Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

31 mars - Sainte-Soline : empoisonner la contestation sociale par la violence ? Lire 29 mars - Contre l’écologisme — Pour une croissance au service de l’environnement Lire 28 mars - Cheminade : l’avenir du monde se construit avec la Chine Lire
AccueilActualités
Brèves

HSBC, les opérations terroristes du Prince Bandar au Moyen Orient et Obama

L’ombre du 11 septembre a ressurgi avec l’affaire HSBC aux États-Unis. En effet, c’est HSBC, dont les auditions récentes de la sous-commission d’enquêtes du Sénat américain nous ont appris qu’elle est l’une de principales lessiveuses d’argent sale des cartels de la drogue et du terrorisme à l’échelle mondiale, qui a hérité des comptes en banque des personnalités saoudiennes lorsque fut fermée la banque Riggs de Washington, après les attentats du 11 septembre.

Connue comme la banque des présidents américains, mais aussi plus prosaïquement, comme celle des opérations et des coups fourrés du gouvernement américain à travers le monde, c’est par la Riggs qu’aurait transité l’argent vers la galaxie du Prince Bandar Bin Sultan, l’ambassadeur d’Arabie Saoudite aux États-Unis à cette époque, soupçonné d’avoir participé au montage des attentats du 11 septembre. Ces informations explosives sont consignées dans un chapitre de 28 pages du rapport rédigé par la Commission d’enquête du Congrès sur les événements du 11 septembre. Ce chapitre est la seule partie du rapport que les autorités américaines refusent jusqu’à ce jour de rendre publique.

Le rôle du Prince Bandar dans les attentas du 11 septembre y est très précisément identifié. Une partie des 2 milliards de dollars qu’il avait reçus de la firme britannique BAE Systems pour son aide dans l’entente armes-contre-pétrole entre l’Arabie Saoudite et la Grande-Bretagne, connue sous le nom d’Al Yamamah (par laquelle fut établi un vaste fonds secret pour le financement d’opérations terroristes à l’échelle internationale), fut versée à deux agents du renseignement saoudien opérant aux États-Unis.

Omar al-Bayoumi et Osama Basnan, les deux agents en question, ont reversé entre 50 000 et 70 000 dollars à deux des « pilotes » du 11 septembre, Nawaf Alhamzi et Khalid Almihdar. De plus, ils ont fourni à ces deux « pilotes » le gîte, les moyens de transports et l’accès aux écoles de pilotage pour leur entraînement. Juste avant les attaques, les deux agents saoudiens quittèrent les États-Unis.

Le rapport d’enquête sur HSBC rendu public par la sous-commission du Sénat dans le cadre des auditions récentes, révèle aussi les connections de cette banque à l’Al Rahji Bank en Arabie Saoudite, l’un des principaux conduits pour le financement d’Al Qaïda, avant et après les attentats du 11 septembre 2001.

Indirectement, cette affaire révèle également les complicités de Barack Obama avec toute cette affaire. En février 2009, quelques semaines après avoir pris ses nouvelles fonctions présidentielles, Barack Obama, lors d’une rencontre avec les familles des victimes des attentats du 11 septembre 2001, leur avait promit de rendre public le fameux chapitre de 28 pages du rapport de la Commission d’enquête sur le 11 septembre.

De fait, le Président Obama a menti aux familles des victimes. Il n’a toujours pas, jusqu’à ce jour, donné son accord pour que ces informations concernant le rôle du Prince Bandar et de l’Arabie Saoudite soient rendues publiques. Bien au contraire : en mai 2009, Obama a ordonné au procureur général Elena Kagan, plus tard nommée par lui à la Cour Suprême, d’intervenir par écrit auprès des tribunaux pour empêcher les familles des victimes du 11 septembre de poursuivre des responsables ou des membres de la famille royale d’Arabie Saoudite, sous le prétexte qu’ils bénéficiaient tous de l’immunité diplomatique.

En raison de la perfidie de Barack Obama, plusieurs des principaux criminels responsables des attentats du 11 septembre 2001 sont encore en liberté aujourd’hui. Pire encore, le Prince Bandar, fut nommé la semaine dernière comme nouveau directeur des services de renseignement d’Arabie Saoudite, un poste qui lui permettra de diriger les opérations de terrorisme salafiste partout dans le monde.

L’économiste et homme d’État américain Lyndon LaRouche a demandé le 22 juillet que les États-Unis coupent toutes leurs relations avec l’Arabie Saoudite, jusqu’à ce que le Prince Bandar soit renvoyé de son poste dans le gouvernement du Royaume. LaRouche a ajouté que le fait de laisser opérer en toute immunité les responsables de la guerre contre les États-Unis constituait un acte de perfidie à l’égard des familles des victimes du 11 septembre. Ces mêmes responsables, incluant le Prince Bandar, sont aujourd’hui engagés dans une guerre en Asie du Sud-Ouest, une guerre qui pourrait se propager à l’échelle de la planète et même conduire à l’usage d’armes thermonucléaires, a prévenu LaRouche.

La collusion du Président Obama avec le Prince Bandar constitue pour les États-Unis une plaie profonde qu’il faut guérir.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

  • petite souris • 25/07/2012 - 00:09

    Beau panier de crabes !!!!!!!!!!!

    Un prince très riche
    Un Président prix Nobel de la Paix
    Deux terroristes
    Une banque anglaise basée à Shangaï et à Hong Kong qui blanchit l’argent

    des victimes ? où cela ? kézako ?

    Répondre à ce message

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation
Obama doit enfin lever le voile sur les attentats du 11 septembre
25 juillet 2011
Brèves
Obama doit enfin lever le voile sur les attentats du 11 septembre
911
3 mai 2011
Brèves
Mort de ben Laden : Les véritables commanditaires du 11 septembre courent toujours

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard