Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

20 mars - Crédit Suisse : la faillite qui cache celle de tout le système Lire 20 mars - La fusion IRSN-ASN, permettra-t-elle l’accélération du nucléaire ? Lire 17 mars - Comment la France a perdu sa souveraineté et indépendance énergétique Lire
AccueilActualités
Articles variés

Etats-Unis : Qui veut la peau d’Hillary Clinton ?

Basses manœuvres, désinformation, méthodes mafieuses... Pour certains barons du Parti démocrate comme pour les médias, tous les moyens sont bons, mais pas vraiment dignes d’un pays démocratique ni d’un Parti qui se veut démocrate. Bravant l’hostilité, Hillary Clinton s’avère tenace.

par Debra Hanania Freeman

Le 8 mai 2008 (LPAC), Washington — A moins que la sénatrice Hillary Clinton ne poursuive son offensive pour arracher l’investiture démocrate d’ici la Convention nationale en août, rien ne permet d’espérer que les Etats-Unis puissent se tirer de la spirale hyperinflationniste et de la nouvelle « grande dépression » qu’elle amène. La volonté de certains groupes financiers d’en finir avec sa candidature, comme ils le tentèrent de le faire avec Franklin Roosevelt en 1932, porte l’empreinte d’une réelle tentative de mettre en place un régime fort à leur service, à l’instar des régimes fascistes des années trente.

Les méthodes mafieuses utilisées par le patron du Parti démocrate, Howard Dean, et les manœuvres sournoises des mécènes de la campagne d’Obama ont de quoi inquiéter. Pendant que les médias dans le giron du magnat anglais Rubert Murdoch nous chantent que « Hillary, c’est fini », les électeurs ont prouvé, y compris en Floride, qu’elle reste une candidate sérieuse.

Les primaires qui se sont déroulées le 6 mai en Caroline du Nord et dans l’Indiana sont révélatrices. Entre sa victoire éclatante, le 22 avril en Pennsylvanie, et l’ouverture des bureaux de vote le 6 mai, tous les sondages indiquaient qu’Hillary Clinton avait le vent en poupe. La crédibilité de Barack Obama, par contre, en a pris un sacré coup lorsque son pasteur de longue date, le révérend Jeremiah Wright, a répété ses diatribes de « nationaliste noir » contre les Etats-Unis devant le National Press Club, le 29 avril. Obama a fini par désavouer son pasteur, mais les remarques de ce dernier ont jeté un sérieux doute sur l’honnêteté du candidat.

Divers sondages indiquaient que Mme Clinton devançait son adversaire de plusieurs points dans l’Indiana, Etat voisin de l’Illinois, fief d’Obama, et considéré, il y a quelques semaines encore, comme une victoire facile pour lui.

En Caroline du Nord, où Obama jouissait au départ d’une avance de 30%, l’écart s’était réduit à seulement 6 ou 7%. De plus, le jour du scrutin, des irrégularités ont été constatées. Alors qu’un nombre record de nouveaux électeurs (272000) s’y étaient inscrits sur les listes électorales, 80% d’entre eux se sont enregistrés comme démocrates ou indépendants, ce qui leur permit de participer à la primaire démocrate. Notez que la grande majorité se sont inscrits comme « indépendants », ce qui prend toute son importance lorsqu’on sait que 31250 républicains ont changé d’affiliation pour l’occasion, s’inscrivant comme « indépendant » de manière à pouvoir voter Obama pour éliminer Clinton, convaincus que leur champion républicain McCain l’emporterait plus facilement contre celui-ci.

En fin de compte, plus de 300000 nouveaux votants (plus de 20%), sur un total de 1,5 million, dont la vaste majorité n’étaient pas démocrates, ont pesé avec force sur les résultats. Les « indépendants » ont opté à 13 contre 1 pour Barack Obama. Normalement, on ne peut que se réjouir de l’inscription de nouveaux électeurs, mais une telle proportion laisse soupçonner une manipulation.

Pendant toute la soirée électorale, les deux candidats étaient au coude à coude, avec à peine un ou deux points d’écart dans l’Est de l’Etat, Hillary Clinton enregistrant même une nette avance dans l’Ouest. Dans les régions rurales qui composent 47% de l’électorat, elle était en tête ou talonnait le score d’Obama à un point près. Vers la fin, en l’espace de 17 minutes, tous les chiffres ont basculé, sauf dans l’Ouest, sans véritable explication. Barack Obama s’empressa alors de se déclarer vainqueur avec 56% des voix. Les analystes essaient encore de comprendre ce qui s’est passé et certains mettent en doute les résultats officiels.

Dans l’Indiana, tous les électeurs inscrits avaient le droit de participer à la primaire démocrate, qu’ils soient ou non membres de ce parti. Sur les 1,3 million de voix exprimées, 200000 sont venues d’indécis, dont la majorité a finalement choisi Obama. Bien que Mme Clinton ait eu une avance considérable de 7-9% durant toute la soirée, les grandes chaînes de télévision refusaient de reconnaître sa victoire*, affirmant qu’elles ne le feraient pas avant le décompte de toutes les voix dans la région nord-ouest de l’Etat, alors que le détail de ces résultats n’auraient pas changé la donne.

Obama reconnut la victoire d’Hillary Clinton dans l’Indiana bien avant les chaînes de télévision. Elle prononça son discours à 23h30, puis, beaucoup plus tard, les chiffres changèrent et sa victoire se résuma à un seul point d’avance sur son adversaire. Là aussi, les analystes n’en reviennent pas. Le lendemain, lorsqu’on demanda au sénateur de l’Etat, Evan Beyh, comment il pourrait expliquer cela, il répondit qu’il n’en avait pas la moindre idée, ajoutant qu’un recompte des voix donnerait beaucoup plus de voix à Hillary.

