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Du « syndrome grec » au « syndrome guadeloupéen »

9 février 2009 (Nouvelle Solidarité) Paris – Pas un mot ! Alors qu’une grève générale paralyse la Guadeloupe depuis presque trois semaines et que la Martinique prend le même chemin, Nicolas Sarkozy n’a pipé mot, jeudi, lors de son allocution télévisée, sur les revendications de ces deux départements français. Il avait pourtant sous les yeux l’exemple même d’un capitalisme qu’il prétend vouloir faire disparaître.

De plus, pour la première fois depuis longtemps, s’il ne s’agit pas directement d’émeutes de la faim, ce sont de véritables « émeutes de la pauvreté » qui viennent d’éclater en France.

La Guadeloupe fait partie des 13 régions les plus pauvres d’Europe, avec un PIB qui ne représente que 55,8% de la moyenne européenne. Si, d’après les chiffres officiels, le taux de chômage y atteint les 23% en 2007, on pense que le taux réel avoisine les 40%.

Partie de la Guyane en 2008, c’est en Guadeloupe que la contestation se manifeste actuellement avec le plus de force. Le collectif « Lyanag kont profitasyon, LKP » (Rassemblement contre l’exploitation outrancière), y coalise une cinquantaine de groupements sous la direction d’Elie Domota, secrétaire général de l’Union générale des travailleurs guadeloupéens (UGTG). Dans sa plateforme de 146 revendications, le LKP demande une réduction immédiate des prix de l’essence, une baisse des prix du transport et de l’eau, un gel des loyers et un accroissement du salaire minimum de 200€. Il s’agit également de relancer la production locale et de baisser les taxes sur les engrais et la nourriture pour le bétail.

Domota rappelle que pour son peuple, « résistance et culture sont liées. Cela remonte au temps où les esclaves puisaient dans les chants et la musique du pays natal la force de résister, de se révolter. » Pour lui, l’archipel est devenu « une colonie de consommation de produits importés vendus au prix fort ». Le 30 janvier, près de 65.000 personnes (15% de la population) ont défilé dans les rues de Pointe-à-Pitre et samedi, encore 50.000 autres à Basses-Terres.

Cette injustice sociale et économique se conjugue avec les aspects les plus détestables de l’héritage colonial dans l’archipel. Le documentaire de Romain Bolzinger, « Les Derniers Maîtres de la Martinique », diffusé par Canal+ vendredi, offrait une accablante radiographie de l’oligarchie locale dominée par les « békés ». A l’écran, on y voyait un industriel béké affirmant qu’il cherchait à « préserver la race blanche » dans sa communauté, avant de regretter que « les historiens ne parlent que des aspects négatifs de l’esclavage ».

En Martinique, c’est la publication d’une enquête réalisée par le quotidien France Antilles à la veille du début de la grève générale qui a mis le feu aux poudres. L’enquête porte sur l’écart avec les prix pratiqués dans l’Hexagone. Cet écart atteint des niveaux scandaleux, que le seul coût du transport ne saurait justifier. Il serait de 34% sur un panier de produits de consommation courante et de 112% pour des produits de grandes marques. D’après Claude Lise, sénateur et Président socialiste du conseil général de la Martinique, « toutes les enquêtes montrent que le panier de la ménagère, avec des produits de première nécessité, est de 20 à 40% plus cher que sur le continent ».

De quoi alimenter une colère qui a poussé, jeudi dernier, 20.000 personnes dans les rues de Fort-de-France, sous la direction du « Collectif du 5 février ». « Des gens qui n’avaient jamais manifesté de leur vie sont descendus, jeudi dans les rues », disait un gréviste.

Même Yves Jégo, le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer, revenu après une semaine sur place pour discuter la situation avec le Premier ministre, dans le Journal du dimanche du 8 février, évoque « un questionnement sur un enrichissement sans cause des compagnies pétrolières » et est bien obligé d’annoncer que cela pourrait se terminer « par une action judiciaire de l’Etat » contre les sociétés en question.

En tout cas, l’état prérévolutionnaire que crée cette situation fait forcément saliver les troupes d’Olivier Besancenot. Pour lui, la grève générale qui touche la Guadeloupe et la Martinique est forcément « un motif d’inspiration » car « c’est ce qu’il faudrait faire dans les semaines et mois à venir » en métropole.

Par ailleurs, on peut penser que la place Beauvau a vu venir les choses. A en croire le LKP en Guadeloupe, « 17 airbus ont débarqué depuis début janvier avec près de 4000 forces de l’ordre, des chars d’assauts, des munitions, des cercueils en plastique et des vivres ».

Aucune solution purement locale ne permettra de résoudre cette crise d’une façon durable. Si les abus des « profiteurs outranciers » doivent être durement sanctionnés devant une Commission d’enquête parlementaire sur les responsabilités de la crise financière, seul un « Nouveau Bretton Woods » du type préconisé par Lyndon LaRouche et Jacques Cheminade en France permettra d’instaurer une logique de coopération mutuelle, un véritable nouvel ordre économique mondial plus juste.

Notons que la différence entre le « syndrome grec » et le « syndrome guadeloupéen », c’est que ce dernier vient de l’intérieur de la République.

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  • montagne • 10/02/2009 - 18:14

    Depuis quand un airbus peut transporter des chars d’assauts ???????????????

    • charles • 13/02/2009 - 00:14

      l
      il y a ds avions militaires "banane"

    Répondre à ce message

  • Jean-Claude Grosse • 12/02/2009 - 22:14

    du point de vue de l’analyse, bon article d’après moi. Par contre, la pointe contre Besancenot ne se justifie pas. Les 2 millions du 29 janvier, les milliers qui ont fait reculer Pécresse, les centaines de milliers qui ont fait reculer Darcos, tous ces médiateurs mis en place par le nain, tout cela montre que la lutte des classes n’est pas morte et ça ne dépend ni de Besancenot ni de Cheminade. Le mot "syndrome" est un peu court pour décrire ce qui se passe. Est-on en situation pré-révolutionnaire, à mon avis, non mais la grève générale peut-être. Tout sera fait par les dirigeants syndicaux, les partis de gauche et de "gauche" pour empêcher ça mais à mon avis, malgré le ressort de la peur qui sera activé à fond, les gens s’ouvriront une voie avec l’aggravation de la crise. La commission Pecora, le nouveau Bretton Woods sont des mots d’ordre qui s’adressent aux dirigeants qui ne sont pas nos représentants mais ceux de la finance. Ces gens sont sourds. Si je soutiens les perspectives de Cheminade et La Rouche, je suis quand même en désaccord de fond : le capitalisme n’est pas amendable.

    Répondre à ce message

  • Pikpus • 11/02/2009 - 16:47

    Tous les dom tom sont dominés par quelques familles devenues milliardaires grâce aux privilèges économiques tolérées par la France. En Nouvelle Calédonie, le panier de la ménagère est 72% plus élevé qu’en France avec un smig à 800 Euros...

    Répondre à ce message

  • dra • 11/02/2009 - 11:12

    La Guadeloupe, la Martinique, maintenant la Réunion on attend la Guyanne et les TOM puis ... La vraie chienlit !!!!!
    Cela promet !!!
    et "les chefs" ??? et leurs "suiveurs" ???

    Répondre à ce message

  • BLL • 10/02/2009 - 19:21

    J’ignorais que la Guadeloupe faisait partie de l’Europe, je la croyais dans les Caraïbes...

    En revanche elle fait bien partie de la France et donc de l’Union Européenne.

    • zemacfreeman • 11/02/2009 - 11:03

      Attention !

      Les raccourcis "géographiques" abusifs limitant l’Europe au "vieux" continent pourraient paraître un peu excessifs à un nombre non négligeable de citoyens européens qui n’ont pas leur lieu de résidence sur le dit "vieux" continent" !...

      Guadeloupe ;
      Martinique ;
      La Réunion ;
      Polynésie française ;
      Mayotte ;
      St Pierre et Miquelon ;
      Wallis-et-Futuna ;
      Saint-Martin ;
      Saint-Barthélemy ;
      La Nouvelle-Calédonie ;
      Terres australes et antarctiques françaises ;
      Clipperton.

      Certains "raccourcis" devraient être utilisés avec précaution !...

      Et je ne parle même pas là de certaines îles très proches géographiquement de la France...
      Ni même de tous les territoires de par le globe qui sont partie intégrante d’autres nations européennes, car la liste en serait bien trop longue !...

      Merci de bien vouloir considérer TOUS ces territoires un peu éloignés comme étant des parties intégrantes de notre Europe... Même si on les oublie un peu trop souvent (ce qui explique en partie le mouvement social antillais actuel...)

      Signé : un citoyen FRANCAIS et EUROPÉEN d’outre-mer.

      PS : Attention, la contagion des mouvements de contestation gagne !...

    Répondre à ce message

  • superwassou • 10/02/2009 - 16:02

    Voici un documentaire explosif sur la situation outre mer.
    faites vite la video est systematiquement supprimée apres quelques jours...
    CLIQUEZ ICI :

    Répondre à ce message

  • dra • 10/02/2009 - 12:28

    Les syndromes commencent à se multiplier : grec guadeloupe madagascar et ...........et où sont les donneurs de leçons si prompts d’habitude à se bousculer et à se répandre dans les TV et radios ?

    • Chibani84 • 10/02/2009 - 13:17

      Le vent tourne pour les tenants des Chicago’s boys... Friedman et ses théories criminelles sont en train dans prendre un vieux coup dans la tronche... Après la main invisible du marché, le coup de pied au cul final pointure 44 pour rejoindre les limbes de l’histoire... Au passage quelques milliers de morts chiliens, argentins, salvadoriens et bien sûr irakiens... La colère monte et monte fort... Ça va drôlement secouer dans la cale...

    Répondre à ce message

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Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
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La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

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L'euro, et pourtant il coule

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Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

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S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

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