8 janvier 2009 (Nouvelle Solidarité) – Ce que la presse occidentale appelle le conflit gazier entre la Russie et l’Ukraine, ne peut être compris que du point de vue d’une nouvelle tentative de déstabilisation de la Russie et de l’Europe par les milieux financiers de Londres et Wall Street. L’Ukraine est responsable du non-approvisionnement d’une dizaine de pays européens. Une nouvelle fois, le spéculateur de haut vol, George Soros, homme à tout faire des nazis dans sa jeunesse et de l’empire britannique aujourd’hui, est à la manœuvre.
Tout a commencé en octobre avec un renouvellement de contrat entre les Premiers ministres russe et ukrainien, Vladimir Poutine et Ioulia Timochenko. Les deux parties s’étaient alors accordées sur des prix en dessous de ceux du marché, une non-augmentation des taxes payées à l’Ukraine pour l’acheminement du gaz vers l’Europe de l’ouest et un paiement complet de la facture de gaz ukrainienne de 2008.
Mais les principaux secteurs exportateurs de l’Ukraine (acier et produits chimiques) se sont effondrés et sa monnaie s’est écroulée. Pour éviter la cessation de paiements, le FMI lui a alors « gentiment » prêté 16,5 milliards de dollars, qui, d’après le journal britannique The Economist, devaient avant tout servir à rembourser les dettes des banques ukrainiennes vis-à-vis de leurs créanciers internationaux. D’après une source ukrainienne, suivant une clause de l’accord, le gouvernement aurait alors accepté d’engager le groupe Blackstone comme consultant, groupe qui appartient à George Soros…
Le Premier ministre Timochenko a récemment admis avoir rencontré secrètement Soros en décembre.
Le 31 décembre, Gazprom s’est plaint du non paiement des arriérés de Naftohaz, son équivalent ukrainien. Les Russes offrirent un prix sous le marché en proposant 450 dollars pour 1000 mètres cubes de gaz en 2009. Naftohaz demandait un rehaussement des taxes de transit vers le reste de l’Europe. Et puis, en cette veille du jour de l’an, Kiev a interrompu les discussions. Gazprom a alors coupé l’approvisionnement de l’Ukraine, tout en continuant à envoyer le gaz pour le reste de l’Europe. Quelques jours plus tard, Gazprom accusait l’Ukraine d’avoir dévié 65,3 millions de mètres cubes de gaz et réduisait sa fourniture de gaz dans les mêmes proportions, c’est-à-dire de 15 %. Il y a deux nuits, l’Ukraine à répliqué en coupant l’approvisionnement européen.
La Bulgarie, la Bosnie, la Croatie, la Macédoine, la Serbie, la Hongrie et la Grèce ne reçoivent plus de gaz en provenance d’Ukraine. L’approvisionnement tchèque a chuté de 75%, le polonais de 85%, l’autrichien de 90% et le français de 70%.
La Slovaquie, très dépendante du gaz et ne recevant plus que 30% de ses besoins, pense à se déclarer en situation d’urgence. Ria Novosti rapporte que la Bulgarie se prépare à rouvrir une centrale nucléaire fermée lorsque le pays a rejoint l’Union européenne, il y a trois ans.
Lors d’une conférence de presse avant-hier à Moscou, le PDG de Gazprom, Alexei Miller, a expliqué que son entreprise avait accéléré l’approvisionnement des pipelines passant par la mer Noire et la Turquie, ainsi que par la Biélorussie et la Pologne. Il s’est également engagé à acheter du gaz sur le marché spot et à puiser dans les réserves du géant russe, pour essayer de tenir ses engagements.
Il faut se rappeler que la « révolution orange » de 2004-2005, qui a porté le Président Ioutchenko et le Premier ministre Timochenko au pouvoir, a été largement financée par des ONG « démocratisantes » des milieux financiers anglo-américains, menés par George Soros.
« Si les Européens meurent de froid, vous pouvez remercier George Soros », lançait LaRouche hier, « il en revient juste à ce qu’il faisait pour Hitler en 1944 ».