Un programme économique qui fait peur

Peu importe, diront certains, les résultats sont conformes aux prévisions : Clinton a remporté l’Indiana et Obama la Caroline du Nord. Mais les médias et certains décideurs du Parti les ont présentés comme une défaite cinglante pour la sénatrice. Les appels pour qu’elle abandonne la course, qui avaient d’ailleurs commencé dès le lendemain du premier scrutin, se sont faits assourdissants. (On pourrait ajouter que les médias européens, à la quasi-unanimité, ont repris ce credo. Autant pour l’honnêteté de l’information !)

En réalité, Wall Street considère le programme économique « protectionniste » d’Hillary comme une menace. Non seulement appelle-t-elle à une suspension temporaire des saisies de logement, mais elle met aussi en cause les nouveaux accords de libre-échange envisagés, comme celui avec la Colombie, ou ceux déjà conclus par les Etats-Unis, en particulier le fameux Accord de libre-échange nord américain (ALENA, ou NAFTA en anglais).

Par ailleurs, elle irrite les compagnies pétrolières avec sa proposition d’alléger les taxes sur l’essence pour les consommateurs, en les transférant aux sociétés pétrolières qui ont engrangé des profits record grâce à la hausse du baril. Dans un entretien avec le présentateur de télévision George Stephanopoulos, elle s’insurge : « Lorsque le gouvernement fédéral a donné 30 milliards de dollars pour renflouer [la banque spéculative en faillite] Bear Stearns, je n’ai vu personne se lever pour protester »

Les voix

Ce ne sont certes pas les propos d’une candidate prête à abandonner. Par ailleurs, si Howard Dean et Nancy Pelosi sont aussi certains qu’Obama gagnera haut la main à la Convention du mois d’août, pourquoi exercent-ils des pressions aussi féroces sur les super-délégués, surtout sur les Afro-Américains, pour qu’ils se prononcent dès maintenant pour lui ? La direction du Parti leur fait aussi miroiter des postes alléchants et bien rémunérés s’ils s’alignent sur son choix.

Heureusement, rien n’est encore joué. Il reste encore à déterminer comment les 368 délégués de la Floride et du Michigan, deux Etats remportés par Hillary Clinton (Obama ne s’étant pas présenté dans le Michigan), seront représentés à la convention. Pour l’instant, la direction refuse de prendre en compte leurs voix, parce que la date des scrutins n’était pas conforme aux règles du Parti (voir encadré). La Floride représente tout de même 185 délégués et 26 super-délégués. Cette question sera examinée le 31 mai, lorsque la commission des règlements du Parti se réunit.

Reste aussi à savoir comment voteront les quelque 850 super-délégués. Rappelons qu’ils s’agit surtout d’élus et autres dignitaires du Parti qui, contrairement aux délégués ordinaires, ne sont pas tenus de respecter le résultat de la primaire dans leur Etat respectif, mais sont appelés à voter en leur âme et conscience.

Les règles précisent que ce processus permet au Parti de mieux réagir à « des changements de circonstance, surtout lorsque ces changements peuvent rendre la décision des électeurs moins claire ». Ils sont « censés exercer leur meilleur jugement dans l’intérêt de la nation et du Parti démocrate ».

En l’occurrence, la crise financière et économique va certainement s’aggraver d’ici la Convention, changeant effectivement considérablement les circonstances. Dans cette perspective, Hillary Clinton ne cesse de pousser son programme, alors que Barack Obama évite soigneusement de proposer quoi que ce soit à ce sujet.

Pour ce qui est de l’intérêt du Parti démocrate, presque tous les sondages indiquent que contrairement à Barack Obama, Mme Clinton serait tout à fait capable de battre le candidat républicain John McCain.

Des sources fiables, proches des Clinton, ont révélé qu’au lendemain des primaires du 6 mai, certains membres haut placés de l’élite politique américaine ont appelé les Clinton pour les informer que, « bien que ce ne soit pas [ma] position personnelle », on ne permettrait jamais à Hillary Clinton de remporter l’investiture et que si, par malheur, elle l’obtenait, elle n’arriverait jamais jusqu’à la Maison-Blanche. La conclusion de ces messages était, apparemment, que dans le cas contraire, sa présidence serait la plus courte de l’histoire. Une menace on ne peut plus explicite...

Pour l’oligarchie financière de Londres et de Wall Street, si Hillary et Bill Clinton se retrouvent à la Maison Blanche, la présidence exercerait plus d’indépendance et de pouvoir qu’elle n’en peut tolérer. Il est vrai que l’engagement de Mme Clinton envers les classes moyennes et plus modestes et la crainte que certaines de ses politiques aillent un peu trop dans la direction de celles proposées par Lyndon LaRouche, ont, selon ces financiers, franchi la ligne rouge...

Pour creuser le sujet : focus

Notes :


*Aux Etats-Unis, contrairement à la France, les chaînes de télévision ont le droit d’annoncer quand elles le veulent « le vainqueur » d’un scrutin, sur la base de leurs propres estimations et sondages, sans attendre les résultats officiels ni même la fermeture des bureaux de vote. Ils peuvent ainsi exercer une influence considérable sur les résultats, par exemple en annonçant la victoire de tel ou tel candidat, provoquant la démobilisation des électeurs de son adversaire.

Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard