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Al Gore : une célébrité qui s’émousse déjà

Dans un article rédigé le 13 avril, Lyndon LaRouche prévoyait un déclin rapide pour Al Gore et tous ceux qui sont associés à l’escroquerie du réchauffement planétaire dû au CO2. Dans la préface de son article, intitulé « Là où est l’avenir », LaRouche écrit :

« La récente popularité de l’ancien vice-Président américain Al Gore est déjà en perte de vitesse. Les "biocarburants", c’est strictement une affaire d’escrocs en quête d’argent rapide, et de nigauds crédules qui constituent leur proie. En réalité, la tendance dominante à l’échelle mondiale s’oriente vers un engagement accru en faveur de la fission nucléaire, dans le cadre d’une politique pour développer l’Eurasie et d’autres parties du monde. Comme le suggère un éditorial paru dans The Economist de Londres du 7 avril, chez les dirigeants du monde qui réfléchissent, on se demande qui va contrôler les politiques économiques d’un monde dans lequel les technologies de fission nucléaire et d’autres technologies afférentes prendront le dessus. »

LaRouche continue en comparant Al Gore à Don Imus, un animateur de radio qui vient de perdre son poste en raison de ses propos racistes. « Après Don Imus, Al Gore devrait être le suivant. La bulle Gore pourrait bientôt s’avérer la plus éphémère de l’histoire politique moderne. La semaine dernière, on en a vu apparaître les premiers signes ; la mode Gore commence déjà à s’essouffler et ceci va sans doute continuer à un rythme accéléré, entraînant dans sa chute les ambitions politiques de nombre de pré-candidats présidentiels américains qui dérangent.

« Outre l’imposture pseudo-scientifique de la thèse du réchauffement climatique défendue par Al Gore, les mesures politiques qu’il prône pour y faire face sont, par implication, racistes et génocidaires. Le fait que ces deux aspects de l’escroquerie sont maintenant dans le domaine public signifie que ses jours politiques sont comptés ».

LaRouche se félicite de certains « résultats utiles que l’éclatement de la bulle Gore va sans aucun doute occasionner », notamment « la purge spectaculaire » de pas mal de sottises entendues dans les discours d’éventuels candidats présidentiels en 2008, qui détournent l’attention de l’essentiel.

« Cela ne veut pas dire que tous ceux qui se destinent probablement à devenir des candidats potentiels soient des figures politiques sans valeur. Cela signifie que, tout comme le vieux monsieur respectable, par ailleurs rusé, qui se fait surprendre par la caméra lors d’une descente dans le bordel local, la fraîcheur de la rose politique de ceux piégés par les projecteurs de la presse se sera évanouie. De nombreux compagnons de route de Gore sont probablement condamnés, sinon à une retraite anticipée, du moins à un rôle bien plus modeste dans la vie politique nationale que celui auquel ils semblaient destinés il y a quelques semaines. »

Dans ce contexte, LaRouche revient sur l’article de l’Economist mentionné plus haut, sous le titre « Le rejeton de la mondialisation ». Pour l’économiste américain, voici en quelque sorte ce que dit l’hebdomadaire anglais : « Qui arrivera en tête dans un monde où l’énergie nucléaire a, de fait, déjà la cote et où les disciples de Gore seront bientôt hors jeu ? Je suis d’accord avec The Economist sur la puissance de cette tendance, mais fortement en désaccord sur la question de son issue probable. »

Dans la suite de cet article, disponible en anglais sur www.larouchepub.com, LaRouche élabore cet accord/désaccord d’un point de vue conceptuel et historique.

Al Gore en perte de vitesse

Suite à une campagne internationale pour dénoncer la fraude du réchauffement climatique dû au gaz carbonique, la crédibilité politique d’Al Gore en a pris un coup, comme le montrent les exemples suivants :

Le 10 avril, on a appris que le concert Live Earth que Gore espérait organiser à Washington pour le 7 juillet, devait se rabattre sur le stade des Giants, dans les marais du New Jersey. Il aurait voulu que le concert se tienne sur la pelouse du Congrès américain, mais la minorité républicaine a refusé tout événement politique partisan sur la propriété du Capitole.

Le surlendemain, deux journaux chiliens, Mercopress et El Mercurio, annonçaient que l’ancien vice-Président américain et Barrick Gold avaient finalement décidé que celle-ci ne parrainerait pas la conférence sur « le réchauffement planétaire et le changement climatique », qui doit se tenir le 11 mai à Santiago avec Al Gore pour orateur principal. Cette annonce a été faite deux jours après un exposé publié par EIRNS sur les liens entre ce dernier et le numéro un mondial de l’or, qui ne sont pas uniquement de nature financière. En effet, à un niveau plus profond, tous deux partagent la même idéologie raciste et génocidaire (refusant le développement industriel et culturel aux Africains, par exemple), ainsi que les mêmes sponsors financiers, y compris la famille Bush et certains cartels de matières premières anglo-hollandais. Un porte-parole de Barrick Gold au Chili expliqua que des « soupcons » pesant sur la société risquaient de « détourner l’attention » des objectifs de la conférence. Au cours des deux dernières années, différents sites d’organisations écologiques chiliennes ont repris un exposé publié en 1997 par l’EIR sur le rôle du géant minier (dont Bush senior est administrateur) dans le génocide dans la région des Grands Lacs en Afrique, en 1994.

Le principal organisateur de la conférence à Santiago est le fasciste chilien Sebastian Pinera, l’homme qui a poussé à la création dans son pays du « Comité national de soutien à la nomination d’Al Gore pour le prix Nobel de la Paix en 2007 ». Ce milliardaire - dont le frère, José Pinera, fut le ministre du Travail de Pinochet et l’architecte de la privatisation des retraites au Chili - s’est également présenté à la présidence chilienne en 2005 contre Michèle Bachelet, jouissant du soutien de l’appareil associé au dictateur Augusto Pinochet. Il mène désormais une campagne vicieuse visant à faire tomber le gouvernement Bachelet, au pouvoir depuis mars 2006.

Un autre organisateur est le quotidien El Mercurio, propriété de la famille Edwards, qui est au service de la monarchie britannique depuis le XIXème siècle et a joué un rôle central dans le putsch de Pinochet en 1973, de même que Henry Kissinger, George Shultz et Felix Rohatyn, à l’époque avec ITT.

Enfin, Gore a été invité à prendre la parole devant la Conférence nationale de l’Institut américain d’architecture, le 5 mai au Texas, moyennant des honoraires impressionnants. Cette décision a cependant provoqué une rébellion parmi les membres. D’après le site de l’AIA, l’Institut a recu un flot de lettres de protestation, mettant en cause la « crédibilité » de Gore sur ce thème et s’étonnant d’un choix aussi évidemment politique et contesté.

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

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Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
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