En savoir plus sur George Soros :
# Pascal Boulerie
• 09/01/2009 - 21:12
> George Soros, homme à tout faire des nazis dans sa jeunesse
>
> [...] ce qu’il faisait pour Hitler en 1944
C’est de la diffamation publique ! En 1944, il avait 14 ans. Son père était juif et a résisté aux nazis ! Il a travaillé 2 jours pour les Nazis et son père lui a immédiatement expliqué qu’il fallait prévenir des proscrits contre le risque de déportation dans les camps !
"Soros later described this time to writer Michael Lewis :
The Jewish Council asked the little kids to hand out the deportation notices. I was told to go to the Jewish Council. And there I was given these small slips of paper...It said report to the rabbi seminary at 9 a.m....And I was given this list of names. I took this piece of paper to my father. He instantly recognized it. This was a list of Hungarian Jewish lawyers. He said, "You deliver the slips of paper and tell the people that if they report they will be deported."
Kaufman, Michael T., Soros : The Life and Times of a Messianic Billionaire, Alfred A. Knopf : 2002
Détails sur Wikipedia
# Bertrand Buisson
• 10/01/2009 - 17:49
George interview with Steve Kroft on CBS’s 60 Minutes on December
20, 1998 :
Kroft : (Voiceover) These are pictures from 1944 of
what happened to George Soros’ friends and neighbors.
(Vintage footage of women and men with bags over their
shoulders walking ; crowd by a train)
Kroft : (Voiceover) You’re a Hungarian Jew. . .
Mr. Soros : (Voiceover) Mm-hmm.
Kroft : (Voiceover) . . .who escaped the Holocaust. . .
(Vintage footage of women walking by train)
Mr. Soros : (Voiceover) Mm-hmm. (Vintage footage of
people getting on train)
Kroft : (Voiceover) . . .by–by posing as a Christian.
Mr. Soros : (Voiceover) Right. (Vintage footage of women
helping each other get on train ; train door closing with
people in boxcar)
Kroft : (Voiceover) And you watched lots of people get
shipped off to the death camps.
Mr. Soros : Right. I was 14 years old. And I would say
that that’s when my character was made.
Kroft : In what way ?
Mr. Soros : That one should think ahead. One should
understand and–and anticipate events and when–when
one is threatened. It was a tremendous threat of evil. I
mean, it was a–a very personal experience of evil.
Kroft : My understanding is that you went out with this
protector of yours who swore that you were his adopted
godson.
Mr. Soros : Yes. Yes.
Kroft : Went out, in fact, and helped in the confiscation
of property from the Jews.
Mr. Soros : Yes. That’s right. Yes.
[..suite...]
# Bertrand Buisson
• 10/01/2009 - 17:51
[...suite...]
Kroft : I mean, that’s–that sounds like an experience
that would send lots of people to the psychiatric couch for
many, many years. Was it difficult ?
Mr. Soros : Not–not at all. Not at all. Maybe as a child
you don’t–you don’t see the connection. But it was–it created
no–no problem at all.
Kroft : No feeling of guilt ?
Mr. Soros : No.
Kroft : For example that, ‘I’m Jewish and
here I am, watching these people go. I could
just as easily be there. I should be there.’
None of that ?
Mr. Soros : Well, of course I c—I could be
on the other side or I could be the one from
whom the thing is being taken away. But
there was no sense that I shouldn’t be there,
because that was—well, actually, in a funny
way, it’s just like in markets—that if I weren’t
there—of course, I wasn’t doing it, but somebody
else would—would—would be taking it
away anyhow. And it was the—whether I was
there or not, I was only a spectator, the property
was being taken away. So the—I had no
role in taking away that property. So I had no
sense of guilt.
[Fin]
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# malik
• 10/01/2009 - 01:27
j’ai une question , pourquoi algerie a augmenter de 30% sa production vers l’europe quelques jour avant ?
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# dra
• 08/01/2009 - 14:19
En fait,Georges Soros n’a pas évolué au cours de es 60 dernières années !!!
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