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Jacques Attali appelle à « une révolution politique »… contre Goldman Sachs !

14 août 2009 (Nouvelle Solidarité) – Paris et New York semblent s’énerver de plus en plus contre Wall Street et Washington, surtout quand elles deviennent des annexes de la City de Londres.

Cependant, les profits records de la banque new-yorkaise Goldman Sachs au premier trimestre, en plein cataclysme financier pour les autres et l’économie réelle, ont fini par attirer les regards indiscrets des uns et les foudres des autres.

C’est l’article The Great American Bubble (la grande bulle américaine) du journaliste d’investigation américain Matt Taibbi, publié le 2 juillet dans le magazine Rolling Stone qui a ouvert la salve (en français ICI), suivi d’un exposé fracassant du New York Times, démontrant, preuves à l’appui, que Henry Paulson, le secrétaire au trésor sous Bush qui dirigea Goldman Sachs entre 1999 et 2006 aurait, au plus fort de la tempête financière actuelle, passé beaucoup plus de temps au téléphone avec le PDG de la firme (24 communications téléphoniques du16 au 21 septembre) qu’avec les dirigeants des autres banques sauvées avec l’argent du contribuable.

Robert Rubin, coprésident du conseil d’administration de Goldman Sachs de 1990 à 1992 et Secrétaire au Trésor des Etats-Unis de l’administration Clinton entre 1995 à 1999, avec son acolyte Larry Summers, qui fut le grand artisan de la dérégulation financière.

D’après le quotidien Les Echos, c’est Robert Rubin « à qui l’on doit la suppression de la célèbre Glass-Steagall Act que Roosevelt avait fait voter en 1933 pour éviter la répétition de la grande crise de 1929 et qui séparait les banques de dépôt des banques d’investissement. En transformant des crédits immobiliers en actifs liquides susceptibles d’être revendus, cette mesure fut l’un des facteurs déclenchant de la crise actuelle. »

Pourtant, en votant contre Bush, le peuple américain avait l’illusion de se débarrasser de l’emprise de Goldman Sachs. En effet, le chef de cabinet de George W. Bush était Joshua Bolten, un ancien de Goldman, tout comme Mark Patterson, son directeur du Trésor et également ancien lobbyiste de la firme sans oublier Hank Paulson, secrétaire au Trésor depuis 2006 et ancien haut dirigeant de la firme !

Hélas, avec Obama, Henry Paulson, grand ordonnateur des plans de renflouements, fut remplacé par un autre associé de Goldman, Timothy Geither, et Obama nomma comme conseiller économique principal Larry Summers, un produit de la même écurie.

Pourtant, à ce jour, tout le monde est obligé de reconnaître que Goldman Sachs est une véritable usine à bulles et à krachs. Ce qu’on reconnaît moins, c’est que c’est précisément grâce à cela que la banque augmente ses profits.

Par exemple, le refus de Paulson de sauver la banque Lehman Brothers – décision qui provoqua une déstabilisation en chaîne du secteur financier — permet à la firme de couler son principal concurrent. De la même façon, le feu vert donné par Paulson pour renflouer de 85 milliards de dollars l’assureur AIG était motivé par la dette de 13 milliards de ce dernier envers Goldman, dette effectivement payée par l’argent du contribuable. Enfin le plan TARP de 700 milliards profita largement à Goldman Sachs, reconverti pour l’occasion en holding bancaire ce qui lui donna accès à 10 milliards de dollars des fonds publics et à des prêts à taux réduits de la Réserve fédérale. En clair, grâce à la crise, la banque s’est refait une santé sur le dos du contribuable américain.

Le 3 août, suite à ce début de lavage du linge sale en public, Jacques Attali, le 3 août, dans un article intitulé Le triomphe des coupables publié sur son site, en appelle à une « révolution politique ». Toute une révolution !

Il écrit : « En particulier, une seule banque tient tout : Goldman Sachs. Elle est l’objet aujourd’hui d’innombrables analyses critiques, dont la plus acérée est venue récemment du magazine Rolling Stone. Après avoir éliminé ses principaux concurrents, (dont Lehman), après avoir profité de ces faillites et reçu de l’Etat d’énormes prêts sans intérêt, cette institution plus que centenaire fait aujourd’hui fortune grâce à des décisions prises par Geithner, Summers et les autres, dont chacun sait qu’ils rejoindront un jour la firme , après avoir quitté leurs fonctions, comme le firent avant eux les ministres des précédents présidents, Rubin, Paulson, et autres… »

« Au total, les entreprises industrielles, qui créent les vraies richesses, financent les erreurs et les bonus des banquiers, avec la bénédiction des hommes politiques. Et en bout de chaine, les salariés en sont les ultimes victimes : les banques américaines enfoncent dans la dépression ceux qu’elles ont déjà largement ruinés.

Ces lobbys sont si puissants qu’on n’en sortira que par une révolution politique. Elle devrait conduire, au moins, à interdire aux responsables publics du secteur financier de travailler ensuite dans les établissements qu’ils contrôlent. Et au plus, à nationaliser ce secteur. Une révolution, vous dis-je. »

Ce qui nous étonne, c’est que ce révolutionnaire n’a toujours pas apporté sa signature à notre appel pour une nouvelle commission Pecora

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  • Ben • 21/08/2009 - 16:24

    Jacques Attali ne m’inspire aucune confiance. J’ai des sérieux doutes sur ses intentions réelles quand il apprelle à une gouvernance mondiale, qui, dans cet état, conduirait à une mainmise planétaire des voyous de la city et de wall street sur la planète.

    Jacques Attali est entrain de servir cet objectif en toute connaissance de cause et non pas par aveuglement ou stupidité.

    Sa stragéie est habituelle chez ses semblables : infiltrer pour détourner et marginaliser

    Répondre à ce message

  • Pic et Puce • 15/08/2009 - 09:12

    Jacques Attali, c’est le moment du nous dire qui sont vraiment les maîtres du monde...Cela me rappelle une intervention récente de Mme Mitterand lors d’un dimanche chez Michel Drucker à la TV. Elle disait que son mari une fois arrivé au sommet du pouvoir s’était rendu compte qu’il ne pouvait faire ce qu’il voulait car il y avait des maîtres bien au dessus de lui....
    Alors Jacques Attali, c’est vraiment le moment de nous dévoiler enfin qui sont ces gens-là et comment ils sont organisés....et pourquoi ils se conduisent de cette manière...parce que Goldman Sachs tout comme la Redoute ou Caterpillar cela ne veut rien dire si l’on ne sait pas qui tire les ficelles...On veut des noms...pour qui roule Paulson ?

    • Jean-Claude TABARIES • 21/08/2009 - 00:57

      Bien vu. J’ai assisté à cette émission et j’ai même remarqué que Mme Mitterrand
      avait levé sa main pour désigner
      "les cinq " qui dirigent le monde.
      F.Mitterrand avait d’ailleurs dit auparavant "La politique de le France ne se fait ni à Washington ni à Tel’Aviv.
      Quoique l’on puisse penser de lui
      il savait ce qu’il voulait , mais voilà..
      "la Bête" est toujours là.

    Répondre à ce message

  • Gashour • 21/08/2009 - 00:39

    "Par exemple, le refus de Paulson de sauver la banque Lehman Brothers – décision qui provoqua une déstabilisation en chaîne du secteur financier — permet à la firme de couler son principal concurrent."

    Tu m’étonnes. Ce fut un des aspects les plus évidents de la politique de Paulson. Coulage de concurrents, acquisition d’autres banques, et surtout une crise qui a permis aux "survivants", via la Fed, de se faire des quantités astronomiques d’argent, alors que sauver/renflouer Lehman aurait été l’équivalent d’un coup d’épée dans l’eau, un pet de lapin, une occasion manquée.

    Maintenant, Jacques Attali qui appelle à une révolution... mais de qui se moque-t-on ?
    Opération au nième degré, j’arrive !
    C’est de la bonne conscience de façade pour les médias et les couillons, de la curiosité et du sadisme, pour connaître la témpérature de l’eau et amuser ses amis, en démontrant qu’importe le nombre d’articles appelant à la paix et la justice, des J’accuse ! anecdotiques et qui devraient pourtant choquer les populations, des sortes d’ovnis dénociateurs insérés dans des médias hyper-controlés anglo-saxons, ils servent en fait de sondage officieux pour ceux d’en haut afin de vérifier le mécontentement du peuple et sa propension à se soulever, c’est à dire niveau zéro aujourd’hui.
    Les positions d’Attali sont celles d’un homme qui soutient la grande machine vorace capitaliste et inhumaine.

    Répondre à ce message

  • Bertrand • 17/08/2009 - 20:34

    Ce qui est comique, c’est que Jacques Attali est lui-même connu pour ses liens étroits avec la banque Rothschild, véritable pilier de "l’empire britannique". Aussi, laissez moi douter de la sincérité de cet homme. Les tartuffes ne reculent devant rien. Ne vous laissez pas enfumer, écoutez Jacques CHEMINADE et Etienne Chouard lorsqu’ils disent que seul l’état devrait avoir le pouvoir de créer la monnaie. Ça, Jacques Attali ne le dénonce pas. Ne laissons plus les faux-monnayeurs nous diriger.

    Répondre à ce message

  • petite souris • 14/08/2009 - 23:03

    Attali, toujours dans le sens du vent !

    • bernard01 • 15/08/2009 - 09:18

      la signature pour une commission PECORA,j’ai posté plusieurs fois sur le site de dlr et de son president nicolas DUPONT-AIGNAN,pour la lire et la signée,ceci depuis plusieurs mois.aucun commentaire sur le site,a croire que tous les politiques se servent dans l’assiette au beurre.simple quidam j’ai signé.

    • grandghana • 15/08/2009 - 12:02

      Nicolas Dupont-Aignan est un "Young Leader" donc coopté par la CIA & Co.
      N’attendez donc rien de bien concret de ce côté malgré un discours séduisant. Sa seule fonction : entretenir l’illusion du jeu démocratique.

    • nico • 16/08/2009 - 10:37

      Pas sur que NDA soit vraiment un mec coopté par la CIA faut pas exagerer, c’est pas parce qu’il a été une fois a un meeting avec des américains, qu’il travaille pour une autre nation !

      Par contre je pense que comme tout homme politique il est très égocentrique, donc il aura du mal a adhérer a qqc dont il n’est pas le créateur unique. L’appel pour une nouvelle commission Pecora, ne venant pas directement de lui, il ne le mettra pas en avant.

      C’est a nous les citoyens de forcer les politiques à s’unir pour le bien commun.

    • Illusions et pour-voir • 16/08/2009 - 11:18

      Bonjour,

      Et a ce grand jeu il y a beaucoup de participants..
      Rien que Panem et circenses, toujours la grande main mise avec plein de nouveaux jeux aussi dont le dernier enFrance ’Si vous citoyens de France jouez beaucoup les Africains auront plus de pain’ et j’en passe d’autres que la censure elle ne passera pas....

    • Mangouste • 17/08/2009 - 14:07

      @Bernard 01
      J’ai signé la commission PECORA

      Cordialement

    Répondre à ce message

  • Pic et Puce • 15/08/2009 - 09:15

    Il faut dire que Pierre Beregovoy qui brandit une liste de noms du perchoir de l’assemblée nationale n’eut pas le temps de nous les dire...Il fut suicidé peu de temps après...Alors Jacques Attali...prends des responsabilités...

    Répondre à ce message

  • ptiriso • 14/08/2009 - 23:12

    Il ne doit pas y avoir de hasard, car tout de même, s’appeler Goldman (homme en Or) et Sachs (les sacs pour mettre l’Or ou les pièces), il fallait le faire par les fondateurs de cette « pompe à fric » au 19è siècle !

    Répondre à ce message

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Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

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a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

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