2035.

Il a suscité aussi l’étonnement avec son roman érotique Retour à Almora , édité par Mukesh Ambani, le riche patron de Reliance Industries, une société gazière et pétrolière. Précisons que c’est la filière indienne de British Petroleum qui a subventionné la soirée de lancement du livre.

Pire encore, TERI, une entreprise-institut dirigée par Pachauri est spécialisée dans le développement durable. A ce titre, elle conseille le gouvernement indien et délivre des prix d’excellence, notamment aux copains de… Reliance Industries, présidée par l’éditeur de Pachauri.

Pachauri est rémunéré pour ses conseils par de nombreuses entreprises, notamment Pegasus Capital, Toyota, Crédit Suisse, Véolia et même EDF. Il préside également (gratuitement) le conseil de surveillance du Chicago Climate Exchange (CCX), le premier système d’échange de quotas d’émissions de gaz à effet de serre au monde.

Interrogé sur ses liens avec Deutsche Bank, Pachauri a reconnu avoir reçu 100 000 euros de Deutsche Bank, un coup de pouce versé à TERI. Le conflit d’intérêt est si manifeste que même l’ONU a envisagé de le virer, mais l’homme s’accroche comme une moule à son rocher.

Ensuite, notons la présence de Lord Ronald Oxburgh, ancien patron de Shell, membre de la Royal Society et conseiller du fonds vert, Climate Change Capital. Lorsqu’il apparut que les équipes de l’Université d’East Anglia avaient falsifié les données scientifiques pour « prouver » le bienfondé de leur théorie, c’est lui qui fut chargé de plaider leur bonne foi.

Ajoutons à cela, Lord John Browne, pendant 41 ans le patron de la British Petroleum et ancien dirigeant de Goldman Sachs. Drôle d’écologiste lorsqu’on constate que le Premier ministre britannique David Cameron, qui vient d’imposer des coupes sans précédent dans la fonction publique, vient d’adopter une des mesures phares préconisées par Browne : celle d’éliminer le plafond limitant les frais d’inscription des universités outre-Manche. Si à l’heure actuelle des milliers d’étudiants anglais ne peuvent plus se payer d’études supérieures, remercions « l’écologiste » Lord Browne.

Mais qui invita toute ce quarteron d’oligarques britanniques à devenir des conseillers de Deutsche Bank en faisant de cette banque une arme de l’Empire britannique pointée contre le cœur industriel de l’Europe ?

Pour le comprendre, il faut remonter à 1990. A cette époque, Deutsche Bank, héritière du modèle bancaire allemand associant banque et industrie, opère un revirement historique. En novembre 1989, peu avant l’assassinat du PDG Alfred Herrhausen, Deutsche Bank achète pour 1,5 milliards de dollars la banque d’affaires britannique Morgan, Grenfell & Cie et transfère son siège à Londres. L’avenir de l’Allemagne n’est plus l’industrie mais la finance ! Après quelques années, accusée de délits financiers, la banque doit faire ses valises et rentre à Francfort.

Si son PDG s’appelle Josef Ackerman, c’est surtout son vice-président Caio Koch-Weser qu’on retrouve au centre de l’opération verte. C’est lui qui met sur pied en 2007 un Environmental Steering Committee (ESC), opérant en synergie avec le CCAB dont Schellnhuber est membre. Koch-Weser apparait dans le conseil de la puissante Fondation Bertelsmann et dans la section berlinoise du Conseil européen des affaires étrangères (ECFR) de George Soros. Il y côtoie Daniel Cohn-Bendit et le patron des Verts allemands Cem Ozdimir. Cumulant les mandats, Koch-Weser préside le comité exécutif de la Fondation européenne du climat (FEC), organisme financé par l’UE et une palette de fonds spéculatifs basés à Londres. La FEC attribue à son tour des subventions à une vaste myriade d’activistes anti-carbone et anti-nucléaire de terrain, y compris le WWF. Pour que l’argent reste dans la famille, la femme de Koch-Weser, Maritta, siège dans le conseil consultatif de Campact.de, un des groupes écolos les plus virulents qui menaçaient en 2010 l’Allemagne d’un « automne chaud ».

Le siège de Deutsche Bank est couvert de panneaux solaires et son bilan carbone est proche de zéro. Avec Siemens, et le Club de Rome, la banque a mis sur pied la Fondation Desertec visant à couvrir des pans entier du Sahara avec des panneaux solaires dont l’énergie ira, via des smart grids, en Europe. Coût de l’opération ? 400 milliards d’euros. C’est Deutsche Bank qui prête l’argent, c’est nous qui rembourserons !


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  • duchene • 10/05/2011 - 14:02

    Détails pour le très cher ACoeurMan...

    Josef Meinrad Ackermann, né le 7 février 1948 à Mels, dans le Canton de Saint-Gall, est un homme d´affaire et patron d´entreprise suisse.

    Il est chairman et Chief Executive Officer (PDG) de la Deutsche Bank, membre du comité de direction du groupe Bilderberg 1,2. Il est aussi vice-président de la Foundation Board du World Economic Forum.

    Ses revenus 2009 pour son poste de pdg de Deusche Bank s’élèvent à 7,98 millions d’euros.

     ? FT.com / World - Power players gather to run the world [archive]
     ? http://fpiarticle.blogspot.com/2005/05/power-players-gather-to-run-world.html [archive]
     ? http://people.forbes.com/profile/josef-ackermann/26069 [archive]

    En Juillet 1996, il quitte après des désaccords avec le Conseil, le Credit Suisse et déménage un peu plus tard en tant que membre du conseil de la Deutsche Bank. Dès 1998, il a été responsable de la "Global entreprises et institutions". Cela comprenait principalement la banque d’investissement. Pour succès Ackermann a été dans l’intégration des sociétés acquises en 1999 banque d’investissement américaine Bankers Trust.

    Répondre à ce message

  • petite souris • 10/05/2011 - 13:52

    Le culte de Gaïa !
    Nouvelle religion ?
    Cela prouve au moins une chose c’est que Charles d’Angleterre ne sera jamais roi puisqu’il devrait ainsi être le chef de l’église anglicane............

    Plus sérieusement : comment adorer la Terre et la laisser vierge pour toute utilisation humaine disproportionnée et en même temps accepter "Désertec" qui couvrirait un grand nombre d’hectares du Sahara (nature vierge par excellence !) de panneaux solaires non biodégradables !

    Répondre à ce message

  • Serge Mbella • 09/05/2011 - 19:39

    Ce texte est un vrai descriptif du réseau financier et vert. Tout se tient et il n’y a pas de hasard. Les empires ont toujours joué avec l’ignorence des peuples pour accroitre leur pouvoir, contrôler les hommes et brimer les peuples par des mesures d’austérité complètement assassines.

    Les environnementalistes sont les pharisiens de la science. Ils honorent le dieu Terre et s’atardent sur les perceptions sensorielles pour tromper les peuples sous la propagande de la responsabilité de l’homme.

    L’équation est donc claire. L’environnementalisme est l’idéologie soutenue par l’empire financier pour détruire, empêcher le progrès et accroitre son influence et sa force.

    Répondre à ce message

  • pegasous • 09/05/2011 - 12:16

    BJR.. mais n est ce pas "normal" que les familles tres RICHES devenus "conseilleres " des operateurs banquiers investissent.. Soit l Argent des petites gens ( sans leur avis bien sur !) et font rembourser ces dites petites gens .. longtemps tres cher le capital familiale JAMAIS investit !
    allons soyons sinceres.. vous savez bien que l on en prete qu’aux RICHES parce que ce sont les petites gens qui remboursent !
    comme a l accoutumee .. Rien de nouveau sous le soleil !

    Répondre à ce message

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
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Refonder l’Europe

L’Europe n’est pas l’Union européenne (UE) ! L’UE est devenue la caricature destructrice de ce que devrait être une Europe progressant dans l’intérêt mutuel des peuples et des nations qui la composent. C’est pourquoi il faut la dissoudre.

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« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
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- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

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Jacques Cheminade
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