23 juin 2008 (Nouvelle Solidarité) – Le LaRouche Political Action Committee (LPAC) est engagé dans une opération décisive pour sauver le parti démocrate américain de la destruction commanditée par l’oligarchie internationale basée à Londres. Une brochure de masse (250 000 exemplaires) est actuellement distribuée auprès de la base démocrate et rooseveltienne pour faire échouer ces plans, mis à exécution par le tueur à gage politico-économique de l’oligarchie financière, le spéculateur-philanthrope (sic) Georges Soros, le parrain de l’investiture d’Obama.
Comme l’a souligné Lyndon LaRouche (voir ici), Georges Soros n’est qu’un sbire. Accueilli à Londres en 1947, il a été entraîné à la London School of Economics (l’école du libéralisme impérial britannique) avant de se voir confier les fonds de membres imminents de l’oligarchie anglo-hollandaise, dont la famille royale britannique. Son Quantum Fund basé dans l’ancienne colonie hollandaise de Curaçao connue pour le blanchiment des dollars du narcotrafic, sert de base off-shore pour l’impérialisme financier. Après avoir déclenché la dévaluation de la livre sterling et de la lire italienne en 1992 et avant de déclencher la chute du Bath thaïlandais en 1997, Soros se vantait dans le Guardian de Londres : « Si je devais m’abstenir de certaines actions pour cause de scrupules moraux, je cesserais d’être un spéculateur efficace. Je n’éprouve même pas l’ombre d’un remords pour avoir fait des profits ».
C’est cette idéologie malthusienne qu’il a directement héritée du nazisme qui fait de Soros un instrument redoutable de la mondialisation financière. Dans la préface à l’édition de 2000 des Mémoires de son père, le spéculateur morbide affirme fièrement que toute sa vie a été façonnée par son expérience d’adolescent, puis de jeune homme, dans la Hongrie occupée par les nazis, où il se présentait comme le « filleul adoptif » d’un fonctionnaire du ministère de l’Agriculture qu’il aidait à confisquer les biens des juifs, à un moment où la moitié de la population juive était en passe d’être éliminée. Là encore, il ne ressent ni remords ni culpabilité pour cette époque qu’il qualifie même de « période la plus heureuse de ma vie ». Il a même expliqué sur CBS en 1998 « C’est marrant en réalité, c’est comme sur les marchés, si je n’avais pas été là (…) quelqu’un d’autre l’aurait fait de toute manière ».
Cette brochure de 26 pages est disponible, en anglais, sur le site du LaRouche PAC : http://larouchepac.com/news/2008/06/16/your-enemy-george-soros.html