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Nouvelle chance pour la paix au Moyen-Orient

Kerry et Lavrov lors d’une conférence de presse.
Kerry et Lavrov lors d’une conférence de presse.

L’annonce par Vladimir Poutine, le 22 février, d’un plan russo-américain de cessation des hostilités sur tout le territoire syrien, a redonné un espoir à la paix. Pour y parvenir, il faut maintenant se battre pour un plan de paix par le développement économique

En Syrie, compte-tenu des immenses difficultés encore à surmonter, comme l’a reconnu le Président russe quelques heures avant l’application de ce projet, le 27 février à minuit, des efforts herculéens devront encore être faits pour aboutir à une paix durable.

Quelles que soient les divergences qu’on peut avoir avec Vladimir Poutine sur d’autres fronts (et il y en a), ce rayon d’espoir est le résultat de l’audace du Président russe, de sa détermination à contrer la volonté impériale de quelques faucons et néoconservateurs anglo-américains et français, prêts à bafouer le droit international pour poursuivre leur œuvre de destruction au Moyen-Orient, et de son talent de stratège. En annonçant son plan à la Russie, le 22 février, Poutine a mis le point sur les i :

L’histoire connaît malheureusement de nombreux exemples d’actions unilatérales : Somalie, Irak, Libye, Yémen, (…) Les accords russo-américains, leur mise en œuvre commune avec tous les pays du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS, voir chronologie), ont toutes les chances de devenir un exemple de prise d’action responsable de la communauté internationale, fondée sur le droit international et les principes de l’ONU.

Le cessez-le-feu qui vient d’entrer en vigueur n’aurait pas vu le jour sans la décision russe d’intervenir militairement en Syrie en septembre 2015. Pensons à la situation d’alors. Le soutien apporté à Daech par les Anglo-américains et leurs alliés moyen-orientaux, la Turquie notamment, leur appui et celui des Français à des rebelles prétendument modérés contre Assad, étaient en train de créer les conditions d’une défaite de l’armée de la République arabe syrienne, pourtant la seule force militaire au sol pouvant mettre fin à l’engeance djihadiste !

L’intervention militaire russe a permis de montrer que « le Roi (la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis contre Daech) était nu » : son but n’était pas d’éliminer Daech, mais seulement d’instrumentaliser ce groupe djihadiste pour chasser du pouvoir Bachar el-Assad. Si la Russie n’était pas intervenue, la Syrie serait aujourd’hui en bonne voie pour rejoindre la Libye dans les rangs des Etats « faillis », ayant implosé sous la pression des groupes djihadistes soutenus par l’Occident.

Depuis, que de chemin parcouru ! Grâce à l’appui des avions russes et au renforcement de l’Armée syrienne par la Russie, les forces de Bachar el-Assad et de ses alliés kurdes syriens du PYD sont désormais en position de reprendre le contrôle des 820 km de frontière avec la Turquie. La frontière libanaise étant sécurisée par les milices du Hezbollah, alliées de Damas, celle avec la Jordanie ayant été fermée par le Roi de Jordanie lui-même, la frontière turque est la dernière par laquelle passent les ravitaillements pour Daech, le Front al-Nosra et autres groupes djihadistes soutenus par la Turquie et l’Arabie saoudite. A noter aussi que suite à un accord tacite entre Américains et Russes sur le terrain en Syrie, depuis la relance du dialogue entre ces deux pays en octobre 2015, ils fournissent de façon conjointe assistance et formation aux milices kurdes du PYD.

C’est le déploiement militaire russe qui, depuis octobre dernier, a créé pas à pas les conditions du retour de la diplomatie et de l’ONU dans ce qui était devenu, de l’aveu même de John Kerry, « l’enfer syrien » (voir chronologie).

La diplomatie économique de la Chine

Parmi les contributions notables à ce processus diplomatique, mentionnons aussi celle de la Chine, de plus en plus active dans ce dossier moyen-oriental. Au cours de son récent voyage en Egypte, en Arabie saoudite et en Iran, le président Xi Jinping a montré comment sa stratégie de Nouvelle route de la soie, fondée sur d’importants contrats de coopération économique « gagnant/gagnant », pouvait être le meilleur ambassadeur pour la paix. Ainsi, en Syrie, la Chine s’est déjà engagée à apporter 30 milliards de dollars pour reconstruire le pays après la guerre.

Et selon John Kerry, Pékin aurait joué un rôle important lors de la réunion du GISS, en marge de la conférence sur la sécurité à Munich, les 12 et13 février. Lors de cette réunion, « nous avons été rejoints par une douzaine d’homologues du reste du monde », a déclaré John Kerry lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue chinois en visite officielle aux Etats-Unis, le 25 février.

Mais, c’est le ministre des Affaires étrangères Wang qui est venu de plus loin et a volé le plus longtemps pour participer à cette réunion, contribuant de façon importante à la réussite de nos efforts en vue d’obtenir un accord, ce qui a conduit la Russie et les Etats-Unis à trouver un accord sur la cessation des hostilités et une méthode pour acheminer l’assistance humanitaire.

Le bout du tunnel ?

Pourtant, les obstacles sont tels qu’un pronostic à long terme reste difficile à établir. Il y a d’abord les grands perdants de l’accord russo-américain, qui tenteront d’utiliser la moindre occasion pour saboter une trêve d’autant plus difficile à maintenir que le cessez-le-feu n’implique que le camp de Bachar el-Assad et les forces de l’opposition « non-djihadiste » au régime syrien. La guerre contre Daech et le Front al-Nosra continuera de plus belle.

Les grands perdants sont la Turquie, qui avait cru pouvoir rebâtir son Empire ottoman en annexant des parties de la Syrie vaincue, et l’Arabie saoudite, qui se sent flouée par l’accord entre les Etats-Unis et son ennemi juré, l’Iran chiite. La Turquie ne cache pas son hostilité à l’accord russo-américain. Le 24 novembre dernier, elle n’avait pas hésité à abattre froidement près de ses frontières un avion Su-24 russe et l’un de ses pilotes, qui menaient des opérations contre les djihadistes anti-Assad qu’elle soutient. Dans cette affaire, elle a aussitôt cherché à s’abriter derrière l’OTAN, prétendant que la Russie avait violé son espace aérien.

Depuis le début de l’année, prétextant qu’ils sont les alliés de son ennemi intérieur, le PKK, elle pilonne régulièrement les positions des kurdes laïcs du PYD, pourtant l’une des composantes essentielles de la lutte contre Daech, et que Russes et Américains conseillent conjointement. Le 13 février, alors qu’à Munich le GISS annonçait un accord imminent de cessation des hostilités en Syrie, le ministre des Affaires étrangères turc, Mevlut Cavusoglu, brandissait même la menace d’une intervention turque et saoudienne au sol en Syrie, annonçant que l’Arabie saoudite allait déployer des avions de chasse sur la base militaire stratégique d’Inçirlik, dans le sud de la Turquie.

Le problème n’est pas uniquement que la Turquie et de l’Arabie saoudite fassent cavalier seul. C’est aussi l’instrumentalisation de ces deux pays en rupture de ban, par les faucons et autres néoconservateurs occidentaux qui jouent toujours la carte du pire dans cette région.

Difficile d’évaluer le pouvoir de John Kerry au sein de l’administration. Le Wall Street Journal du 24 février rapporte une opposition très forte à l’accord en cours, du directeur de la CIA, John Brennan, et du ministre de la Défense, Ashton Carter, qui auraient pourtant fini par s’y rallier. Et s’il est clair que les Etats-Unis sont contraints de travailler avec la Russie pour se dégager du bourbier qu’ils ont créé en Syrie, le quadruplement du budget américain de la défense destiné à renforcer les opérations en Europe « contre l’agression russe », et les déclarations le 25 février du général Breedlove, commandant en chef de l’OTAN, pour qui « la Russie représente une menace existentielle à long terme pour les Etats-Unis », sont loin d’exprimer une volonté américaine de détente globale.

Soutenons donc cet accord de paix. C’est à la Chine aussi, désormais, de jouer un rôle déterminant pour cimenter la paix, en contribuant par le développement économique à créer un vouloir-vivre en commun dans la région.

Chronologie

  • 30 sept. 2015. Intervention militaire russe en Syrie, à la demande de Bachar al-Assad.
  • 1er oct. Rencontre Kerry-Lavrov à Moscou pour discuter des « moyens d’un règlement de crise ».
  • 23 oct. Pourparlers à Vienne entre chefs de la diplomatie américaine, russe, turque et saoudienne.
  • 30 oct. Dix-sept pays (de la région et occidentaux) et organisations (ONU, UE) rejoignent les pourparlers. Formation du groupe international de soutien à la Syrie (GISS).
  • 14 nov. Le GISS adopte des objectifs précis : 1) soutien à un cessez-le-feu et calendrier de six mois pour rédiger une nouvelle constitution ; 2) élections libres dans dix-huit mois ; 3) négociations entre le régime et l’opposition, sous l’égide de l’ONU : objectif le 1er janvier.
  • 18 déc. Adoption par le Conseil de sécurité de l’ONU de la résolution 2254 qui « avalise » les objectifs de la déclaration du 14 novembre, définis comme « l’application intégrale du communiqué de Genève du 30 juin 2012 » pour assurer une transition politique « conduite et prise en main par les Syriens ». « C’est au peuple syrien qu’il appartient de décider de l’avenir de la Syrie », souligne le Conseil de sécurité.
  • 12-14 fév. Réunion du GISS en marge de la conférence sur la Sécurité à Munich.
  • 14 fév. Annonce par Kerry-Lavrov d’un objectif très ambitieux : une semaine pour aboutir à un cessez-le-feu, avec livraison en parallèle d’une aide humanitaire à la population syrienne.
  • 22 fév. Annonce par Poutine, après discussion avec Obama, de l’ouverture d’une cessation d’hostilités, le 27 février : accord de non agression entre le régime et les rebelles ayant souscrit à l’accord (Daech et al-Nosra en sont exclus) et pour livrer l’aide humanitaire.

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